Une cloche sonne, d'une sonorité plus élevée

Bonjour,

Voici un superbe texte qu'une amie m'a envoyé par mail.
Je vous laisse le découvrir...

UNE CLOCHE SONNE, D’UNE SONORITÉ PLUS ÉLEVÉE - Lettre du 15 septembre 2008

Publié par: Bernard
26 sept
Lettres du Paradis
Dieu dit :

Il se passe quelque chose de spécial dans le monde en ce moment, et depuis quelque temps. Vous êtes en train d’inverser une tendance.

Votre cœur et votre esprit parcourent le monde. Ce que vous dites est entendu autour du monde. Ce que vous entendez résonne à l’intérieur de vous et se propage en ondes concentriques pour être répété de celui qui l’a dit à tous les autres, proches ou lointains.

Le trouble et la dureté que vous lisez dans les journaux, par le fait même que vous les lisez, vous les propagez.

Chaque e-mail que vous écrivez atteint plus que son seul destinataire. En réalité, il est diffusé sur les ondes. Même lorsque les ondes sont présumées silencieuses, elles sont entendues. Même le sourd est capable de les entendre.

Vous êtes un producteur et un re-producteur de pensées. On peut en dire autant de l’amour. Vous l’augmentez, ou pas.

Ceux qui ont des sites web parlent plus fort. Leur vibration se propage davantage.

Ceux qui postent sur des sites web répandent leur lumière plus loin et plus rapidement.

Votre vote peut ne pas être d’une grande portée, mais vos pensées le sont. Vos mots le sont. Votre amour l’est.

Ce quelque chose de spécial dont je parle, c’est une cloche qui sonne d’une sonorité plus élevée de par le monde entier. En dépit de toutes les absurdités, davantage d’amour résonne, et ça marche.

Vous voyez, là où il y a de l’amour, le jugement sort par la fenêtre.

Vous frémissez lorsque vous pensez à la dévastation que certains dirigeants du monde ont imposée. Une partie de vous trie les Êtres Humains en deux catégories, une catégorie que vous autorisez à vivre, et une autre catégorie que vous rayez d’un trait de plume. Bien-aimés, les deux catégories sont la personnification d’un jugement. Lorsque, par vos pensées, vous jugez, vous mettez les gens dans l’une de ces catégories. Assez. Faites une seule catégorie, bien-aimés. Vous savez laquelle.

Bien-aimés, dans le monde tout est tordu. Et vous êtes maintenant en train de redresser tout ça.

Vous savez maintenant que vos pensées jouent un rôle dans la vie de tout être vivant. Et vous voulez désormais mettre un terme à la cruauté et au ressentiment. Aussi à partir de maintenant arrachez les corbeaux noirs de votre cœur et transformez-les en rouges cardinaux [1] d’amour. Du jugement à l’amour. Du dédain à l’amour. Il y a beaucoup plus de place dans votre cœur pour l’amour. Abstenez-vous de juger, et vous aurez beaucoup de place pour faire éclore l’amour.

Si vous vouliez vraiment faire disparaître la négativité de la face de la Terre, alors vous ne lui feriez plus jamais de publicité. Vous remplaceriez vos « et alors ! » désapprobateurs par de la bienveillance et de l’amour, même envers ceux qui vous ont blessés. Trouvez un moyen, bien-aimés, car personne ne vous a blessé autant que vous ne vous êtes blessés vous-mêmes avec vos pensées.

Ceux qui vous ont causé de la souffrance, proches ou lointains, connus personnellement de vous ou non, ils vous ont oubliés et ils ne vous causent plus du tout de souffrance. Mais vous avez pris leur relève avec vos propres pensées. Chacune de vos pensées blessantes vous sert à rouvrir les plaies. C’est vous qui devez mettre fin à cette parodie d’injustice. C’est vous qui devez devenir le Juste. C’est vous qui devez ôter les traces de jugement de votre cœur et de vos pensées. C’est vous qui devez faire la paix avec vous-mêmes et par là même ajouter de la paix au monde.

Vous n’aimez pas la guerre, donc vous pouvez aimer, aimer même les gens qui font la guerre. Vous devez les aimer, bien-aimés, parce que la paix dépend de vous. Si vous aimez vraiment la paix, alors vous devez passer à l’acte au lieu de vous contenter d’en rêver. Vous devez cesser de condamner quiconque, y compris vous-mêmes. Aucune parole de condamnation de doit plus sortir de vos lèvres. Aucun méfait ne doit plus être raconté, car en les racontant vous les renforcez. Parlez de la cruauté, et vous la renforcez. Parlez de la guerre, et vous la déclarez à nouveau. Ôtez la guerre de votre cœur et vous faites la paix. Concluez une trêve avec vous-mêmes. Entrez dans le silence de votre cœur pour fumer le calumet de la paix.

Traduction AD
Page d’origine : http://www.heavenletters.org/a-higher-bell-is-ringing.h
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[1] Revoir ces magnifiques oiseaux ici : http://www.oiseaux.net/photos/william.frohawk/cardinal.rouge.1.html