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| Interview de Anne Givaudan | |
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Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
| Sujet: Interview de Anne Givaudan Mer 11 Jan - 13:21 | |
| Voici une interview d'Anne Givaudan donnée en 2003 sur Radio Ici & Maintenant, dans l'émission "Plus près des étoiles" de Jean-Claude CARTON. Je n'avais pas publié cet interview à l'époque car un CD était mis à la disposition des auditeurs de Radio Ici et Maintenant... mais je pense que ça intéressera sûrement certains d'entre vous.
LES CRANES DE CRISTAL
Jean-Claude CARTON : Es-tu au courant des cranes de cristal que l'on a retrouvé ?...
Anne Givaudan : Oui, bien sûr. Ils sont d'origine extraterrestre. Il y en a encore qui n'ont pas été retrouvés. Ce sont des cranes qui contiennent une mémoire phénoménale, et au moment où tous ces cranes seront réunis, il y aura un passage pour la planète Terre qui sera très important parce qu'ils contiennent des informations qui, jusqu'à présent, n'ont jamais pu être divulguées.
J-C. : J'ai entendu dire qu'il y aurait treize crânes ?
Anne. : C'est probable... Par contre, je ne sais plus combien on en a trouvé...
J.C. : Trois ou quatre ! Il en manque donc encore quelques uns !
Anne. : Il en manque tant que cela ? Je pensais qu'il n'en manquait que deux ou trois.
J.C : Il est possible que je me trompe. Admettons qu'il en manque deux ou trois. Tu dis donc que le jour où...?
Anne : ... Eh bien, le jour où on les retrouvera et qu'ils seront réunis, il y a une énergie particulière sur la planète qui va se produire et qui va faire que la planète va pouvoir être aidée à nouveau dans son évolution, du moins dans ce passage qu'elle va vivre, et en même temps, il y a une information importante qui va être donnée à travers ces crânes, ceux-ci vont révéler des choses qui n'ont jamais été divulgées auparavant.
J.C. : Est-ce qu'il y a des radiographies qui ont été faites sur ces crânes de cristal ?
Anne : Oui, il y a des radiographies qui ont été faites...
Laurent : Oui, en effet, on peut les voir sur le net. Il y a un site où l'on peut voir que des études ont été effectuées sur les cranes de cristal. Des scientifiques se sont penché dessus. Ils ont même essayé de couper un bloc, apparemment. A l'heure actuelle, il n'existe aucun instrument qui soit capable de les entailler. Un faisceau de lumière ou un rayon laser rentrant par les orifices (la bouche ou les yeux), à une certaine direction, donne un éclat particulier... Euh... c'est ce qui a été révélé. Ils ne savent pas comment on a pu les construire avec les moyens de l'époque, soi-disant car ce serait les Mayas ou les Aztèques qui les auraient fait.
J.C : Il faut savoir quand même - d'après ce qui est dit sur internet - qu'il existe onze autres cranes de cristal aux même propriétés connues et répertoriées. En 1996, trois de leurs propriétaires ont accepté de prêter leur exemplaire au British Muséum à fin d'expertise. Et depuis...c'est le silence, aucune information n'a filtrée. Par contre, pour reprendre ce que disait Laurent, une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : "Lorsque les 13 crânes seront réunis, ils révéleront le secret de la vie. Selon la tradition Maya, ces crânes nous ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel..."
Anne. : Ben oui ! Les Atlantes étaient formés notamment par les Vénusiens !
J. C. : Dans un de ses livres, Barbara Marciniac explique qu'il y aurait des crânes qui ont été découvert à Gizeh et qui viennent apporter des preuves de l'existence de l'Atlantide. C'est dans ton livre "Alliance", d'ailleurs...
Anne. : Oui, dans Alliance, je parle aussi de petites pyramides de cristal qui ont été mises sur les grands nadis de la Terre pour maintenir la circulation d'énergie de ces nadis, car si ces grands axes de circulation d'énergie ne fonctionnaient plus, à ce moments-là, il pourrait y avoir des tremblements de terre, des guerres... bref, tout ce que l'on a aussi maintenant. Mais ces pyramides ont été introduites pour maintenir la planète dans un bon état circulatoire général. Bon, faut dire qu'il y a des pyramides qui ont été découvertes dans des fouilles et qui ont été détruites.
J. C. Il semble que les égyptiens aient été en contact avec de nombreuses civilisations extraterrestres.
Anne. : Ils ont été en contact avec des tas de civilisations extraterrestres. D'ailleurs, ils apparaissent dans tout le panthéon des dieux égyptiens. Personnellement, j'ai pu rencontrer des êtres sur d'autres planètes qui ressemblaient aux dieux d'Egypte, c'est-à-dire des êtres avec des têtes de chat ou de chien ou d'oiseaux, et qui faisaient partie de civilisations extraterrestres.
J. C. : Ouverture ou accès à la multidimensionnalité... comment dire cela... au monde d'outre espace ?
Anne. : Pour les égyptiens, oui, c'est évident. Etant des descendants des Atlantes, il n'y a aucun doute. Il y avait une connexion à ce moment-là qui est restée longtemps... mais c'est étonnant parce que, en fait, la Terre est la seule planète, actuellement, à ne pas avoir de contact avec les autres planètes. Officieusement, elle en a plein, mais officiellement, elle est la seule à ne pas avoir de contact alors que toutes les autres planètes ont des contacts tout à fait ordinaires et habituels entre elles. Ceci parce q'il y a des êtres qui ont tout intérêt à maintenir la Terre dans un état d'ignorance complète. Faut dire que ignorance et pouvoir, ça marche bien ensemble !
L'ADN, les Extraterrestres et Walk in
Jean-Claude Carton : Anne, tu connais sûrement le professeur français Francis Krick, qui est l'un des deux hommes qui ont élucidé la structure en spirale de l'ADN. Il propose deux faits en faveur de sa théorie : le code génétique est d'identifier tous les êtres vivants ; deuxièmement, les organismes les plus anciens apparaissent subitement sans qu'on puisse déceler la trace de brique plus simple sur la Terre.
Anne Givaudan : En ce qui concerne l'ADN, il est vrai qu'à un moment donné, les brins d'ADN étaient beaucoup plus multipliés et permettaient des connections différentes. Et puis, à un moment donné, il y a eu un blocage qui a fait qu'on en est arrivé à réduire les capacités de cet ADN.... mais qui est en train, à nouveau, de se redévelopper pour redevenir comme il l'était au départ.
En effet, à un moment donné, il s'est passé quelque chose de particulier entre les "créateurs de l'humanité", il y a eu une sorte de conflit entre ceux qui souhaitaient que les terriens puissent grandir et profiter au maximum de toutes leurs facultés, et d'autres qui pensaient qu'avec ces capacités, les terriens risquaient de courir à la catastrophe. Il y a donc eu un "blocage momentané" - qui, pour nous, a quand même duré des millénaires ! - et, au niveau des douze paires d'ADN qu'il y avait au départ, il en est resté deux seulement de fonctionnelles.
Jean-Claude : Il y a des traditions ésotériques égyptiennes et indiennes qui expliquent que l'humanité aurait commencé son existence sur d'autres planètes où la matière est moins dense que sur la nôtre. Les êtres dans ces mondes étaient très vaporeux et, en venant s'incarner sur la Terre, à cause de la gravitation entre autres, sont devenus de plus en plus denses et c'est ainsi, comme l'écrit Edouard Suret dans "Les grands initiés" : "Ce n'est qu'en s'incarnant sur des planètes de plus en plus denses, selon la doctrine d'Hermès, que l'homme s'est matérialisé." Donc, la planète Terre serait particulièrement dense ?
Anne : Oui, elle est particulièrement dense et elle a pour but d'introduire l'Esprit dans la Matière pour que cette dernière puisse, petit à petit, se spiritualiser. C'est donc un objectif qui est tout à fait grandiose mais, à la fois... je ne dirais pas difficile mais en tout cas ardu.
Jean-Claude : Ces Êtres venus d'autres planètes sont-ils venus insuffler la vie sur la Terre ?
Anne : Oui, il y a des êtres qui sont venus et qui ont créé des vies, d'autres ont ramené de leurs planètes le fruit de leurs expériences génétiques qu'ils ont déposé sur la Terre pour qu'elles puissent continuer à croître, et ils se sont occupés de ces êtres dont ils eurent la charge à un moment donné, et dont ils avaient été quelque part les "créateurs". Je met toujours ce mot entre guillemet parce que, au-delà de ces créateurs physiques, il y a aussi des créateurs d'une autre dimension, il y a toujours plus haut !
Mais, en effet, il y a eu différents apports. Il y a des êtres qui sont venus habiter eux-même cette Terre parce qu'ils n'avaient plus d'endroit où aller, après avoir réduit leur propre planète à néant. Quand ils ont cherché une planète de secours, ils ont trouvé la Terre. Ensuite, il y a des êtres d'autres planètes qui, eux, ne souhaitant pas laisser la Terre uniquement entre les mains de ces "renégats", sont venus pour aider la Terre dans son évolution. Par la suite, tous ces êtres se sont mélangés au fil du temps et il y a donc eu des créations purement interplanétaires qui ont été déposées et d'autres qui ont été créées directement sur Terre. Il y a eu aussi des êtres subtils qui se sont densifiés petit à petit et ont pu vivre sur cette planète. Donc, on ne peut pas dire qu'il y a eu qu'un seul type de création. Il y a peut-être des auteurs qui en parlent d'une façon ou d'une autre, de manière plus précise, mais il y a bien eu une multiplicité sur la planète d'apports extérieurs.
Jean-Claude : Tout ce qui est végétal, animal, a-t-il aussi été mis en place par ces êtres venus d'autres planètes ?
Anne : Oui, bien sûr ! Il y a eu des créations végétales, animales, il y a d'ailleurs des peuples d'animaux qui sont en relation directe avec les étoiles. Par exemple, les abeilles sont des apports de Vénus. Il y a les dauphins qui sont eux-mêmes des êtres des étoiles qui ont eu des incarnations sur Terre et qui, à un moment donné, ont contracté un lien tellement fort avec les êtres de la Terre qu'ils ont eu envie de rester, et pour pouvoir aider les humains dans leur évolution, ils ont accepté de s'incarner dans des créatures qui faisaient partie de leur planète et qui sont les dauphins.
Jean-Claude : Je suppose que tu aimes bien les dauphins !
Anne : Je les aime forcément, oui ! J'ai tellement été touchée qu'ils aient accepté de se mettre dans des corps de dauphins pour pouvoir aider la planète Terre. Ce sont des êtres qui ont eu cette dimension d'amour - et non de sacrifice comme on pourrait le croire - et c'est suffisant pour avoir envie de les aimer aussi.
Jean-Claude : Il y a eu pourtant des sacrifices de dauphins !
Anne : Je vois ce dont tu veux parler mais, personnellement, je ne le considère pas comme un sacrifice et ces êtres ne l'entendent pas non plus de cette façon-là. Pour eux, c'est plutôt un don de la vie, et cela peut se faire de diverses façons. C'est plutôt de l'amour, tout simplement, et le sacrifice n'est pas de l'amour... c'est-à-dire, quand on aime, on n'a pas la sensation de se sacrifier, sinon, quelque part, il y a quelque chose qui ne va pas.
Jean-Claude : Et pourtant, combien de fois entendons-nous autour de nous des hommes et des femmes qui ont vécu des expériences de couple en disant : "Dire que j'ai tout sacrifié pour elle (ou pour lui)" !
Anne : Oui, mais c'est justement pour cela que ça n'a pas marché, en général ! Le mot "sacrifice" est tout de même difficile. Qui demande à l'autre de se sacrifier ? Avouez que c'est aberrant. C'est comme quand on comprend la parole qui dit "aime les autres comme toi-même" et on pense toujours à "aime les autres", mais "comme toi-même", on l'oublie souvent. On oublie toujours des morceaux de notre histoire.
Jean-Claude : Mais si nous n'oubliions pas, nous ne serions pas des êtres humains. On a aussi droit à nos faiblesses !
Anne : Nous serions des Terriens avec un grand T !
Jean-Claude : J'ai retenu ce que tu as dit dans un de tes livres en parlant des étoiles : nous serions tous des semences d'étoiles ?
Anne : Oui, bien sûr ! Nous sommes tous venus soit de créations extraterrestres, soit de planètes différentes, et c'est pour cela que sur Terre, il y a autant de mélange, autant d'identités différentes. Par contre, le jour où toutes ces identités arriveront à faire une unité, alors il y aura quelque chose d'extraordinaire parce que c'est la seule planète qui propose ce type d'expérience. Ailleurs, c'est plus facile de faire l'unité, quand on est tous avec une identité plus semblable, les choses sont plus simples.
Jean-Claude : On sera d'accord ou pas avec moi, mais j'ai toujours pensé que l'histoire d'Adam et Eve était une vaste fumisterie. Attends... Si Adam et Eve ont été ceux qui nous ont donné la vie les premiers, alors toi et moi, on serait frère et soeur...
Antoine Achram : C'est surtout symbolique !
Jean-Claude : Ok, mais est-ce que c'est vrai ?
Antoine : C'est juste symbolique, parce que si l'on revient dans le temps selon la généalogie décrite dans la Bible en remontant à Adam et Eve, ça fait tout juste 4000 à 4500 ans. Or, on sait bien qu'on a retrouvé des restes humains bien plus anciens que 4500 ans.
Jean-Claude : Mais il y a quand même un chaînon manquant !
Antoine : Tu veux parler du chaînon manquant entre l'animal et l'homme, entre le singe et l'homme ?
Jean-Claude : Oui !
Antoine : C'est le chaînon manquant pour la science qui ne veut pas croire qu'il y a un apport extérieur. Ce sont pourtant des expérimentations au niveau des primates qui ont amené une expérience qui a réussi au niveau des humain. Le chaînon manquant, c'est quelque chose de scientifique qui suit la théorie de Darwin, qui n'admet pas qu'il y ait eu des créations et des apports extérieurs à la Terre.
Jean-Claude : Et si Darwin s'était trompé ?
Antoine : Mais il s'est bien trompé ! Tant que la science ne veut pas admettre qu'il puisse y avoir des apports externes à la Terre dans la création, on aura toujours cette théorie de Darwin qui arrange bien ceux qui ne veulent pas que les humains ouvrent leurs oreilles et leurs yeux sur des connaissances, sur d'autres explications plus vastes et plus enrichissantes pour notre vie de tous les jours et pour l'éternité.
Jean-Claude : Il est donc écrit, quelque part, que ces êtres venus d'autres planètes avaient colonisé la planète Terre, où ils se sont fait passer pour des dieux car ils avaient une technologie très avancée.
Anne. Oui, ils avaient une technologie très avancée... de la même façon que nous, pour certains peuples de la Terre, nous avons une technologie très avancée. Quand nous arrivons en envahisseurs, on peut nous prendre pour des dieux... c'est ce qui s'est passé en Amérique du Sud avec l'arrivée de Christophe Colomb, par exemple.
Jean-Claude : Mais enfin, on a quand même remis en cause Christophe Colomb et ce n'est pas le premier.
Anne : Tout à fait. Mais je veux simplement dire qu'il y a des êtres humains qui sont arrivés chez des peuples qui les ont pris pour des dieux. Donc, il s'est passé la même chose au niveau des êtres d'autres planètes qui sont arrivés avec une technologie absolument extraordinaire, et qui, aujourd'hui encore, sont présents et commencent à donner un peu de cette technologie aux terriens. Pourquoi y a t-il tout d'un coup des bons scientifiques étonnants ? C'est parce qu'il y a aussi des technologies qui sont offertes à certaines personnes, à certains gouvernements, d'une façon occulte, certes, puisque de toute façon, rien ne se sait sur cette planète ! Mais il y a bien des apports de technologies qui sont faits et qui créent tout d'un coup une avance rapide, à un certain moment donné, pendant des guerres, etc..., parce que ces fameux extraterrestres acceptent de donner une technologie contre quelque chose d'autre.
Jean-Claude : J'ai lu aussi, quelque part, que plus les races se sont mélangées sur cette Terre, et plus le développement spirituel s'est dégradé... Est-ce que tu partages cet avis ?
Anne : Eh bien, je ne pourrais pas dire que le développement spirituel s'est dégradé à cause du mélange des races. Il s'est dégradé tout simplement parce que, à un moment donné, il y a eu une perte de conscience du lien avec les autres planètes qui nous permettait de trouver en nous ce qu'aujourd'hui, nous cherchons à l'extérieur de nous. Quelque part, c'était un passage obligatoire. Maintenant, dire que c'est parce qu'il y a eu un mélange de races... non, je ne pense pas que ce soit à cause de cela. Je crois que c'est un itinéraire obligatoire car, à un moment donné, il faut descendre suffisamment bas pour pouvoir avoir envie de remonter à la surface pour respirer, un peu comme à la piscine lorsqu'on va au fond et qu'on y reste un peu, puis vient un moment où on décide de remonter pour respirer. C'est exactement ce qui est en train de se passer pour la planète Terre et pour ses habitants notamment.
Jean-Claude : Alors... il y aurait des photos qui ont été prises par la sonde Viking de 1976, sur Mars, qui montrent des cités pyramidales et le fameux visage dont on a tant parlé.
Anne : Effectivement, il y a des constructions... mais, de toute manière, toutes les planètes de notre système solaire sont habitées. Toutes ont également ce que l'on pourrait appeler une "terre creuse". La vie est donc là, partout. Ce qu'il y a, par contre, c'est que, effectivement, avec nos sondes, c'est parfois difficile de capter quoi que ce soit parce que tout n'est pas au niveau physique tel qu'on le conçoit sur la planète Terre. Par exemple, on peut envoyer sur la planète Vénus nos instruments mais ceux-ci ne sont pas assez "fins" pour capter l'état vibratoire de la population de la planète Vénus. Donc, on dira que ça n'existe pas. C'est la même chose que si, il y a 300 ans, on aurait parlé à des gens de la radio, des rayons X, etc... N'ayant pas les instruments adaptés, ça rend les choses difficiles à croire. Mais ce qui est très curieux et qui m'a toujours étonné, c'est que j'ai vraiment l'impression que les gens qui ne croient pas en ces choses croient avoir trouvé la fin de la science, être arrivés au bout de leur histoire... comme si les choses devaient avoir une fin... comme si nous n'étions pas en perpétuelle avance, en perpétuelle découverte... comme s'il n'allait pas se passer quelque chose d'extraordinaire après elles. De plus, ces personnes veulent maintenir les gens qui sont autour d'elles ou qui croient en elles, sur quelque chose de fini.
Jean-Claude : Dans ton livre "Alliance", tu écris : "Les mondes qui entourent la Terre sont tous habités par des formes de vie intelligente, parfois très différente de la nôtre. Certains souhaitent aider la planète Terre, d'autres l'étudient en faisant des recherches ethnographiques.... "- il va falloir t'expliquer ! - '... d'autres encore y puisent les éléments nécessaires à leur survie ; certains veulent y asseoir leur pouvoir, leur puissance, comme on l'a fait dans nos colonnies." Peux-tu développer un peu ?
Anne : Oui. Quand je parle, par exemple, d'êtres qui viennent pour regarder ce qui se passe sur la planète ; il y a effectivement des êtres d'autres planètes qui n'ont pas de liens spécifiques avec la planète Terre, et qui sont là comme des "curieux"qui viennent étudier, en observant les réactions des humains qui, parfois, les étonnent pas mal car ils se demandent comment on peut entrer en conflit pour des choses qui, pour eux, n'ont aucune consistance. Par exemple, certains êtres m'ont demandé un jour pourquoi il y a des gens qui fument sur Terre ?
Antoine : C'est même très amusant car, au départ, ils ne savaient pas encore ce que pouvait être cette chose que les humains avaient l'habitude de mettre dans leur bouche et, en les observant de là-haut, ils se disaient : "Tiens, ces humains respirent à travers un tube ?" Mais quand ils ont su qu'il s'agissait des cigarettes, ils n'en revenaient pas que des êtres s'empoisonnent avec une substance qui encrasse leur système, et pour eux, c'est vraiment impensable car la notion d'autodestruction n'existe que sur Terre.
Jean-Claude : Tu parles d'auto-destruction, mais en parlant tout simplement de destruction, j'ai relevé une phrase dans le livre "De Mémoire d'Essénien" : "Certains (en parlant de ces êtres) sont venus sur Terre dans des vaisseaux, grandes machines multicolores, après avoir détruit leur planète d'origine."
Anne : Oui, parce que, effectivement, il y avait aussi de fortes notions de pouvoir sur ces planètes-là et certains êtres les ont alors détruites ou desséchées, ils les ont rendues invivables. Il faut préciser que cela fut essentiellement la cause à ce qu'ils vivaient à l'intérieur d'eux-mêmes, à la froideur avec laquelle ils voyaient les choses, avec ce côté "scientifique froid" qui est tout le contraire de l'énergie d'amour. Donc, la sécheresse de leur coeur a fait qu'à un moment donné, il y a eu une sécheresse sur leur monde car ce type de planète vibre quand même à un niveau un peu plus subtil que la notre, une dimension différente qui fait que tout ce qui se passe à l'intérieur des êtres de cette planète se réalise à l'extérieur très rapidement. Sur Terre, c'est aussi le cas, mais on le voit moins. Leurs planètes se sont donc asséchées. Certaines ont même explosé car il y a eu aussi des manipulations de pouvoir sur ces planètes-là.
Jean-Claude : Donc, elles ne sont pas mieux que la planète Terre ? Anne : Il y en a qui sont beaucoup mieux technologiquement mais pas beaucoup mieux sur d'autres plans.
Laurent : Je voudrais savoir, Anne, si tu fais la distinction entre des entités spirituelles et des extraterrestres ? Je veux dire par là que l'homme s'est incarné dans une dimension qui est lourde, la troisième dimension, et, plus nous prenons conscience, plus on est censé s'élever dans les dimensions, c'est bien ça ?
Anne : Plus on prend conscience, plus on change de niveau, même si on reste sur Terre.
Laurent : D'accord, on élève donc notre niveau vibratoire, nos hélices d'ADN se multiplient, on ouvre des portes, l'homme prend conscience qu'il fait partie d'un tout. Donc, les entités qui sont de l'autre côté du voile ont-elles, elles-aussi, des vaisseaux spatiaux ? Si oui, dans quelle mesure nous approchent-elles ? Et ceux qui nous visitent et que nous voyons à l'oeil nu sont-ils de dimension supérieure spirituellement, ont-ils une conscience plus élevée que la nôtre ? Ou bien sont-ils avancés technologiquement mais au même niveau de conscience que l'être humain ?
Anne : Au même niveau, je dirais non ! Il y a quand même une approche différente. Par contre, il y a des êtres d'autres planètes qui ont une notion de pouvoir très forte, c'est-à-dire, ils travaillent pour eux-mêmes et, comme ils ont la même technologie que les autres, ils viennent comme des envahisseurs sur Terre, parce qu'ils trouvent notre planète intéressante et qu'elle peut leur servir. Quelque part, ils ne font pas cela par méchanceté, c'est tout simplement la même logique que nous avons avec un troupeau de mouton, lorsqu'on se dit qu'après tout, ces animaux sont pour nous, on se fiche de savoir s'ils ont une âme ou pas, de toute façon, que ces moutons pensent ou non, nous les mangeons quand même ! Pourtant, cela ne veut pas dire pour autant que nous soyons des ignorants incapables d'avoir des technologies.
Jean-Claude : Tu écris, dans le livre "Voyage à Shambhalla" que..."plusieurs maîtres de l'espace sont installés dans une contrée isolée, la plus au nord de la Terre, afin de transmettre une énergie et un savoir capable de réveiller peu à peu les êtres qui y vivent : Shambhalla." Il y a aujourd'hui beaucoup d'ouvrages qui parlent de Shambhalla...
Anne : L'expérience que j'ai pu avoir à Shambhalla m'a permis de découvrir qu'il y a des êtres issus d'autres planètes - comme celle de Vénus, par exemple - qui, il y a 18 millions d'années, ont décidé d'aider la planète Terre. Ces êtres ont décidé de dédier leur vie à la Terre jusqu'à ce que le dernier de ses habitants puisse avoir fait une prise de conscience ou avoir évolué d'une façon différente. Pour cela, ils ont créé une espèce d'ambassade dont le nom qui nous est permis de connaître est Shambhalla. En effet, ce n'est plus le nom actuel. En fait, à chaque fois qu'un nom est donné, ça veut dire que le nom actuel est déjà autre. Shambhalla est donc le nom ancien d'une ambassade qui aide la Terre dans son évolution, ne serait-ce que par les êtres qui vont s'incarner sur Terre pour y mettre simplement leurs énergies. Par exemple, il y a des êtres de Shambhalla qui sont à deux endroits en même temps, ils sont à la fois incarnés à Shambhalla, dans cette ambassade qui peut être physique mais qui est protégée par une barrière psychique....
Jean-Claude : Pardon Anne de t'interrompre mais j'ai un peu les poils qui se hérissent lorsque j'entend le mot "ambassade "...
Anne : Oui, je comprends mais il faut bien trouver un mot ! Il est certain que tous les mots prennent le sens qu'on veut bien leur donner, tout dépend de ce qu'on veut en faire. D'autre part, aujourd'hui, tout le monde se méfie de tout le monde, on ne sait plus trop où est l'ombre et où est la lumière, à la limite. Mais quelle importance ? On peut parler plutôt d'un lieu - si vous préférez - qui est à la fois physique et subtil, spirituel, sur lequel travaillent des êtres qui sont en connexion avec la planète Terre et qui l'aident depuis 18 millions d'années. Petit à petit, ils sont en train de rendre aux habitants de la Terre leurs capacités, leurs possibilités, en leur disant : "Maintenant, écoutez, c'est à vous de jouer ! Nous, petit à petit, on se retire."
Donc, cette "ambassade" était, au départ, située dans le désert de Gobi, et elle est en train d'avoir des "ambassades" secondaires dont une qui est actuellement du côtés des Andes, et où ne sont invités que des êtres qui ont la possibilité d'y entrer, quelques fois pour longtemps, quelques fois pour peu de temps. Pour donner un exemple précis, je me souviens qu'à l'époque où nous avons pu, Daniel Meurois et moi-même, avoir cette incursion pour pouvoir en témoigner par la suite, il nous a été montré des êtres qui étaient à la fois à Shambhalla, en tant que maîtres de sagesse, et en même temps, incarnés sur Terre et pas forcément dans des personnages connus ou extraordinaires. Par exemple, l'un d'eux est un simple cordonnier au Moyen-Orient ! Lorsque nous avons demandé des précisions, il nous a été expliqué, à ce moment-là, que cet être-là, même s'il avait perdu une partie de la mémoire de ce qu'il était, avait un rayonnement qui nettoyait toute la région et les gens qui l'approchaient pouvaient alors éveiller en eux d'autres dimensions grâce à son apport d'amour. Malgré son apparence, il avait donc toute son utilité !
Jean-Claude : Dans ce livre "Voyage à Shambhalla" co-écrit en 1986 avec Daniel Meurois, vous avez parlé de la Terre creuse. Tu peux nous en dire un peu plus... parce que, vois-tu, on se pose beaucoup de questions, aujourd'hui, sur ce sujet ?
Anne : Oui, et il y a beaucoup de livres maintenant qui traitent de la Terre creuse. Mais, à l'époque, c'est vrai que c'était tout nouveau. Quoi qu'il en soit, en effet, chaque planète est creuse et il y a toute une population d'êtres qui vivent sur divers plans multiples. Par exemple, lorsque l'Atlantide, à un moment donné, est arrivée à sa fin, il y a des êtres qui avaient une plus grande connaissance que d'autres et qui ont pu trouver les portes qui permettent d'entrer à l'intérieur de la Terre. Ils ne se sont pas simplement réfugiés là, ils ont décidé de continuer leur évolution à cet endroit-là parce qu'ils n'avaient pas ou plus ces notions de pouvoir qui existaient alors dans la civilisation de l'Atlantide et qui ont amené celle-ci à sa destruction.
Jean-Claude : Une petite question : l'Atlantide, était-ce une seule terre ou plusieurs terres dans différents endroits de la planète ?
Anne : Il y avait plusieurs terres dans différents endroits. Personnellement, je dirais que c'était surtout une grande civilisation. C'est comme si, dans quelques siècles, on parlait de la civilisation américaine. C'était donc une grande civilisation qui comportait des êtres évolués et d'autres moins évolués, et qui, à un moment donné, a abusé du pouvoir et, également, de l'utilisation des cristaux. Or, quand certains atlantes parmi les plus sages ont su que l'Atlantide allait s'auto-détruire, ils ont alors franchi les portes qui conduisent l'intérieur de la Terre et ont découvert toute une vie, une vie qui permettait de conserver un savoir, des connaissances... bref, tout ce qui pouvait être sauvegardé pour un futur de l'humanité.
Donc, cela est une des choses qu'on peut dire sur la Terre creuse. Par ailleurs, lorsque nous avons vécu cette expérience de la Terre creuse, nous nous sommes également aperçu qu'il y avait différents plans et différentes formes de vie, qu'il y avait des êtres qui n'ont pas de forme et qui n'appartiennent pas à cette civilisation. Il y a également, dans la Terre creuse, une connexion avec tout ce qui est du domaine de l'alchimie. C'est ce que l'on connaît aussi comme étant le Royaume de Jacques, qui est en rapport avec la terre creuse, avec les souterrains, avec les alchimistes. Cela fait partie d'une des trois dimensions de Shambhalla.
Jean-Claude : Ca servirait à quoi d'énumérer les sept royaumes de la Terre creuse ?
Anne : Je ne sais pas si ça servirait et, personnellement, je n'ai pas le nom des sept royaumes de la Terre creuse. J'ai simplement vécu des dimensions différentes dans cette Terre et j'ai pu rencontrer des êtres qui, à l'époque, nous ont expliqué qu'ils ont, pendant longtemps, souhaité ne plus entrer en contact avec les habitants de la surface car ceux-ci avaient été responsables des cataclysmes qui s'étaient produits jadis.
suite ci-dessous...
Dernière édition par Régis le Mer 11 Jan - 15:29, édité 6 fois | |
| | | Régis Fondateur/Admin.
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| Sujet: Re: Interview de Anne Givaudan Mer 11 Jan - 13:27 | |
| Suite de la page ci-dessus...
Ils nous ont également expliqué qu'aujourd'hui, les contacts sont en train de reprendre doucement car la planète Terre arrive à un passage important dans son évolution. Depuis, on s'aperçoit effectivement que des contacts ont été établis avec des habitants de la Terre creuse et des humains de la surface, et cela se fera certainement de plus en plus .
Ceci dit, dans tous les contacts soi-disant avec la Terre creuse, je suis sûr qu'il doit y avoir aussi des choses qui ne proviennent pas de la lumière, car il est facile à l'ombre de prendre l'apparence de la lumière. Cela fait évidemment partie des risques que nous sommes en train de courir en ce moment... et qu'il faut accepter aussi, comme faisant partie de l'avance et de l'évolution de la Terre.
Jean-Claude : Un autre extrait de "Voyage à Shambhalla", pages 193 et 194, nous dit : "Votre Terre est creuse, vous le savez, comme le sont toutes les planètes du système solaire, aussi creuse qu'une noix sans ses cerneaux. Là également vous attendent les prémisses d'un avenir fabuleux ou, plutôt, d'un présent déjà bouillonnant en vous. Lorsque les sages disent aux hommes de chercher à l'intérieur d'eux-mêmes, ils sont dans la vérité à tous les stades de compréhensions."
Anne : Oui, parce que, en fait, cette Terre creuse, c'est aussi à l'intérieur de nous qu'elle est. C'est comme si nous avions, à l'intérieur de nous, une réconciliation avec une partie de nous qu'on a oublié et qui n'avait pas envie non plus de se manifester. Tout ce qu'on décrit à l'extérieur de nous, on pourrait dire que c'est complètement à l'intérieur. En ce sens, on peut être, sans doute, dans une bulle, complètement isolé, mais je suis persuadée actuellement, après toutes les expériences que j'ai pu faire hors du corps, que rien de ce qui est à l'extérieur n'existe si ça n'existe pas déjà à l'intérieur de nous. Il m'est difficile d'expliquer tout cela d'une manière scientifique mais c'est vraiment un sentiment profond. Actuellement, je m'aperçois que ce que je vis extérieurement, c'est quand même quelque chose qui m'appartient à l'intérieur, et sinon, ça ne saurait pas possible.
Jean-Claude : Pardon de changer de sujet, Anne, mais as-tu été informée de cette position des planètes entre le 8 et le 9 novembre ?
Anne : Quand il y a eu l'éclipse et la position des planètes en étoile tétraédrique ? Oui, bien sûr. Nous étions au Québec à ce moment-là et nous avons fait une méditation particulière autour d'un feu pour ce moment extraordinaire.
Jean-Claude : Tu as fait des recherches sur cette période qui continuera jusqu'au 23 novembre 2003 ?
Anne : Non. Je ne peux pas dire que j'ai eu beaucoup d'éléments. Il y avait tellement d'autres éléments extérieurs qui sont arrivés à cette période et qui ont été donnés par des tas de personnes qui avaient des contacts ou qui recevaient des messages, que tout se recoupait pour montrer que la Terre était à un moment important de son évolution, et qu'il était possible, pour les êtres humains en tout cas, qu'il y ait une prise de conscience et une ouverture de porte qui puisse se faire. Il est vrai qu'à ce moment-là, j'ai senti une énergie particulière qui continue d'ailleurs à se manifester et qui permet à toutes les personnes qui ont envie de se connecter à cette énergie ou cette prise de conscience, d'ouvrir une porte pour aller plus loin et pour se débarrasser de noeuds ou de problèmes anciens qui nous empêchent d'avancer.
Jean-Claude : Alors, ouvrons des portes. Comme je l'ai dit en milieu d'émission, je ne sais pas où te classer... mais c'est peut-être aussi bien ! Parmi les livres que tu as écrit, seule ou avec Daniel Meurois, et aujourd'hui avec ton compagnon Antoine Achram, il y a : "Walk In, la femme qui changea de corps". C'est quoi la transmigration, est-ce que tu peux expliquer ?
Anne : J'ai d'abord eu un problème à trouver un titre car comment peut-on vraiment traduire walk in en Français ? Je n'arrivais pas à trouver un mot qui puisse être assez parlant pour ce type de phénomène. Dans le Walk in, c'est à dire dans ce phénomène de transmigration, il y a un échange de corps entre deux êtres, un être qui n'est pas terrestre et un être qui vit sur Terre. L'être non terrestre va donc occuper ce corps physique de façon à être opérationnel immédiatement à partir du moment où il entre dans ce corps physique.
Jean-Claude : Tu écris : "Un walk in est un être qui marche à l'intérieur... à l'intérieur de quoi ?" C'est toi qui poses la question.
Anne : Eh bien... à l'intérieur d'une personne qui lui prête son corps physique pour un temps. C'est un pacte qui se fait entre deux êtres avant la naissance, c'est-à-dire, avant qu'une entité ne s'incarne sur Terre, il y a un pacte entre ces deux âmes et celle qui s'incarne sur Terre va utiliser le corps physique qui est devenu le sien pendant un certain nombre d'années, par exemple, 20 ans ou 30 ans, peu importe. Il y a donc, un jour, ce pacte qui a lieu et la personne qui possède au départ ce corps physique va, à un moment donné, abandonner son corps, comme si c'était une mort, mais pas de la même façon qu'une mort habituelle, car ce corps physique va immédiatement être repris par une entité qui a un travail spécifique à faire par rapport à la planète Terre et qui va pouvoit utiliser ce corps physique pour entrer en action immédiatement, au lieu de passer par la naissance, l'enfance, l'adolescence, tous ces épisodes qui feraient qu'elle aurait un temps beaucoup plus long pour pouvoir être opérationnelle.
Jean-Claude : Je reviens sur ce mot "pacte" : souvent, quand on parle de paix, on dit "un traité de paix" ; quand on parle de pacte, on a souvent le sentiment du pacte avec Satan, du pacte avec le diable. Ce mot "pacte" est lourd de signification, non ?
Anne : Oui. Bon, peut-être que ce mot n'est pas approprié.
Antoine : En fait, il s'agit plutôt d'un contrat ! Il y a un contrat entre deux êtres : "Ok, tu pourras me prêter ton corps physique pour qu'on puisse faire un travail pour l'humanité", et la personne qui vit dans ce corps dit "oui, je te prête mon corps à partir de 21 ans", par exemple.
Jean-Claude : Mais, es-tu d'accord avec moi... je reviens sur ce mot "pacte"...
Antoine : Oui... Parfois, cela a une connotation péjorative. Dans le mot "pacte", il y a des sous-entendus d'un contrat illicite, d'un contrat qui n'est pas avoué, c'est un pacte que l'on fait sur le dos de quelqu'un. Oui, je vois à peu près les nuances humaines derrière le mot pacte. Tu as raison. Mais moi, je le comprend plutôt comme un contrat entre deux êtres pour un but ultime de continuer à aider la Terre.
Jean-Claude : Et si l'on utilisait tout simplement le mot que Anne utilise dans un de ses livres qui s'appelle "Alliance".
Anne : Oui, c'est une alliance !
Jean-Claude : Alliance fait penser à ralliance.
Anne : Tout à fait ! Mais je verrais aussi plutôt le mot "contrat". En fait, le walk in n'est quand même pas un phénomène courant ! Heureusement d'ailleurs, parce que les gens s'affoleraient beaucoup... d'ailleurs, après la sortie du livre, il y a des personnes qui se sont mises à penser qu'elle étaient des walk in, mais en réalité, il n'y en a pas tant que cela. Mais, avec ce livre, je voulais que ce soit clair parce qu'il y a des personnes qui vont de plus en plus en entendre parler. C'est quelque chose qui va être utilisé - et là, je dis bien le mot "utilisé" - à des fins qui ne seront pas toujours positives.
Jean-Claude : Est-ce qu'il existe sur cette Terre des êtres qui ne sont pas de cette Terre ?
Anne : Alors... oui bien sûr... il y a différentes sortes d'êtres qui ne sont pas d'ici... En fait, on pourrait dire qu'au départ, les trois-quart des êtres de la Terre sont déjà des êtres qui viennent d'autres planètes, parce que, à un moment donné, il y a eu des problèmes, des explosions sur d'autres planètes qui ont fait qu'il y a des êtres qui sont venus sur Terre, qui était une planète école et, en même temps, enviée de beaucoup d'êtres hors de la Terre.
Jean-Claude : Tu disais tout à l'heure que les planètes comme Vénus, Neptune et d'autres seraient donc habitées...?
Anne : et Mars, Jupîter, oui bien sûr !
Jean-Claude : La Lune aussi ?
Anne : Mais oui ! De toute façon, ce qui est désolant, c'est que l'humanité est encore en train de se poser des questions alors que pendant ce temps, il se passe des rencontres... disons occultes mais en même temps, avec des personnages tout à fait non occultes et publics, alors que le public est encore en train de se poser la question : "Est-ce qu'il y a une vie sur d'autres planètes ?" Pendant qu'on est en train de perdre un temps infini à pouvoir toujours se poser ces questions-là, il se passe des choses qui, un jour, pourront étonner beaucoup de personnes le jour où, tout d'un coup, elles vont se dire "Ah ben oui, effectivement, on n'avait pas vu ça, on n'avait pas vu qu'il y avait des rencontres", etc...
Jean-Claude : Est-ce que c'est écrit tout cela... je pense aux évangiles, aux textes sacrés ?
Anne : Mais c'est écrit partout, à condition qu'on veuille bien le voir. Je n'ai pas de phrases particulières sous les yeux mais, bon, c'est comme l'incarnation, la réincarnation, tout cela est écrit dans les évangiles. Maintenant, faut-il encore vouloir le voir, et puis il faut savoir aussi que les évangiles ont quand même été remaniées. Elle n'ont jamais été écrites à l'époque de Jésus mais bien après. C'est une tradition orale, donc, en fait, il y a eu la possibilité d'introduire la personnalité de celui qu'écrivait, et puis, par la suite, de changer certains textes qu'on n'avait pas envie de donner au public.
Jean-Claude : Alors, donc, les différentes planètes ont été habitées... et on retrouve souvent le terme d'hommes très grands, de grands personnages. Est-ce que ce sont des êtres humains ? Est-ce que ce sont des entités ? Comment peux-tu les décrire ?
Anne : Dans Alliance, par exemple, je parle du peuple de Vénus. Ce sont des êtres qui sont grands, qui sont effectivement blonds avec des yeux clairs, comme ont pu le décrire certaines personnes qui ont eut un contact avec ces êtres-là. Ce qui est quand même intéressant, j'ai pu m'en rendre compte, c'est de savoir que, sur toutes les planètes du système solaire, chaque planète a une seule race particulière. Sur certaines, ils peuvent être petits, sur d'autres grands, peu importe. Il n'y a que sur la planète Terre qu'il y a autant de races différentes, autant de physiques et de personnages différents. Par contre, sur la planète Vénus, par exemple, il y a un seul type de race, il n'y a pas ce mélange que l'on connaît sur Terre.
Jean-Claude : Ils sont tous semblables ?
Anne : Oui, ils sont tous semblables et on peut même dire que les hommes et les femmes se ressemblent dans la mesure où il y a un androgynat qui est presque atteint. On sent l'énergie féminine ou l'énergie masculine mais, ceci dit, physiquement, il n'y a pas une grosse différence comme il peut y en avoir chez nous. Il y a cet androgynat qui est là et qui est dû aussi, en fait, à l'âme de ces êtres qui ne fait pas les mêmes différences non plus.
Jean-Claude : Mais la Terre n'a pas toujours été habitée; d'après ce que j'ai pu comprendre dans ce que tu as écris, elle n'est habitée que depuis quelques millers d'années...
Anne : Disons que, depuis 18 millions d'années, elle a été sous protectorat d'êtres des étoiles qui, eux, ont décidé, à un moment donné, de prendre en charge la planète Terre, de l'aider, de l'amener jusqu'à un certain point pour qu'elle puisse croître dans son évolution, comme des grands frères et soeurs par rapport à leurs petits frères et soeurs, si on veut faire une comparaison humaine. Ca, c'est depuis 18 millions d'années. Avant, il y a eu quand même des passages différents avec des créations venant d'autres planètes. Il y a eu des évolutions, des tentatives de création qui ont plus ou moins bien réussies. Quand on parle, par exemple, des Yétis, on pourrait dire que c'est aussi une tentative de création qui n'a pas forcément aboutie à ce qu'elle aurait dû ou à ce qui était souhaité à ce moment-là. Donc, il y a eu divers apports. Il y a eu aussi des êtres de différentes planètes qui ont... disons, fait des expériences de génétique. Il y a donc eu des expérimentations très diverses parce que la Terre propose une variété et un type d'expérience qui est inégalé, en définitive.
Jean-Claude : Tu veux dire que nous serions utilisés, comme des cobayes ?
Anne : Eh bien, tout d'abord, quand on parle des êtres des étoiles, on a l'impression que tout le monde est positif, il y a eu une époque où l'on disait : "Tout le monde est bon, tout le monde est gentil"... mais ce n'est pas tout à fait ça, quand même ! C'est-à-dire, comme sur Terre, il y a des êtres des étoiles qui sont là pour aider la planète Terre, et puis d'autres qui sont là juste pour regarder ce qui se passe, et d'autres êtres encore qui sont là pour se dire que sur la planète Terre, tout compte fait, il y a un cheptel - tout comme nous avec nos troupeaux d'animaux -, un cheptel bien utile sur lequel on peut faire aussi des expériences, et qui peut servir à leur bien-être, un peu comme un type d'esclavage - tout comme on a fait dans nos colonies ou que l'on fait avec nos animaux. Après tout, je veux dire, il n'y a pas autant de différence. Et, donc, avec ces êtres-là, effectivement, à ce moment-là, on peut parler d'expérimentations.
Jean-Claude : Ca se passe ici et maintenant ?
Anne : Ca se passe ici et maintenant ! Même si beaucoup de personnes n'ont pas envie de le voir, parce qu'il y a toujours ceux qui aiment se faire peur... mais quand je parle de tout cela, ce n'est pas pour faire peur à qui que ce soit, c'est simplement pour qu'on ait conscience de ce qui se passe, et quand on sait ce qui se passe, alors, à ce moment-là, on commence à acquérir un peu plus de liberté et d'autonomie. Ca ne veut pas dire qu'il faille avoir peur de tout ce qui se passe. Ca veut dire qu'il faut savoir que, comme sur la planète Terre, il y a des personnes qui travaillent pour elles-mêmes, d'autres qui travaillent pour le bien-être général, et d'autres qui sont simplement là comme des curieux.
Jean-Claude : Peut-on imaginer que, quelque part dans cet espace temps, il y ait des êtres qui nous veulent du mal ?
Anne : Qui nous veulent du mal, non... je ne dirais pas du tout qu'elles nous veulent du mal. Il y a simplement des êtres qui travaillent pour eux, qui se nourrissent des énergies qu'on déploie, des énergies de peur, de division, par exemple, parce que ça nourrit quelque chose en eux qui leur permet de vivre.
Jean-Claude : Tu as un exemple concret ?
Anne : Par exemple, on sait qu'à travers les médias passent régulièrement des informations qui font baisser l'immunité, non seulement au niveau de la santé, mais qui, en plus, nous donnent des énergies, des pensées ou des formes pensées de peur, d'angoisse, de colère, ceci parce qu'on on voit que ça ne se passe pas bien dans le monde. Toutes ces énergies-là ne sont pas aussi subtiles qu'on veut bien le croire, c'est-à-dire, ce ne sont pas des énergies qu'on ne voit pas, qu'on n'entend pas, qu'on ne sent pas. Sur d'autres plans, ce sont des énergies extrêmement concrètes et dont des êtres peuvent très bien faire leur nourriture sur un plan subtil. Ca fait vivre des entités qui se nourrissent de cela, et plus on émet des énergies de ce type-là, plus ça nourrit ces entités, ce qui est normal. Ca ne veut pas dire qu'ils sont contre ou pour nous, ça veut dire simplement que c'est leur nourriture, et tant qu'on émet des énergies de ce type, on leur tend la main, on les nourrit, on les engraisse, et ensuite, il y a évidemment tout ce qui se passe sur Terre.
Jean-Claude : Et on perd notre énergie !
Anne : Et on perd notre énergie, bien entendu ! | |
| | | PI Membre ACTIF
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| Sujet: Re: Interview de Anne Givaudan Ven 17 Fév - 17:54 | |
| Merci beaucoup , Régis , cette interview est tres intéressante. | |
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