Pierre N.
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 | Sujet: Le Merkaba et De Vinci  Lun 14 Déc - 4:43 | |
| Plusieurs savent déjà que je m’intéresse aux symboles depuis un bon moment. Ceux-ci me font toujours découvrir plusieurs facettes de la vie et mieux comprendre les liens entre nous tous et entre nous et l’univers. Sur internet et un peu partout, j’ai observé bien souvent comment les gens les ont étiquetés avec le temps, en y ajoutant d’autres symbolismes qui les ont dénaturé. Parfois par ignorance et parfois par manipulation de masse qu’on leur a attribué ce genre de symbolisme. Je prends par exemple le pentagramme. Plusieurs regroupements dit sataniques ce sont appropriés ce symbole afin de représenter Satan. En fait, c’est plutôt ce symbole mis à l’envers qui a été utilisé. Mais depuis plusieurs années, je vois sur internet ce symbole avec la pointe vers le haut dont l’attribut est d’être relié aux sectes sataniques. Ce qui est une erreur. Même le pentagramme inversé à l’origine ne représente pas en tant que tel Satan ou les forces obscurs, mais seulement une des deux polarités de Dieu qu’est le principe féminin. Bien des mouvement gnostiques tels que les templier, les Rose-Croix ainsi que les Franc Masson ont voulu secrètement entretenir cet enseignement autrefois enseigné par les grands Maîtres de sagesse tel que le Christ afin qu’il ne soit pas perdu et effacé par les ordres religieux. De nos jours cependant, les gens ne vérifient pas ce qu’ils voient et entendent à leurs propos et acceptent telles quelles les infos reçues. Je ne me prolongerai pas sur le sujet aujourd’hui.Non aujourd’hui c’est plutôt au sujet du Merkaba que je m’interroge depuis que ma compagne Marie-Andrée m’ait posé des questions à ce sujet puisqu’elle était en mode recherche pour sa prochaine toile. Dans ses recherches, elle s’est arrêtée un temps sur le Merkaba et me demandait si je me rappelais comment Drunvalo l’avait décrit dans ses livres. J’ai donc repris les livres « L’ancien secret de la fleur de vie Tome I et Tome II » dans lesquels j’y ai redécouvert les formes mystiques. C’est en examinant les pages en question qu’une autre interrogation m’est venue concernant les proportions que Drunvalo donne à son sujet. Se pourrait-il qu’il y est erreur ! Je peux me tromper, mais je trouve étrange que le Merkaba n’a pas de pointes égales. Les deux triangles qui sont placés de façon opposés l’un de l’autre sont en fait décentrés ce qui nous donne un tétraèdre allongé.
 La raison de mon interrogation, de ce que je comprends de la vie, c’est que tout est harmonie et rien n’est laissé au HASARD. Lorsque nous regardons les formes des cristaux de neige par exemple, la forme du tétraèdre est parfaite car toutes les pointes sont de mêmes dimensions… Les cristaux, qui ont cette forme sont toujours fait avec les bonnes proportions et toutes les pointes y sont proportionnelles et de même taille. Regardez l’étoile de David qui en est sa représentation en 2 dimensions… Elle est faite de pointes égales et à l’intérieur de cette étoile, nous pouvons y mettre 6 autres triangles de mêmes dimensions que ceux qui sont à l’extérieur pour faire les pointes. Nous avons là une forme parfaite ce que Drunvalo ne nous montre pas avec sa forme du Merkaba. Il est impossible d’y insérer les six petits triangles qui ont, soit dit en passant, la même dimension que les six branches de l’étoile lorsque celles-ci sont égales. Comme je l’ai mentionné plus haut, je suis peut être dans l’erreur de dire qu’il fait peut fausse route dans sa représentation, mais j’émets tout de même une interrogation.Cependant, je comprends tout de même sa logiques et que peut-être aussi que les deux sont valables pour des raisons différentes.
 Lorsque nous regardons l’image suivante qui est celle du Canon humain de Léonard De Vinci et les proportions rajoutées de Drunvalo, tout est logique jusqu’à un certain point. Sachant que Léonard aimait bien laisser quelques indices dans ces toiles, je me suis posé alors la question si justement il en avait laissé sur cette image. Quelle surprise justement d’y découvrir plusieurs éléments. Selon moi, la base de ce dessin repose en fait sur les deux formes géométriques, le carré et le cercle ainsi que les 2 positions de l’humain dans ces deux positions. Comme nous le voyons ici les deux formes géométriques ne sont pas centrées puisque la base du cercle repose à la base du carré. Léonard a choisi ici de ne pas prendre un point central afin de positionner le tout mais il a tout de même utilisé une ligne centrale afin de rendre une certaine symétrie sur l’horizontale. Donc les deux formes sont centrés de gauche à droite mais pas de haut en bas. La raison, selon moi, c’est que Léonard avait réalisé que l’appuis des pieds de l’homme au bas des deux formes géométriques arrivait parfaitement sur la base des deux formes. Mikhaël Aïvanhov a aussi souvent parlé que toutes constructions, qu’elles soient physiques ou dans les plans subtils commençaient toujours par une bonne base. Premièrement, selon moi, à première vue, l’on pourrait croire facilement que Léonard a dessiné le Canon avec les membres placés à 90°, soit les bras à l’horizontal et les jambes à la verticale puis ce même canon avec les membres placés à des angles de 90°, 60° et de 130° (pas certain de cette dernière mesure due à la distorsion de l’image).
  Bien sur il y a des symboliques qui sont bien visibles telle que la croix qui représente l’horizontal et la verticale soit le mouvement et l’inertie ou encore le plan physique et le plan spirituel. Il y a aussi la croix placé en diagonale qui elle est mieux connue comme étant la représentation de la vie en mouvement ou la roue de la vie tel que la Roue du TAO. Selon moi, c’est mal connaître ce chers Léonard, puisque celui-ci est bien reconnu pour sont extrême précision et sa connaissance en anatomie. Bien je le répète tout ceci reste hypothétique, mais les faits emblent êtres bien indiqués sur sa planche à dessin.
Lorsque nous regardons plus attentivement le dessin, Léonard y a placé les paires de pieds différemment. L’un pointe vers l’avant et l’autre est placé de côté. C’est le premier indice qu’il nous donne. Le deuxième est légèrement plus discret, mais laisse peu d’hésitation : en regardant les hanches et les poignées d’amour ( la taille) que notre canon a de chaque côté, nous voyons facilement que ceux-ci ne sont pas proportionnels. L’un a un bourlet plus prononcé que l’autre, ce qui laisse entendre que notre homme a une position non balancée. Le troisième indice se situe dans les parties génitales de notre canon. Logiquement, si cet homme est placé symétriquement face à nous et que Léonard à voulu démontrer les proportions, il devient clair que lorsque nous traçons une ligne en partant du haut de l’image en son centre que les parties génitales de notre canon se retrouvent placées un peu plus décalé vers la gauche.
En regardant toutes ces caractéristiques de non-symétrie il nous vient facilement cette question : Pourquoi Léonard aurait-t-il placé ainsi son personnage et pourquoi aurait-t-il laissé dans un dessin représentant la perfection autant de lacunes si ce n’est que pour nous lancer vers une autre piste. Lorsque je vous dis que Léonard a probablement placé cet homme en deux positions dynamiques pour démontrer ce qu’il avançait sur la symétrie, c’est que pour moi le tout est là très clairement. Cela était trop facile de faire un homme avec les pieds placés côte à côte et puis placés écartés à un angle de 60° l’un de l’autre. Je crois sincèrement qu’il a voulu nous montrer un homme en mouvement.  En regardant le dessin de Léonard divisé en deux dessins dont l’un avec la jambe droite bien ancrée et face à nous au bas du cercle et la jambe gauche placée à 30° plus haut appuyée sur le cercle et les bras placés de façon à avoir le bras droit placé à un angle de 30° plus haut que l’horizontal et le gauche à l’horizontale, nous remarquons que notre homme est dans une position très dynamique. Les deux images ont les mêmes angles mais elles sont placées de façon opposées. Léonard est vraiment un géni et atteint avec ses fresques et peintures toujours une perfection du détail et de la tromperie. De plus en plaçant les pieds de son Canon ainsi, il nous indique que cet homme est à cheval sur les plans physique et spirituel, puisque le carré représente le plan physique et que le cercle représente le plan spirituel soit l’Esprit. Daniel Meurois l’explique bien dans ses livre que nous sommes comme un trait d’union entre les plans denses et les plans subtils
C’est donc à partir de ces indices que j’ai commencé à tracer les premières lignes du Merkaba. Pour ce faire, j’ai dû recherché la base que Léonard nous a indiqué ici dans ce dessin. Sachant déjà qu’il connaissait bien les sciences initiatiques, il m’est apparut évident que cet indice n’était pas le carré ni le cercle. Il fallait s’élever plus haut et commencer à l’inverse. N’oubliez pas que Da Vinci connaissait les mystères entourant le principe de Marie-Madeleine et ce principe est dans ce dessin la base de l’étoile de David. C’est-à-dire par le triangle qui pointe vers le bas, pour la simple et bonne raison que le Merkaba pour le principe masculin a la face plate du triangle qui pointe vers le bas vers l’avant nous montrant ainsi un triangle parfait. Pour cela refairez-vous à la page 419 du Tome II de « L’ancien secret de la fleur de vie » de Drunvalo.
 Pour tirer la première ligne, il fallait donc trouver son appui. Dans le dessin de Drunvalo, celui-ci tire sa ligne sous les bras à la hauteur du Plexus-Solaire ce que je considère être une erreur et un non-sens, car Léonard semble plutôt nous indiquer très clairement avec une ligne presque droite à l’endroit des clavicules ainsi que le prolongement avec les deux pouces qui sont placés vis-à-vis les majeurs et non au dessus des mains ouvertes. Le Majeur étant le plus long des doigts avec les pouces, ceux-ci semblent bien nous indiquer la droite ligne.
J’ai alors tiré la première ligne de chaque côté jusqu’aux deux côtés du carré. J’ai mesuré la distance de cette ligne et pris mon compas pour retrouver vers le bas où se situerait le point de rencontre des deux lignes descendantes du triangle pour m’apercevoir que le point de rencontre était le gros orteil du pied droit qui est à plat sur le carré. C’est à partir de là que j’ai remarqué en traçant par la suite une ligne verticale montante jusqu’au haut de l’image que le centre du canon de Léonard était décalé vers la droite. Le sexe ainsi que les hanches n’arrivaient pas centrés comme le reste du corps.  Par la suite pour bien tracer l’autre triangle, je me suis servi des traverses en partant de l’intérieur des pointes des triangles pour passer au centre du côté opposé à la pointe. Le point de jonction est épatant et bien plus logique : le trait s’arrête à la jonction du cercle et du carré. À partir de ce constat il m’était beaucoup plus facile de tirer les derniers traits de mon Merkaba.
Ce qui a de plus remarquable dans cette version du Merkaba c’est que le centre de l’étoile arrive sur les parties à la hauteur du pubis. Sur mon dessin, cela n’est peut-être pas évident, car j’ai monté le tout avec un petit logiciel très simple (Paint sous Windows). Cela était très difficile de faire les traits précis comme je l’aurais voulu. De plus l’image que nous voyons est une image qui est tirée d’un livre et a une légère distorsion vers la droite de l’image.
Il y aurait bien d’autres explications selon moi des raisons qui a poussé Léonard à faire ce canon : Y aurait-il aussi laissé des nombres caché ave les angles ? Peut-être, mais dans ce domaine je ne suis pas très callé.
Alors comme je vous le disais, cela est hypothétique et avec réserve que j’émets cette théorie. Pour l’instant je crois que Léonard nous montre parfaitement comment est constitué ce tétraèdre autour de nous. Le lignes de traverses arrivent parfaitement à des points de rencontres sur le dessin et de plus les jonctions de ces lignes de traverse qui sont sur le corps de ce Canon arrivent toujours à une zone importante soit de l’anatomie ou d’un point énergétique. Alors que sur le tracé de Drunvalo ces tracés ne concordent plus ou moins avec une partie de l’anatomie de l’être humain.
De plus, j’ai remarqué que les jambes étaient placées dans un angle de 60° ce qui correspond aux angles pour l’étoile de David. 6 X 60° = 360°. Par contre les bras n’arrivent pas à cet angle : ils sont à 140° ou quelque chose près. Cependant j’ai observé sur mon croquis qu’en tirant des traits à partir des coins supérieurs et en les plaçant dans un certain angles afin que les traits arrivent à la jonction droite et gauche des deux triangles que ces traits passaient par des points biens précis sur l’anatomie de ce Canon tels que les seins et le plexus solaire. De plus, les traits passaient aussi sur les tracés inférieurs des bras. Et pour finir, si vous avez assez l’œil observateur on y voit le pentagramme. Dans ce dessin, on y retrouve donc les deux pentagrammes opposés. Les voyez-vous? Je vous laisse deviner…
Je remarque très bien que la façon dont Drunvalo a fait son croquis, il représente la forme en 3 dimensions, alors que mon croquis est pour une forme en deux dimensions. Peut-être qu’aussi léonard a fait son dessin en imbriquant les deux possibilités. Qui sait ? Tiens ça serait intéressant de voir la vie de Léonard du point de vue de Anne ou de Daniel. Ça serait un excellent livre hein!
Alors je ne sais pas si j’ai tort de penser cela, mais les coïncidences sont tout de même curieuses. L’autre questionnement que je me pose aussi est concernant les exercices que Drunvalo donne dans ses séminaires à propos du Merkaba. Utilise-t-il un Merkaba dont les triangles sont décentrés en hauteur comme dans son croquis où est-ce qu’il utilise un Merkaba bien proportionnel ? Et s’il utilise son Merkaba décentré, est-ce que ce genre de décentrement peut faire en sorte que l’énergie qui en ressort soit amoindrie d’une certaine façon ? Et dernière question, est-ce que cela serait voulu ainsi pour ne pas aller trop vite dans ces énergies là. Qui sait ?
Y a-t-il des gens qui ont suivi ses séminaires sur le Merkaba et qu’en savez-vous là-dessus? Je suis curieux d’en savoir plus. Et qu’en pensez-vous?
Pierre N.[/size] | |
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