La marche vers le Soleil

J'ai eu un de ces "rêve éveillé" (qu'il vous arrive sans doute d'avoir aussi à certains moments de la journée car ce sont des effets de l'éthérisation). Autrement dit, c'est une histoire qui vient de me passer par l'esprit et qui, par sa symbolique, me semble très révélateur.

Un homme - qui est considéré comme un grand Maître de Sagesse - marche depuis longtemps, toujours en direction vers le Soleil.

A un moment, alors qu'il s'apprête à traverser le désert, il croise deux hommes sur sa route qui lui demandent :
- "Maître, où vas-tu comme ça, c'est le désert là ?"
- "Je vais vers le Soleil !"
- Mais il fait déjà si chaud ici, pourquoi vouloir te rapprocher du Soleil ?"
Le Maître répond alors :
- "Mes frères, c'est là qu'est la Demeure de mon Père, de notre Père à tous et Il nous invite à rentrer chez nous. Je poursuis donc le chemin qui mène chez Lui."

Les deux hommes reçoivent ces paroles comme une révélation et décident alors de le suivre. Ils marchent derrière le Maître, traînant déjà le pas car il fait très chaud... et plus ils avancent, plus la lumière et la chaleur deviennent intense.

L'un des deux hommes n'arrête pas de se plaindre de la situation ("mais qu'est-ce que je fais dans cette galère ?") mais, comme il n'a plus le choix, il décide alors de suivre le Maître de près, dans ses propres pas, afin de pouvoir profiter de son ombre.

L'autre homme, apparemment plus enthousiasmé par la révélation, presse alors le pas pour marcher au côté du Maître, faisant face à toute la clarté du Soleil. Tout en marchant, il observe le courage et l'attitude du Maître qui marche tranquillement, tantôt le regard baissé vers le sol, tantôt dressé vers le soleil. L'homme se dit : "Si lui peut le faire, pourquoi pas moi ?", alors il suit son exemple, tachant de s'adapter progressivement à la lumière du soleil.

Les jours passent......

Arrivé à un point du désert, ils tombent alors sur une petite oasis où campent déjà un petit groupe de nomades et le Maître décide d'y faire une pause. Pendant que les trois hommes se rafraichissent, le Maître parle alors au premier homme qui l'a suivi jusqu'ici en s'abritant derrière lui.

- "Mon frère, vois-tu, je crains que tu ne puisses continuer plus loin, car à partir d'ici, même moi je ne pourrais pas te protéger du rayonnement puissant de la Lumière de Mon Père. En t'abritant toujours dans mon ombre, tu n'as pas appris à t'habituer à ce rayonnement, tu ne pourras donc qu'être aveuglé, voire désintégré... et de cela il ne peut être question. Tu vas donc suivre ces nomades qui sont d'accords pour te reconduire chez toi.

L'homme, vexé, demande alors ce qu'il en est de son compagnon. Le Maître répond :
"Lui, il s'est efforcé, tout comme je l'ai fait, de faire face au rayonnement ; son corps, ses yeux, se sont doucement adaptés et il est donc prêt à suivre sa route. Il a trouvé son propre rythme tout comme j'ai trouvé le mien. Il a d'abord compris sur quelles bases je m'appuyais et il les a intégré dans sa "démarche". Il a appris ensuite à se nourrir progressivement de la Lumière qu'il a reçu... mais si tu devais recevoir autant qu'il a déjà reçu en une seule fois, tu subirais une sacrée indigestion ! Alors, tu comprends pourquoi il est préférable de retourner là où tu étais ?


Et vous, mes ami(e)s, qu'est-ce que tout ceci vous inspire ?
Je serai ravi de lire vos conclusions !
Merci

Oui MERCi Régis c'est très fort en effet.
On comprend que c'est bien l'amour prenant soin qui explique a celui qui s'est réfugié dans l'ombre du maitre qu'il sera mieux pour lui de s'en retourner. On le voit parfois comme une punition mais là on comprend combien tout est amour.

Citation :

On le voit parfois comme une punition mais là on comprend combien tout est amour.

je suis entièrement d'accord avec toi ' il n'y a pas de punition , seulement de l'amour '

Moi aussi je trouve une belle sagesse dans cette histoire et elle apaise notre âme de son mystère
qu'on lui donne a trop vouoir comprendre et donner un sens a toute forme exprimée .


Un vrai chemin

Régis évoque l'éthérisation et tu me fais m'interroger sur quelque chose sur lequel tu, vous, pourrez peut-être me renseigner. Je remarque depuis quelques jours qu'il m'arrive de regarder le paysage, ou un élément extérieur, et de soudainement voir la chose en question de façon brumeuse, comme des vagues...qui donnent presque un effet flottant à ce que je regarde. Enfin, je dis " presque" mais c'est bien cela dont il s'agit. Je me suis demandé s'il ne s'agissait pas d'un effet de l'éthérisation justement.
Qu'en savez-vous ? Avez-vous vous aussi rencontré cela ?

... heu, oui... mais mon ophtalmo l'appelle astigmatime......

Ah bon, cela produit cet effet là ? Hum...je ne crois pas que ce soit cela me concernant. Mais pourquoi pas. J'attends que les uns et les autres discutent de ce petit phénomène s'ils en savent quelque chose.

Merci de ton partage Simon.
Bonne nuit à toi...

Je ne sais pas vraiment ...personnellement je n'ai pas d'astigmatime et cela m'arrive . Exemple je conduis et je suis la seule a voir une peu brumeux . J'avoue qu'il y a longtemps la dernière fois puisque je dois vivre intensément en rapport de mon travail qui me tient coller sur terre .


Par contre , des cristaux fluide apparaissent certain moment et même une rivière d'énergie pure sur le sol

Merci de ton partage Aéyta.

Oui, je crois comprendre le brumeux dont parle Simon...Ce n'est pas cela. En fait, pour mieux vous expliquer, ce n'est pas tant que cela fait une brume j'ai mal parlé...c'est plutôt que les éléments extérieurs parfois deviennent - je ne sais vraiment pas comment tourner cela correctement vous savez- flottants, ils se mettent à vibrer...ne sont plus fixes. Ils sont là mais ils bougent comme des vaguelettes en suspension. Ils font des mouvements. Des ondulations. Voyez.
Le brumeux de l'astigmatisme peut-être est cet espèce d'effet de mal vu je crois, de vision non claire. Or je vois fort bien, c'est différent.

Fais-tu un travail particulier qui te tient coller sur Terre comme tu dis ? Tu parles sûrement d'ancrage, mais quel est ce travail là ?

En lisant vos lignes je me demande à quand je finirai, moi aussi, par voir ces genres de phénomènes . C'est plutôt le plat de mon côté là dessus. Par contre, je devine de plus en plus les choses involontairement. Non pas que je vois le futur ou je pressens ce qui se passera, mais j'ai des réponses qui me viennent plus intérieurement sur des moments de la vie. Bref, des fois j'aimerais voir des choses comme vous Non pas que je me décourage, mais parfois cela aide à mieux comprendre.

Dans un deuxième temps, l'analogie de Régis me fais penser à des amis(es) qui ont décidé de vivre en communauté avec une philosophie de vie bien réglée :prières, chants, alimentation bio, agriculture, travail en communion etc... Je me dis quelques fois que cela est bien dans un sens car ils profitent de bonnes énergies et en créent aussi de bonnes, cela les aide afin de s'approcher de leur idéal.

Par contre je me dis qu'aussitôt revenu dans la réalité ces gens auraient peut-être bien de la difficulté à vivrent avec la société (en ville quoi) là où la plupart des gens ne vivent pas sur leurs vibrations et encore moins avec leur philosophie.

Parfois je voudrais me retrouver comme eux dans ce genre de communauté afin de m'extraire de la ville, mais je sais que je suis choyé aussi de pouvoir apprendre parmi ces gens de la ville à mieux les accepter et surtout de moins me laisser toucher par leurs effets négatifs lorsqu'ils sont dedans.

Je ne dis pas qu'il y a qu'une seule façon de vivre qui soit bonne, mais je crois que chacun prend le chemin qu'il a besoin de prendre pour se réaliser.

J'ai peut-être choisi de ne pas voir toutes ces choses de l'invisible afin de toujours travailler ma conviction ou plutôt ma foi. Je n'ai pas eu de grandes preuves dans ma vie de l'au-delà, mais je SAIS que c'est LÀ.

Merci Régis de cette petite histoire !

Pierre N.

Bonjour Pierre,

Concernant les gens qui choisissent de vivre ainsi Pierre, je suis plutôt d'accord avec toi. J'ai remarqué qu'il est assez commun dans le milieu spiritualiste disons-bien que j'ai horreur de dire cela mais enfin- de ne voir que cela : il faut parfois à leurs yeux vraiment vivre ainsi dans ces communautés. Eh bien je n'en suis pas sûr.Personnellement je suis certain que cela dépend du chemin que nous avons. L'on peut être drôlement facilités parce que bon ainsi ils partagent beaucoup etc...ils sont un peu tranquilles. Mais devons-nous vraiment vivre ainsi ? Sommes-nous appelés à vivre ainsi ? Ou plutôt à composer avec ce que nous avons aujourd'hui mais avec un travail de restructuration immense ?
Cela aide les êtres cette façon de se retirer afin de travailler l'alignement. Mais parfois s'ils se retrouvent sous la Tour Eiffel et qu'il y a un peu trop de monde, ah là, eh bien ils ne sont plus là. Or nous devons être capable d'être alignés partout où nous sommes. Les gens qui évoluent sur le plan spirituel dans des milieux ou des endroits qui, en apparence, ne facilitent pas leur aide...sont en vérité dans des dispositions idéales pour se développer. Ils ont les meilleurs maîtres. C'est comme quand les maîtres de Shamballah expliquent que la conscience pourrit dans des milieux déjà sensibilisés. La Conscience grandit avec déploiement là où elle est élevée par la force de l'être qui l'élève.
Je suis comme toi, j'aimerais parfois me retirer quelque peu...et je pense d'ailleurs que je le ferais...mais alors - n'en soyez point surpris- ce serait plutôt dans un monastère ou quelque chose comme cela. Un endroit très simple et tranquille...Plutôt que de vivre en autarcie.
C'est ma préférence.
Tendrement Pierre de Québec.

Pour moi Régis, ce message symbolique t'appartient, bien qu'il puisse s'adapter à nous tous aussi bien sûr.

Le Maître, c'est toi, ta partie connectée à une autre dimension qui "sait" et qui avance vers un soleil toujours plus lointain comme un arc en ciel que l'on n'atteind jamais car la progression est éternelle...

Les disciples, c'est toi aussi, tes autres parties ou aspects de toi, dans leurs "mondes" ou niveaux de conscience respectifs, qui doutent plus ou moins mais suivent le Maître.

Pourquoi faire retourner en arrière cette partie de toi que tu juges peut être trop "animale"?

Le disciple de ton ombre est venu jusqu'à l'oasis du repos, du partage et de la reconciliation.

Laisse-le donc venir avec toi!

Des réponses qui te viennent plus intérieurement sur des moments de la vie pierre...Peux-tu préciser ce que tu veux dire par là ? Cela est intéressant.
Merci de ce partage.

C'est en effet une façon d'interpréter les choses et qui a du sens. Sans doute aurais-tu dû préciser, chère Elisabeth, que si cette vision t'était destinée, c'est ainsi que tu verrais la chose.

Cette "vision" m'est venue alors que je réfléchissais sur un sujet qui touche un grand nombre de mystiques et spiritualistes. Je suppose donc que chacun l'interprétera à sa façon et cela sera sûrement juste par rapport à chacun.

De mon côté, je rejoins Céliane dans le fait que l'amour sans la sagesse n'est pas véritablement Amour. Autrement dit, celui qui veut entrer dans la Lumière ne peut pas pour autant brûler les étapes qui y mènent.

En fait, si je me replace dans l'âme du premier disciple, je me rend compte que lorsque le Maître lui a parlé de ce chemin vers la Lumière, il a reçu cela uniquement sur le plan intellectuel et son choix de trouver la Lumière est basé surtout sur un calcul : la libération de tous ses soucis !

Quand je me place dans l'âme du second disciple, je m'aperçois que lui a été plutôt touché dans le coeur, c'est plus l'idée de retrouver enfin le Père qu'il a toujours aimé au-delà du Mystère qui reste intact en son âme. Il veut trouver le Père parce qu'il l'aime, et non pas parce qu'il veut être sauvé par Lui.

Celui qui fait le pari de Pascal avec la divinité ne peut qu'être confronté, à un moment donné de sa démarche, à cette vérité. Il y a un moment sur son chemin où le calcul n'est plus suffisant, on ne va pas vers la Lumière en la craignant, il faut se donner pleinement, il faut s'offrir "gratuitement", sincèrement.

Et puis, comme l'a expliqué le maître au premier disciple, il faut s'adapter à la Lumière, il faut avoir montré qu'on désire vraiment la rencontrer, comme l'amoureux pour sa bien-aimée.

Autrement dit, si le premier disciple s'est contenté de s'abriter derrière le Maître (de suivre à la lettre sa "démarche"), il ne sera que le fantôme du maître, que son ombre, et la bien-aimée attend l'amoureux, pas son ombre. Et quand une ombre entre dans la lumière, elle disparaît. C'est pourquoi il est préférable pour le disciple en question de "retourner en arrière" ou, si tu préfères, de "retourner tout ça en lui" pour qu'il saisisse cette chose fondamentale que l'on appelle Amour-Sagesse.

Qu'importe qu'il n'y arrive pas de suite...toutes les âmes avancent à leur rythme et à leur façon et, en vérité, quelque part, la plupart d'entre nous sommes encore à la place du premier disciple ! Nous ne sommes pas encore capables d'aimer cette Lumière comme le font les Maîtres et les Maîtresses de Sagesse. Mais bon, il n'y a aucune honte à avoir. Le tout est de ne pas renoncer et d'éviter les mêmes erreurs.

Je crois qu'en définitive, cette "vision" est relative aux questions que je me posais avant de l'avoir eu, à savoir : Qu'en est-il de l'évolution de notre humanité dans cette transition (cette "marche vers le Soleil") ?

Je pense qu'une grande partie des gens sur cette planète se trouvent dans la situation du premier disciple. Jusqu'ici, ils ont suivi plutôt cette fausse lumière (cette façon de penser) imposée par les puissants de ce monde qui forment aujourd'hui le Gouvernement mondial et qui était censée apporter la sécurité à tous. La plupart de ces gens commencent à se rendre compte combien on les a bien berné avec toutes ces promesses, et soudain, beaucoup d'entre eux se tournent vers Dieu en espérant une solution miracle car ils n'ont plus personne d'autre à qui s'adresser. Ils ont soudain besoin de Dieu parce que la vie leur paraît comme une corvée. Alors certains suivent "ceux qui marchent vers Dieu" ou "ceux qui marchent en Dieu", ils s'abritent derrière eux, mais bien vite, ils retombent dans la même problématique car cette démarche leur paraît également comme une corvée, alors ils préfèrent laisser les "maîtres" se fatiguer à leur place, ils leur laisse la responsabilité de cette "marche vers le Soleil" en se contentant de les suivre dans l'ombre (dans la tiédeur).

Mais là, j'ai l'impression qu'on vient justement de s'arrêter à un "oasis" car les Maîtres ont envie de dire à ces disciples-là : désolé, mais à partir de là, le maître n'a plus à s'impliquer dans votre propre démarche, ça ne regarde que vous et la Lumière que vous allez rencontrer. Ceux qui sont restés coincés dans la tiédeur (dans l'ombre) seront forcément aveuglés par cette Lumière qui se présente à l'être humain. Elle ne leur sera en rien profitable et c'est pourquoi il sera préférable pour ces âmes de "redoubler leur classe" si je puis dire. Comme dirais Daniel Meurois : "Cassez encore des caillous pendant quelques temps, après, votre route sera pavée !"

Ce n'est donc pas une "punition" pour ceux à qui cela arrivera, c'est juste une nécessité pour l'évolution de leur conscience.

Ensuite, il y a évidemment des personnes dans le monde qui ressemblent au deuxième disciple, ces personnes de "bonne volonté" et qui n'hésitent pas à faire l'expérience par elles-mêmes de cette "marche vers le Soleil". Ces personnes-là goûteront forcément aux fruits de leurs efforts personnels et un nouveau monde s'ouvrira à elles.

La transition a bien lieu, mais vers quoi, vers quelle réalité ? Cela dépend uniquement de la démarche de chacun. Alors, comme disait un sage : "Courage, nous souffrons mais nous marchons !"

Je voudrais ajouter ceci par rapport à ce que dit Pierre N. un peu plus haut, par rapport au fait qu'il préfère vivre sa "démarche spirituelle" au sein même de la société, ce qui est très courageux de sa part car ce n'est pas évident d'oser être "différent" au milieu de l'indifférence.

Se demander si cette façon de "marcher vers le soleil" est mieux qu'une autre ou non n'a vraiment pas d'importance. L'important est de savoir ce que l'on laisse derrière soi en marchand vers le Soleil, et on ne va pas vers la Lumière en ayant semé le chaos derrière soi. Il y a des personnes qui, au nom de la Lumière, abandonnent lâchement leurs proches en se moquant éperdument de la souffrance que cela peut leur causer, comme s'ils n'existaient plus comparé à cette Lumière.

Là, c'est clair qu'il faut vite intervenir et mettre un coup de pied dans l'escabeau ! On ne fuit pas le monde pour la Lumière ! On invite la Lumière à s'imprégner dans le monde, où que l'on soit !

Pour revenir sur la question de Sumalta et ma réponse de l'astigmatisme... c'était juste pour blaguer, bien sûr.

... et puis je me suis souvenu de ce qui arrivait souvent à mon fils aîné avant que l'on détecte son problème visuel (myopie + astigmatisme) : il disait voir des sortes de brumes et des couleurs autour des gens et des choses, mieux, un jour alors qu'il avait tout juste deux ans, je lui donnais son bain et soudain, il montra le sommet de mon crâne et s'écria " oh les belles couleurs!". Il semblerait qu'un problème visuel permette de voir certaines choses que l'esprit ne capte pas quand "on fait le point" correctement.
De la même façon, je me souviens de cours magistraux en amphi où, la fatigue venant, je ne fixais plus vraiment le prof et son aura commençait à apparaître.

Il me semble que nous avons tous ce genre de phénomène lorsque nous lâchons un peu notre conscience. Et puisqu'il y a une accélération en ce moment, il ne me parait pas étonnant que cela se produise plus souvent.

Fraternelles salutations


.

Pour bien te répondre Sumalta, je dirais que c'est comme des ressentis.

Je pense soudain que Marie-Andrée pourrait m'appeler et quelques secondes ou minutes après, le téléphone se met à sonner et c'est Marie-Andrée au bout du téléphone. Je m'amuse à deviner quel ascenseur arrivera au sous-sol pour me faire monter à mon étage, car il y en a 4, et de ces temps-ci ça tombe pile très souvent... Sauf quand je veux trop avec mon intellect ?!?

Alors voilà le genre de ressenti. Rien de grand et rien de flagrant non plus

Pierre N.

Merci de ce partage cher Pierre.