Un verre rempli à moitié est, soit à moitié vide, soit à moitié plein.
J’ai retenu de cette vidéo que tu as mise en ligne, l’extrême émotion de ces peuples que l’on dit primaires écoutant l’interprétation de Norma par la Callas.
Sans savoir ce que cela signifie, ils disent, avec des mot simples, sentir l’essence du Beau qui transcende les civilisations.
N’est ce pas un des fils de la pelote du Grand Tout ?
Je préfère le voir comme cela. C’est le verre à moitié plein.
Avec les décryptages législatifs que je fais régulièrement, je vois bien la stratégie de l’Ombre qui s’empare de la masse en l’abrutissant de confusion, de confort et de peur : l’eau chauffe doucement et les grenouilles sombrent dans une douce torpeur dont elle ne sortiront pas ou alors, elles ont si peur de l'extérieur qu'elles ne bougent pas … elles cuisent.
Cette maladie dont tu parles n’est elle pas celle qui nous fait rester dans l’eau dont la température monte ?
Dès lors que nous prenons conscience que nous sommes dans une marmite sur le feu, sortons en… ou renversons la marmite ! (pas facile, hein).
Pour cela, il faut commencer par comprendre où nous sommes et quel est le mécanisme qui nous incite à y rester.
Ensuite, il ne faut pas se laisser affecter par ce qui se passe et qui est le spectacle d'un monde en décomposition.
Tout le monde – ou presque – voit bien que ce monde ne tourne plus rond, mais personne – ou presque – ne veut le voir s'effondrer sous ses pieds. On mijote avant de bouillir mais on ne veut pas casser la marmite.
Si je puis me permettre, Aeyta, ne désespère pas, ne te laisse pas affecter par la pourriture : celle ci est annonciatrice de la graine du monde nouveau.
Disons que l’accouchement se fait dans la douleur.
Bon courage.
Fraternelles salutations.