Suite à l'accord donné par Rafael Palacios, journaliste Espagnol, auteur du journal à tirage unique de 100.000 exemplaires en Espagne cette année,"el Jaque Mate" (l'échec et mat), pour diffuser ses articles librement sur Internet, je poste ici celui que je vous avais promis. A sa demande, je dois préciser qu'il s'agit d'une libre traduction.
L'humanité face au plus haut secret : l'existence d'autres civilisations dans l'Univers
Le savoir c’est le pouvoir. Le pouvoir de toutes les civilisations a toujours été entre les mains des élites religieuses et politiques, n’en faisant qu’une. Savoir qui nous sommes, d’où nous venons est sans aucun doute la plus grande des connaissances. Ce qui se passe dans l’espace est l’un des plus hauts secrets d’état.
Il a toujours été dit que la plus grande partie du pouvoir de l’église provenait des fortunes léguées par des personnes aux prêtres avant de mourir en forme d’aumône, une autre façon de se repentir de leurs péchés.
Celui qui avait le pouvoir de connaître la vie éternelle avait aussi celui de l’argent.
Est-ce un hasard que ce soit la garde Suisse – le pays que personne ne peut attaquer et qui héberge les plus grandes fortunes – qui garde le Vatican ?
Cette connaissance de ce qui est en haut est-elle liée au succès économique de ce qui est en bas ?
Est-ce par hasard que le plus grand télescope du monde (le VATT) se trouve entre les mains de l’ordre des jésuites ? Et que la majorité des astronautes les plus importants soient des Francs-Maçons de haut grade ?
Bien que ces faits soient anciens, la dissimulation, à notre époque moderne, commença en 1947, quand les médias de l’état du Nouveau Mexique (Etats-Unis) parlèrent de la chute d’une navette de technologie non humaine. Au début, la radio et le journal d’Albuquerque (région où se situe Roswell) annoncèrent qu’un objet volant d’origine non humaine était tombé dans une forêt. Quelques jours après, la version des militaires changea radicalement, et elle devint la norme à partir de là : l’objet était en fait un ballon météorologique.
Puis naquit le Projet Livre Bleu mis en place afin de recueillir les récits officiels concernant ces entités et de mener en même temps une opération de désinformation dénommée Snowbird, et dont le but était de confondre l’opinion publique sur ce thème, par le biais du discrédit et du harcèlement des témoins. Il en fut de même sur tout le reste de la planète.
Le groupe ayant amené cette information aux Etats-Unis s’appelait Majestic Jehova 12 (MJ-12), accompagné de forces spéciales : les Blue Teams, mieux connues sous l’appellation populaire d’hommes en noir.
Au MJ-12, participèrent des financiers comme Nelson Rockefeller ; des scientifiques : Werner Von Braun, Edward Teller et Carl Sagan et des politiques tels que George Bush Père et Henry Kissinger.
Durant les derniers mois, la déclassification de ce type de documents a permis la découverte d’une lettre de Walter Oppenheimer (le père de la bombe atomique),
adressée à Albert Einstein et dans laquelle il lui faisait partager sa préoccupation sur le sujet.
Ce qui prouve que les deux scientifiques faisaient partie de ce groupe.
L’agent officiel de la NSA (agence d’espionnage des télécommunications), Milton William Cooper, eut accès à quelques uns des ces documents. Il décrivit, avant de mourir assassiné en octobre 2001, tout le montage juridico institutionnel soutenant cette censure : le secret d’état.
Selon Cooper, les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki, ayant eu lieu après la seconde guerre mondiale, ont perturbé et affecté l’ordre cosmique, ce qui a poussé différentes nations intergalactiques à chercher à superviser ce que faisaient les enfants Humains.
C’est pour cela qu’en 1947, le phénomène des soucoupes volantes commença à se déployer dans la région du Nouveau Mexique, précisément aux endroits où étaient menés des essais nucléaires.
L’extension des moyens de communication aurait pu faire que les êtres humains apprennent l’existence d’un pouvoir supérieur au delà de la religion, de la politique ou de l’économie.
Toujours d’après Cooper, entre janvier 1947 et décembre 1952, pas moins de 16 objets extra terrestres atterrirent ou se crashèrent dans une zone du désert du Nouveau Mexique. Donnant le chiffre de 65 extra terrestres morts et d’au moins un vivant.
Dans un premier temps, ce secret fut exclusivement gardé par les services secrets de l’aviation et de la CIA, constituée en 1947 expressément pour s’occuper de ces affaires.
De la même façon, le Conseil National de Sécurité composé des chefs du Pentagone, de l’Intérieur, des services secrets, du président et du vice-président dont on a tant parlé à propos du 11 septembre, se constitua aussi pour traiter du sujet extra terrestre. Quelques variantes dans les statuts permirent à la CIA, n’ayant en principe de pouvoir qu’en matière d’espionnage, de participer à la dissimulation et à la compilation de données dans les limites de l’état nord américain. (Tout indique que les Conseils de Sécurité Nationale de chacun des pays sont chargés de maintenir ce secret).
Une série de directives du Conseil National de Sécurité (NSC) augmentèrent les compétences de la CIA jusqu’à ce que les documents NSC10/1 et NSC10/2 « légalisent des pratiques illégales et des procédures interdites, commanditées seulement par les dirigeants de la Sécurité Nationale »
Au moyen du même décret, un département fut créé pour la supervision de projets secrets, auxquels furent ajoutés le terme « extra terrestre ».
Toute cette bureaucratie finit enfin par éloigner les services secrets de la sphère présidentielle, ce qui permettrait, en cas de dénonciation, d’argumenter que personne n’était au courant de ces affaires.
Steven Greer, coordinateur du Disclosure Project (Projet Révélation (NDLT)) pour la mise en lumière de ce matériel secret corrobore avoir eu des conversations avec l’ex chef de la CIA, William Colby, qui confessa que lui-même en tant que président ignorait tout de cette information.
Pendant l’année 1948, un groupe de scientifiques formant, par ordre du gouvernement, le projet Grudje, eut pour objectif l’étude du phénomène et dans le même temps celui d’élaborer une stratégie de désinformation sur ce même sujet, constituant le fameux Livre Bleu.
Bill Cooper, ex agent de la NSA ayant révélé cette information au monde étudia le fameux rapport avec son collègue, Bill English. Selon ce dernier, à cette époque les Blue Teams, plus tard appelés Alpha Teams, s’y conformèrent et eurent la responsabilité de cacher les génies volants, et le cas échéant les extra terrestres morts.
A partir de là, le gouvernement secret états-unien commença ses investigations autour de la technologie extra terrestre, à travers un projet baptisé Red Light (lumière rouge) qui se termina par la mise en place de Dreamland, mieux connue sous le nom de Zone 51, et dont la garde incombait au Ministère de la Marine, par ordre direct du président bien que celui-ci n’ait jamais pu la visiter. A cette même époque des fonds militaires furent détournés pour la construction des ces bases souterraines, sous le faux prétexte de construire des abris anti-atomiques. Jusqu’à maintenant, elles sont toujours restées secrètes, bien que l’on puisse supposer qu’elles furent le lieu où Dick Cheney se réfugia durant les attentats du 11 septembre.
La trame d’accès à ces fonds est extrêmement compliquée, mais des hommes comme Cooper ou Casbolt prétendent que l’argent de la drogue est une des sources de financement.
Au fil du temps, Nelson Rockefeller changea de poste, il prit la charge de Responsable de missions spéciales pour la guerre froide. Le même poste qui serait plus tard occupé par son dauphin, Henry Kissinger, et qui de fait impliquerait la prise de commandement des opérations spéciales et secrètes des Etats-Unis, ainsi que la prise d’un siège au cabinet et au Conseil de Sécurité Nationale.
En 1955 Rockefeller fut nommé responsable du groupe de planification , un département créé par le Conseil de Sécurité Nationale (NSC5412/2) également connu sous l’appellation 5412 ou Groupe Spécial , autorisant les opérations secrètes.
D’après Cooper, les présidents Carter, Reagan et JFK cherchèrent à connaître ce secret mais ils en furent empêchés.
Dans les faits, à la fin des années quarante, fut formé un gouvernement secret composé de scientifiques aux Etats-Unis et n’ayant aucune raison d’informer le président de ses affaires.
Quatre ans après seulement le MJ-12 fut constitué.
Le ministre de la Défense de l’époque, James Forrestal, fut le seul à s’opposer à la grande conspiration commençant à se tisser durant ces années; à cela, le président Truman lui répondit qu’il ne réussirait pas à découvrir le pot aux roses.
Homme de grande conviction religieuse, Forrestal, n’en tint pas compte et se retrouva quelques mois plus tard dans un hôpital de la marine, souffrant d’une dépression nerveuse.
Le 22 mai 1949, des agents de la CIA nouèrent un coin de drap autour de la tête de Forrestal, puis le poussèrent par la fenêtre de sa chambre d'hôpital, le drap se rompit et l’ex ministre s’écrasa contre le sol et mourut.
Forrestal fut le premier d’une liste de dizaines de personnes assassinées pour avoir tenté de dévoiler ces choses cachées, parmi lesquelles on peut rajouter celle de John Fitzgerald Kennedy avec sa maîtresse Marilyn Monroe.
En effet, un document déclassifié, datant du 3 août 1962 et dans lequel apparaît le nom de Jim Angleton, fondateur de la CIA, révéla que Marilyn Monroe était sur écoute et que plusieurs de ses amis étaient des confidents des services secrets.
Ce document fait allusion à une conversation téléphonique entre Marilyn Monroe et l’une de ses amies, au sujet d’une base secrète en rapport avec la Zone 51. L’échange téléphonique révèle que Marilyn ayant été méprisée par le président Kennedy les dernières semaines, « serait capable, par dépit, de tout aller raconter à la presse ».
Le jour suivant on apprit que Marilyn était morte des suites supposées d’une overdose de barbituriques.
Un an plus tard, JFK était assassiné. Ce jour là, le discours qui aurait été retrouvé dans sa poche allait dans le sens de la révélation de l’existence extra terrestre.
Les données reprises par le Disclosure Project provenant des déclarations de 400 personnes, allant de militaires à des agents des Services Secrets des USA, de la NASA et des fonctionnaires comme le sergent Clifford Stone, le commandant Bob Dean, le colonel Phil Corso et le scientifique Michael Wolf, prouvent l’existence d’un gouvernement secret s’opposant à toutes ces affaires.
En 2001, le docteur Steven Greer lance le Projet Déclassification pour lequel il parvient à réunir 400 personnes de toutes les armées Nord Américaine, de la NASA, des services secrets, et des fournisseurs de l’armée dans toutes les branches.
La première conférence, désormais mythique et ayant fait l’objet de lourdes censures par tous les moyens, met sur la table l’existence d’un gouvernement secret ayant occulté cette réalité aux êtres humains et entraînant une implication décisive sur leur mode de vie. Il n’est pas surprenant qu’à travers la censure du phénomène extra terrestre aient également été occultées les nombreuses façons d’obtenir de l’énergie ; de découvrir d’autres modes de navigation dans l’espace qui changeraient notre façon de voyager ; de moyens qui permettraient d’éliminer la pollution, et initieraient de nouvelles façon de vivre sur Terre. Il est possible d’accéder à toutes ces informations sur Internet…. Si toutefois, la censure n’est pas encore passée par là !
Alfred Webre, conseiller du président Carter sur ces questions, présenta il y a quelques années le projet de la décennie du premier contact, une période de dix ans pour préparer les êtres humains de la Terre aux bienfaits d’une éventuelle rencontre avec d’autres civilisations.
Le premier acte de cette révélation consisterait en la réouverture des archives secrètes de chaque pays, ce qui est déjà le cas en Grande Bretagne, en France, au Brésil et en Russie.
Le second acte serait l’apparition graduelle de vaisseaux extra terrestres, préparant l’humanité au grand moment tant attendu.
La date 2012 marque le début d’une nouvelle Ere pour l’Humanité qui rejoindra la communauté galactique. Ceci explique pourquoi cette information est en train de se divulguer aujourd’hui.