Il y a quelque chose dont il parle à un moment à propos de ce que dit Bill Deagle, et qui mérite notre attention, même si ce n'est qu'une probabilité...
"Deagle dit qu’il y aura probablement une période d’activité solaire très intense qui entraînera des répercussions physiques sur notre planète et que la croûte terrestre se déplacera.
Voilà une théorie intéressante – pas de déplacement des pôles – mais la croûte terrestre est un peu comme la peau qui se forme sur le lait chaud. Elle donne l’impression d’être solide, mais en fait elle peut se déplacer. Elle ne se casse pas, mais elle peut le faire, et elle flotte en quelque sorte sur cette surface visqueuse qu’est le magma brûlant situé sous la croûte.
Il affirme que, d’après ses calculs et des sources bien informées, il se produira vraisemblablement un déplacement progressif de la croûte, pendant plusieurs mois, à l’allure d’un homme qui marche.
D’un point de vue géologique, c’est très, très rapide, mais pas de quoi en faire un bon film-catastrophe, parce que les continents vont commencer à se repositionner à la vitesse d’environ deux kilomètres à l’heure, l’allure de la marche, à peu près.
Mais au bout de trois mois, tout sera à un endroit un peu différent. Puis le temps commencera à changer, les calottes polaires vont fondre, et le niveau de la mer se stabiliser. Il dit que le Japon va probablement disparaître, et toutes sortes d’autres choses assez pénibles, mais ce ne sera pas la fin du monde. Il y aura, comme conséquence, des problèmes dans la répartition de la nourriture.
Il y aura probablement des éjections de masse coronale qui affecteront ou influenceront tout ce qui fonctionne par électromagnétisme.
Nous avons à Camelot nos propres sources bien informées. En avril dernier [2009], nous avons entendu parler, par l’épouse d’un ingénieur électricien qu’on avait soudain renseigné, qu’il avait trois ou quatre ans devant lui pour éviter à tous les transformateurs de Grande-Bretagne de griller.
Nous avons correspondu avec la femme de ce gars. Il y a eu échange de plusieurs e-mails sur une période de 3 ou 4 jours, parce qu’il était absent.
Et elle nous a dit : Ecoutez, je ne peux pas répondre à vos questions, parce que je ne suis pas scientifique, mais je les lui poserai dès son retour.
Et nous n’avons rien eu de plus – tout paraissait vrai, mais nous ne pouvons que le supposer – nous ne pouvions que supposer que le gars, de retour chez lui, ait dit : Bon sang, mais qu’est-ce que tu fais ? On ne peut en parler à personne ! Ça serait trop dangereux, et on m’a menacé. Tu ne peux pas faire ça. Tu n’aurais pas dû parler à ces gens-là.
Et nous avons entendu parler par d’autres gens de choses très similaires. Bill Deagle confirme cela. Il y a dans le monde entier des ingénieurs électriciens travaillant dans le domaine public, qu’on a mis en garde contre des événements qui pourraient éventuellement se produire.
Et les plans de réduction de la population… [Bill rit] C’est vraiment un vaste sujet, très difficile à traiter de façon linéaire. Les plans de réduction de la population sont fondamentalement… Voyez-vous, la question qui crève les yeux, c’est : Ecoutez, s’ils vont subir d’importants bouleversements terrestres et la désorganisation des infrastructures et de la production de la nourriture, tout ceci mettra en danger la vie ou causera la mort de beaucoup de gens. Pourquoi s’inquiètent-ils donc de la réduction simultanée de la population mondiale par des moyens artificiels, comme ils le font ?
La réponse de Deagle à tout ceci c’est que, fondamentalement, il s’agit d’une question de synchronisation. Ils essaient de deviner quand ces événements se dérouleront. Il faut qu’ils réduisent la population mondiale avant l’arrivée de ça, car sinon leur propre survie pourrait être mise en cause par l’agitation créée par la présence de trop de gens autour d’eux, qui se livreraient à des actes imprévisibles.
Mais tout d’abord, ils ne tiennent pas à se débarrasser des gens trop rapidement - une des raisons qui peuvent expliquer pourquoi ils ne l’ont pas fait jusqu’à présent - parce qu’ils veulent maintenir leur base de fabrication, dont ils dépendent, à cause des gadgets qu’ils utilisent pour les maintenir en vie dans leurs bases souterraines… quelqu’un les fabrique ; ils ne les produisent pas dans leurs propres usines. C’est vous et moi qui les fabriquons, métaphoriquement parlant.
Donc il faut que les gens qui travaillent dans les usines du monde entier puissent maintenir leur production. Il s’agit donc de garder les choses en fonctionnement le plus longtemps possible, et juste avant l’arrêt de la musique - c’est une métaphore - ils vont dire : OK les gars, on n’a plus besoin de vous. Maintenant nous commençons de réduire la population mondiale. Puis c’est le début des bouleversements terrestres, et ils vont tous se réfugier sous terre ; et puis ils ont aussi leur Plan B : les bases sur la Lune et sur Mars.
Selon Deagle, tout ceci peut ne commencer à se concrétiser qu’à partir de 2019. Il ne croit pas du tout à l’histoire de 2012, et moi non plus. Je soupçonne que cette affaire de 2012 est avant tout faite pour nous égarer, et la sortie même de ce film de Roland Emmerich confirme à mes yeux que c’est très vraisemblablement le cas. Du genre : Bon. S’il dit ça, c’est donc que quelque chose d’autre va arriver. Entre temps, on attend de nous que nous y croyions tous."