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 L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart

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MessageSujet: L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart   L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart Icon_minitimeDim 13 Juil - 3:17

L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart

Une anecdote trouvée, une sorte d'hommage à la musique de Mozart, que j'ai trouvée suffisamment originale pour vous la traduire. Le titre original de l'article en anglais est "Wolfie" (petit nom affectueux pour Wolfgang...)


Mozart meurt le 5 décembre 1791, cinq minutes avant une heure du matin, à l'âge de trente-cinq ans. (…) Les raisons de sa mort restent inconnues. Il était alors obèse et alité.

(…) Le service funèbre se déroule, sans messe ni musique, dans la chapelle du Crucifix, une chapelle latérale de la cathédrale St Étienne de Vienne. Le corbillard conduit la dépouille à la tombée de la nuit au cimetière Saint Marx, dans la banlieue de Vienne, dans un des seize caveaux d'un « tombeau communautaire simple », conformément aux règles d'inhumation viennoises, dit un seul auteur. Il fut en fait enterré, de l'avis général des ouvrages de référence, dans une fosse commune ordinaire; une fosse pouvant contenir seize corps avec des couches de terre par rangées de quatre selon le Dictionnaire Mozart, au tarif le moins cher, 8 florins et 36 kreutzers, comme la majorité des classes moyennes. Être enterré dans une fosse commune n'avait rien d'inhabituel. L'Empereur avait imposé une loi en ce sens, pour éviter que les Viennois ne se rendent aux cimetières et ramène en ville des maladies. (Extraits de Wikipédia)


L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart


Je me souviens trop bien être en train de regarder deux gars balancer sans cérémonie mon corps dans une fosse commune, juste au-dessus d'autres cadavres pourrissants. Ils ont répandu de la chaux sur moi pour hâter le processus de décomposition. Quel choc ! Quel affreuse vision pour moi !

Il va sans dire que je n'ai pas traîné dans le coin après. Ce n'était pas comme s'il y avait des centaines d'amis en deuil pleurant ma mort. Tous, sauf mes créanciers, semblaient avoir oublié le grand Mozart, le génie et l'enfant prodige. Je me demandais, où sont-ils maintenant ? Comment ont-ils pu m'oublier si vite ?

Constance, ma femme, était submergée par le désespoir et elle en arriva presque dangereusement à détruire toute ma musique. En mourant je ne lui avais rien laissé sauf mes dettes de jeu. Elle voulait se venger. Elle voulait me faire du mal, bien que je sois déjà mort et à l'abri de sa vengeance

Après les funérailles elle est restée assise toute seule dans notre minable appartement à boire verre après verre du vin bon marché que je gardais caché. Malheureuse et hypnotisée par le maigre feu qui crépitait devant elle, la colère qu'elle ressentait pour moi brûlait dans son âme et sa haine pour moi la consumait.

Elle s'est soudain dirigée vers mon secrétaire et a hâtivement attrapé des piles de partitions. J'ai paniqué. Elle n'allait sûrement pas brûler ma musique. Mon esprit a crié vers elle. Elle semblait si déterminée. Il a fallu toute mon énergie pour l'arrêter. Sa colère passée, elle est tombée par terre en sanglotant, tenant dans ses bras ma musique.

Je me souviens toujours des premiers temps quand elle a commencé à m'aimer. Comme son rire était agréable. J'étais alors le centre du monde pour elle.



Tiré par une puissante force...

Je me suis senti écarté de sa présence par une force puissante, comme si un aimant invisible colossal m'attirait. Il y eut soudain devant moi une sorte d'être irradiant de la lumière. En me disant qu'il se nommait Tathata, il expliqua qu'il était moi. Je ne pouvais imaginer, sûrement pas à ce moment-là, que j'étais aussi incroyablement parfait, radieux et beau. Après tout, bien que des femmes m'aient souvent trouvé irrésistible, j'étais dans la vie un homme plutôt petit avec un gros nez.


Cet être parfait, Tathata, qui prétendait être moi, a dit que j'avais été en mission spéciale – une mission sacrée pour apporter une fréquence spécifique à travers ma musique dans le plan en trois dimensions de la planète Terre. Tathata avait semble-t-il projeté volontairement une part de lui – sous mon apparence en tant que Wolfgang Amadeus Mozart – dans les fréquences du temps terrestre pour créer ma pure et superbe musique, qui était faite pour élever pendant des siècles la conscience de tous ceux qui l'écouteraient.

Tathata expliqua avec douceur que dans un univers de libre-arbitre, personne ne pouvait prédire ce qui peut arriver à quiconque une fois dans les basses fréquences de la troisième dimension. Pas même les plus grands êtres de lumière radiante ne savaient exactement à quoi s'attendre une fois qu'ils se retrouvaient emprisonnés dans des corps humains, dont l'ADN était plus que légèrement capricieux. Une fois dans un corps de chair et de sang, on était piégé par les cinq sens – et dans le Kali Yuga on était environné de peur, de maladies et de guerres sans fin.

Selon Tathata, d'un côté j'avais réussi. La musique que j'avais créée serait jouée tout au long des siècles à venir et serait plus tard enregistrée par des machines, car l'humanité posséderait des technologies évoluées.

Mais d'un autre côté, il semblait que je m'en étais tiré un peu moins bien dans certains domaines – et, quand bien même Tathata n'arrêtait pas de me dire combien il m'aimait et le regrettait, il me restait certaines choses à résoudre, des leçons à apprendre, diverses choses à réaliser. Tathata me dit pour me rassurer que je n'avais pas à m'inquiéter – qu'il n'y avait rien dont je devais avoir peur. Cette phase où j'entrais faisait partie d'un processus d'apprentissage, un exercice de maîtrise de soi que tout le monde expérimente et je devais le faire tout seul, et surtout sans Tathata.

Ne laisse personne te toucher...

Tathata me dit ensuite que sous aucun prétexte je ne devais laisser quelqu'un me toucher. Cet avertissement me donna un petit frisson car j'étais toujours à me débattre pour me débarrasser de l'image de la chaux jetée sur mon cadavre rigide.

Puis Thatata m'emmena dans un long tunnel de lumière. La première chose que je vis fut mon père et j'éprouvais des sentiments mitigés à le rencontrer. J'aimais profondément mon père ; mais durant sa vie il m'avait toujours dit quoi faire, quoi ne pas faire, avec qui être gentil et quel morceau jouer. J'avais pris des habitudes d'indépendance depuis son décès, j'étais donc un peu réticent quand il commença à me parler de cette église où il voulait avec insistance que je me rende, dans laquelle des milliers de milliers d'âmes intègres priaient continuellement. Il voulait que je me joigne à elles et que je leur écrive de la musique.

Juste au moment où mon père tentait de m'embrasser, je me souvins de ce que l'être de lumière radiante, que j'en étais venu à considérer comme ma propre âme, m'avait dit. Ne permets à personne de te toucher, Wolfie ! Donc, pas question. Je m'écartais de mon père, ignorant son regard perplexe et blessé. Il me supplia en me parlant de la gloire des cieux, mais je ressentais quelque part que toute la scène était fausse.

Traitez-moi de tous les noms, mais je n'avais pas envie de prier pendant toute l'éternité. Je pensais que ce serait amusant de pratiquer quelque chose d'autre que de la musique dans une prochaine vie, comme de faire de la moto ou de piloter une voiture de course. Je repoussais donc mon père et refusais de l'embrasser. Étrangement, plus je refusais qu'il m'approche, plus il commençait à disparaître.

Je n'en avais pas encore fini cependant. Ma chère mère m'apparut abruptement et fit son numéro habituel. Puis vinrent quelques-uns des membres les plus impressionnants de la noblesse que j'avais côtoyés à la cour. Je suppose que j'étais censé être facilement intimidé par ces hommes et ces femmes, qui continuaient à me supplier d'aller à l'église.

Mais apparemment, sauf si je le permettais, ils ne pouvaient me toucher ; et plus je leur résistais, plus vite ils s'évanouissaient dans une sorte de brume. Je ne savais vraiment pas ce que tout cela signifiait, mais j'en étais très content.

Ils n'étaient pas réels...

Je me retrouvais ensuite dans une grande pièce où régnait une écœurante puanteur de vieux cognac. Les vapeurs d'alcool saturaient ma conscience. Mes anciens compagnons de beuverie et de jeux d'argent étaient tous là dans cette pièce puante ; leurs vêtement de soie autrefois splendides étaient tachés et en loques. Une superbe table de billard se trouvait devant nous et tout en commençant à y jouer, certains rustres dont j'étais redevable se mirent à me presser de les rembourser.

De nouveau je me souvins de ne pas les toucher. Je refusais même une poignée de main. Je me mis à leur dire, "vous, vous n'êtes pas réels !". Et ensuite, ces hommes que j'avais connu autrefois, avec qui j'avais partagé plus d'une bouteille se transformèrent sous mes yeux en serpents brillants se tortillant. De même que les vapeurs de cognac, ils s'élevèrent dans les airs. Ma compulsion pour les jeux d'argent et mon incorrigible désir d'alcool disparurent comme leurs fantômes.
J'avais autrefois fait partie des franc-maçons et j'avais acquis dans ma vie des connaissances secrètes - mais rien ne m'avait préparé à ceci.

Entouré d'une obscurité infinie, je me sentais solitaire. J'ai commencé à survoler les événements de ma courte vie, me rappelant chaque moment de joie et chaque détail malheureux. Quelle vie j'avais eu ! Je pensais à toutes les femmes délicieuses que j'avais séduit. Je me souvenais de leurs robes de dentelle, de leurs charmants décolletés et de leurs gourmandes lèvres rouges.

Puis dans cette vaste obscurité, j'ai mystérieusement entendu ma sublime musique et je me suis souvenu du temps où je composais. J'avais du mal à écrire assez vite pour mettre les notes sur le papier. La musique coulait à travers moi comme un torrent.

Je ne voulais pas vraiment retranscrire ma musique – mais c'était le seul moyen de gagner de l'argent, que j'adorais dépenser. J'entendais la musique dans mon cœur. Je la sentais dans mon âme et je préférais improviser à chaque fois que je m'asseyais devant le clavecin ou le piano. La musique m'accompagnait en permanence et pendant que je créais, je sentais chaque note glisser dans le silence de l'éternité.
Pourquoi quelqu'un voudrait-il jouer sans arrêt le même morceau ? Chacun ne voudrait-il pas jouer sa propre musique ? Je compris ensuite que les êtres humains avaient tragiquement perdu leur capacité à entendre la musique dans leur âme et ma musique était donc nécessaire pour l'élévation de la race humaine.

Tout seul dans l'éternité...

Observer ma vie exubérante et créative n'a fait qu'accroître ma solitude. J'étais ici, tout seul quelque part dans l'éternité.

Puis Tathata réapparut, toujours aussi rayonnant et me dit, "Bien joué Maître Amadeus, celui qui est aimé de Dieu !"
À ce moment-là un grand piano lumineux, aussi parfait que dans mes rêves les plus fous, se matérialisa devant moi et je m'assis pour jouer. Mes concertos, symphonies et sonates se déversèrent à travers les univers dans tous les mondes emplis de l'esprit de Dieu.

Ma musique avait créé un refuge de pureté et d'innocence sur la planète Terre...

Pendant que je jouais, tout mon être se mit à résonner à des fréquences vibratoires de plus en plus élevées et je devins un avec les sons produits. Je savais qui j'étais. Je me souvenais de tout. Je me souvenais que j'étais en fait venu dans la troisième dimension pour réaliser une tâche. J'avais été en mission pour servir le Créateur, pour générer des sons de fréquence pure qui élèveraient le cœur et l'esprit des hommes pour les aider à se libérer du désordre incessant de la peur.

Ma musique avait créé un refuge de pureté et d'innocence sur la planète Terre, reflétant l'amour de l'esprit de Dieu qui génère toute vie. J'avais rempli ma tâche.

Et donc, ravi par l'expérience de me retrouver en unité avec toute Vie, je restais là à jouer, attendant que vous croisiez mon chemin...


Traduit par Hélios pour le BBB.
source originale http://www.metaphysicalmusing.com/articles/wolfie.htm
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http://fdescurninges@hotmail.com
 
L'expérience d'après-vie de Wolfgang Amadeus Mozart
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