L'énigme des Andes

Depuis quelques années, plusieurs auteurs dans le domaine spirituels nous informent que Shambhalla est actuellement en train de se déplacer de l’Himalaya vers les Andes. Daniel Meurois l’a confirmé dans le livre “Pionnier de l’éveil”, en précisant : “...il est certain que dans un avenir relativement proche les Maîtres de Sagesse seront actifs, principalement à partir de la Fraternité andine. On ignore encore le nom actuel de celle-ci. Il y a toujours un laps de temps important avant la dilvugation d’un tel nom. Le nom divulgué correspond invariablement à la période d’activité précédente pour éviter de créer un lien psychique entre la population terrestre et la réalité de la nouvelle structure.
Pourquoi les Andes ont-elles été choisies pour accueillir la nouvelle Shambhalla ? Cela a à voir avec le déplacement des lieux de force ou des chakras planétaires. Ceux-ci bougent et changent parfois de polarité. Le vortex des Andes est en train de s’amplifier afin de prendre le relais du Shambhalla que nous connaissons, mais avec une polarisation différente, féminine cette fois.../... Cependant, il ne faut pas croire qu’en l’espace d’un siècle ou deux plus rien ne va se passer dans l’Himalaya ou en Inde. Les territoires asiatiques sont aussi des territoires privilégiés qui ne vont pas tomber en sommeil sous prétexte que le pôle andin est en train d’émerger avec force. S’il y a une passation des pouvoirs ou des influences – ce dernier mot est plus juste –, elle se fera relativement lentement et très harmonieusement. Les Maîtres de sagesse vont encore s’incarner en Orient pendant longptemps, mais on aura tendance à les voir émerger de plus en plus vers l’ouest.” (“Pionnier de l’éveil : rencontre avec Daniel Meurois-Givaudan” – Marc Vallée – Ed. Ariane)

En ce qui me concerne, la première fois où j’avais entendu parler de ce déplacement de Shambhalla vers les Andes, c’est dans le livre de Drunvalo Melchizédek : “Le Serpent de Lumière”, sorti en 2008. Quelque part, c’est une information récente pour un bon nombre d’entre nous, j’imagine.

Simple coïncidence ou pas, on m’a prêté dernièrement un vieux livre intitulé “L’énigme des Andes” de Robert Charroux. C’est une édition de 1974 dans lequel on apprend plein de choses...

Tout d’abord, j’ai pu noter que dans les années soixante, un initié, Raymond Bernard, Grand Maître de l’AMORC en France, avait déjà révélé que l’Agharta ne se situait plus au Tibet. Par ailleurs, le mystérieux royaume souterrain qui, selon l’écrivain Ossendowski, s’étend sous la chaine de l’Himalaya, non loin de Chigatzé, se situerait depuis quelques années en Amérique du Sud si l’on en croit les traditions. Dans le premier cas, il est question de l’Agharta mais je pense que cette personnes confondait sans doute certaines choses... Bien que Shambhalla et l’Agharta soient deux réalités qui fusionnent, il me semble (mais si je me trompe, dites-le moi) que l’Agharta concerne plutôt le Royaume de Lumière situé au centre de la Terre, alors que Shambhalla est une Ambassade de la Fraternité Blanche beaucoup plus prête de la surface et qui interagit avec l’humanité.

Mais peu importe le nom employé par ce Raymond Bernard, ce que je voulais faire remarquer ici, c’est que l’information d’un déplacement de cette Ambassade existait déjà dans les années 60... même si ça n’avait eu aucun impact sur les gens qui, à cette époque, étaient en grand nombre des profanes en “matière spirituelle” ! Ce n’était pas encore le moment...

Et pourtant, en 1964, un pilote vénézuélien, Harry Gibson, aurait découvert ce qui pourrait bien être une des entrées du monde intérieur, qui se situerait au fond de deux cratères de la jungle, quelque part entre la Serria Maigualida et le fleuve Orénoque. Y aurait-il un lien avec la nouvelle Shambhalla, difficile à dire, mais le récit suivant mérite notre attention.

“C’est une étrange histoire qui aurait pu être classée au dossier des royaumes imaginaires (surtout pour les occidentaux de l’époque)... si deux archéologues, David Nott, de Liverpool, et Charles Brewer Carias, de Caracas, assistés de dix savants de différentes nations et des services de l’aéronautique vénézuélienne n’avaient pas pris l’affaire très au sérieux.

Les cratères sont situés non loin des sources des rios Caura et Ventuari, c’est-à-dire près du Cerro Pava (1641) et du pic Masiati (1495 m), à l’entrée de la Sierra Pacaraima, qui constitue une pointe avancée du sertäo brésilien.

Les volcans sont éteints depuis des milliers, sinon des millions d’années, si bien que les géologues, archéologues et botanistes espèeraient y trouver une faune et une flore disparue depuis longtemps de la surface du globe.

En janvier 1974, une première équipe de trois membres descendit dans un des cratères, profond de trois cent mètres pour un diamètre de quatre cent mètres environ.

Ils récoltèrent un abondant matériel en plantes et animaux vivants d’espèces inconnues ou éteintes depuis l’ère secondaire.

Un souterrain long de 1500 mètres relie les deux cratères et, selon des rumeurs à vrai dire non contrôlées, servirait encore actuellement car on y aurait relevé des traces de passages récents.

Voilà pour la partie avérée de la découverte, dont les milieux scientifiques du Vénezuela séquestrent les résultats les plus importants depuis toutes ces années, pour de mystérieuses raisons. Cette réticence a donné naissance à des enquêtes privées auprès des autochtones des montagnes environnantes dont les noms indigènes sont Jaua-Jidi et Sari Inama-Jidi.

On apprit alors les fantastiques légendes qui s’attachent au mystère des deux cratères. La région de Jaua-Jidi est une forêt de grande densité, quasi impénétrable et à peu près inhabitée. Il a été très difficile aux enquêteurs vénézuéliens d’entrer en relation avec les hommes vivant à l’état sauvage de cette zone qui est en fait le prolongement de la forêt brésilienne. Ils fuient les Blancs, parlent une langue inconnue et ne comprennent pas l’espagnol.

Toutefois, des métis de la cité d’Esméralda, sur l’Orénoque, ont pu les approcher et c’est d’eux que l’on tient les renseignements qui furent colportés dans tout le Vénézuela.

- “Plusieurs fois, des hommes étranges et étrangement habillés ont été vus dans la forêt de Jaua-Jidi. Ils ne semblent pas vouloir approcher les Indiens et ne s’aventurent qu’à petite distance des cratères. Leur peau est couleur ivoire jauni ; ils ont de grands yeux comme ceux des jaguars et des cheveux long de différentes couleurs. Ils paraissent craintifs et fuient dès qu’ils entendent un bruit insolite. On pense qu’ils habitent un pays qui s’étend au fond des cratères et dans d’immenses salles souterraines. Des entrées secrètes et inconnues s’ouvrent sur la forêt.”

D’autres observations donnent à penser que les créatures du “Royaume des Deux Cratères” auraient des contacts quasi permanent avec des êtres de l’espace. Ainsi, les Indiens de la forêt disent que, la nuit, les arbres qui bordent les cratères ont leurs sommets éclairés par une douce lumière verte, comme si la source se situait au fond de l’excavation.

Parfois, quelque chose ressemblant à “un petit avion rond” sort de la nuit, entre dans le halo de clair-obscur vert et disparaît dans le cône du volcan.

Deux ou trois nuits avant que David Nott, Brewer Carias, G. Dunsterville et leurs compagnons arrivent sur les lieux, on a observé une intense activité des “choses” volantes. Elles étaient aussi nombreuses que des guêpes sur une touffe d’orchidées, mais, en raison peut-être de la distance qui les séparait des observateurs, ces “choses” volaient sans faire aucun bruit.

Les Indiens eurent le sentiment que les hommes étranges étaient renforcés par une troupe importante ou bien, au contraire, qu’ils déménageaient avant la venue des archéologues.

Quoi qu’il en soit, ils laissèrent peu de traces de leur passage dans les galeries, mais assez néanmoins pour que l’on soit persuadé que leur existence n’est pas un mythe.

Les Indiens pensent que le “Royaume des Deux Cratères” s’étend sous la montagne et que les issues en sont, pour le moment, hermétiquement fermées.

A Lima, Zizi Ghenea nous a dit qu’à l’intérieur même des grottes et des cratères, une petite forêt d’arbres d’une espèce disparue verdoyait, et qu’elle était peuplée d’animaux vivants de l’époque tertiaire.

Ce qui est curieux dans cette histoire, où la légende se mêle étroitement à la vérité de quelques faits, est le silence inexplicable du gouvernement vénézuélien et le black-out pratiqué sur les comptes rendus de la mission.

LA CENTRALE SCIENTIFIQUE DE NARCISSO GENOVESE
Existe-t-il une corrélation entre le Royaume des Deux Cratères et la Cité souterraine des Andes, dont on parle à mots couverts de Caracas à Santiago ?

Là encore, on ne peut se référer qu’à des rumeurs incontrôlables et aux demi-confidences qu’échangent entre eux les pseudo-initiés aux énigmes extraterrestres !

Pourtant, un journaliste mexicain, Mario Rojas Avendaro, enquêta sur la C.S.A., en rajouta, broda, inventa, et finalement, révéla d’authentiques secrets en croyant imaginer un roman de science-fiction !

Mario Rojas Avendaro écrivit son récit “à partir des déclarations que lui aurait faites un ex-disciple de Guglielmo Marconi : le physicien, philologue et humaniste Narcisso Genovese, professeur dans un lycée de Basse-Californie”.

Selon N. Genovese, les élèves de Marconi, à la mort de leur maître en 1938, décidèrent de continuer ses études et ses expériences sur l’utilisation de l’énergie solaire ou cosmique, mais en prenant toutes les précautions désirables pour qu’elles ne puissent servir à la guerre ou à des fins criminelles.

Quatre-vingt-dix-huit savants et techniciens de différentes nations auraient formé une société analogue au Comité Pugwash et se seraient retirés dans une région déserte de la Cordillère des Andes (ou de la forêt) où ils vivent isolés et ignorés. Leur travail consiste à domestiquer les forces électriques de l’espace dans un but pacifique et universel.

La communauté est régie par trois princpes de base :
- une seule religion sur la Terre, celle du vrai Dieu ou Intelligence universelle ;
- une seule nation : la patrie terrienne ;
- une seule politique : paix sur toute la planète et alliance avec les peuples de l’espace.

Pourvue d’importantes ressources monétaires, l’association a construit “dans la selva sud-américaine une cité souterraine mieux équipée en laboratoires, en matériel et en moyens techniques que Cap Kennedy, Kourou, Baïkonour, Saclay ou le CERN de Genève” !

LES MARSIENS ATTERRISSENT

L’avance scientifique de la C.S.A., selon le rapport de N. Genovese, est due à l’aide que lui apportent les peuples de l’espace dont une base se trouve sur la planète Mars. Ces Extra-Terrestres rendent visite aux savants andins et les ont aidé à construire plusieurs engins spatiaux.

Dès 1946, le centre utilisait déjà un puissant récepteur-collecteur d’énergie cosmique, constituant primordial et essentiel de toute matière dans les théories de Marconi.

N. Genovese assure qu’au premier stade des recherches, les physiciens de la C.S.A. tablèrent sur l’antagonisme matière et antimatière. De nos jours, ils puisent directement l’énergie dans le soleil.

“En 1952, déclare Genovese, nous avons fait des voyages sur toutes les mers et sur tous les continents à bord d’un puissant engin dont l’alimentation était continue et pratiquement inépuisable. Cet engin atteignait une vitesse de 800 000 km/h et supportait d’énormes pressions, à la limite de la résistance de l’alliage des métaux qui le constituaient. Le problème était de freiner juste au moment nécessaire. Nous avons eu notre premier contact avec les Extra-Terrestres venant de Mars le 16 décembre 1955, à 17 heures. Nous avions déjà envoyé des signaux lumineux et en ondes courtes. Nous fûmes surpris de voir une formation de cinq appareils qui survolait notre campement.

Aux signaux que nous leur envoyâmes par radio, un des engins fit des manoeuvres d’atterrissage tandis que les autres demeuraient suspendus au-dessus de nous, en vigie et en couverture éventuelle. L’appareil qui nous contacta était une soucoupe volante. Il iiradiait une lumière phosphorescente qui disparaissait quand ses instrumernts propulseurs s’arrêtaient. Au sol, il prit une couleur marron clair opaque et fantastique.”

Genovese continue son récit en décrivant la soucoupe qui mesurait sept mètres de diamètre et était entourée d’un bourrelet lisse qui tournait dans le sens contraire de la course.

Comme dans beaucoup de relations de cet ordre, les visiteurs extra-terrestres sont de taille élevée, ont le visage très pâle, les yeux très bleus (scandivaves, dit Mario Rojas !) et ils sont vêtus de maillots collants, d’une seule pièce et d’une étoffe inconnue ! De plus, ces Extra-Terrestres avaient le front plus haut que celui des Terriens, plus large et presque “protubérant” !

.../...

Voilà une toute petite partie du contenu de ce livre cité plus haut. Je dois préciser que dans son livre, l’auteur exprime à plusieurs reprises son scepticisme par rapport à ces témoignages, mais je le répète, c’était dans les années 70 et à cette époque-là, beaucoup de choses auxquelles nous nous sommes habitués aujourd’hui apparaissaient forcément comme des affabulations pour un grand nombre. Comme quoi, le monde a vraiment changé, malgré les apparences !

Le sujet que tu abordes est tres intéressant , Régis et plus essentiel que le bémol que je vais apporter. Mais je tiens à dire que sur ce que je sais , Raymond Bernard , ex président de l'amorc , est tout sauf un initié;
C Cotten a un gros dossier sur lui dont voici des extraits:

http://voltair.free.fr/ots.html

5. M. Raymond BERNARD, ancien "grand maître" de l'AMORC, de l'Ordre Rénové du Temple, du CIRCES, membre de la loge maçonnique OPÉRA, ami et conseiller de plusieurs Chefs d'État Africains, proche de M. Charles PASQUA, est lui-même très directement impliqué dans l'organisation de ce meurtre (ots)

Il est tard ; Je n'en dis pas plus . Et il n'empeche que tout ce qui concerne Shamballah est hyper intéressant. Donc merci pour ton post et bonne nuit.

PI, les accusations portées contre quelqu’un ne sont pas nécessairement la preuve de sa culpabilité. Ce qui a été dit contre Raymond Bernard ne signifie pas nécessairement que Raymond Bernard était coupable et qu’il n’est pas un initié. Aujourd’hui encore Les Cagliostro, les comte-de-St-Germain, Les H.P. Blavatsky, un peu moins les Philippe de Lyon ont été accusés de tous les crimes, traités de charlatan etc.. Ils ont rénové La Franc-maçonnerie en introduisant de nouveaux rites (Clagliostro, St-Germain), illuminé des mouvements ésotériques comme le martinisme (Maître Philippe de Lyon), dévoilé l'existence des maîtres et de Shamballah (HP Blavatsky); ils furent considérés à leur époque (et aujourd'hui encore pour certains esprits attardés) pour sectaires, menteurs et criminels pour la cause spirituelle, mais aujourd’hui avec du recul ont peut mieux estimer leur apport à l’évolution des connaissances.
D’un côté on les considère comme des Maîtres, mais d’un autre on ne comprend pas qu’ils se soient intéressés par exemple à la Franc-maçonnerie qui est aujourd’hui à tort ou à raison accusée de bien de crimes.
Même le maître Jésus à son époque a été jugé, pire il a été crucifié ; en est-il pour autant coupable ? Oui certainement d’avoir apporté des idées nouvelles et de la lumière là ou règnait l’obscurité, oui d’être né essénien, oui d’avoir trempé ses mains dans la fange pour essayer d’en extirper ceux qui s’enlisaient et il a été sali (il ne s’est pas Sali (nuance)) etc … PRUDENCE dans les jugements hâtifs…

Un dernier point pour qui a suivi de près cette affaire de l’OTS c’est que Raymond Bernard n’avait plus aucun lien avec l’Ordre Rénové du Temple dont il s’est dissocié dès le début des années 70. Et il n’est pas du tout ‘’directement impliqué’’ dans cette affaire de l’OTS qui l’a profondément attristé et pour laquelle il a été cité comme témoin, sans plus, à cause de ce lien qu’il avait avec l’Ordre Rénové du Temple. Comme il l’a dit, l’Ordre Rénové du Temple a été pour lui une tentative de transmettre une tradition dont il était le dépositaire, mais le moment n’était pas venu et il s’en est radicalement et totalement dissocié début 70 (je pense moins de 2 ans après la tentative). Je vais essayer de retrouver les sources (je pense que je l’ai lu dans un ouvrage de Serge Caillet ‘’ L’Ordre Rénové du temple (aux racines du temple Solaire)’’.

Régis, la nuance que tu apportes entre Shamballah et l'Agartha me semble correcte (en ce qui me concerne) et à travers ''WALK-in'' de Anne et ''Le voyage à Shamballah'' de Anne et Daniel on peut la pressentir.
Mais j’aimerais en apporter une précision de plus relativement à ce qui est révélé dans le livre de Raymond Bernard ‘’Rencontres avec l’insolite’’ disponible au lien suivant : http://www.tradition-mystique.net/biblio_insolite.html

Je pense que l’Agartha est un royaume souterrain qui lui ne se déplace pas et qui probablement est éparpillé ici et là à divers endroits de la planète (tibet, amérique du sud, USA …) depuis des milliers d’année). Ce qui semble s’être déplacé c’est le centre de commandement, le GOUVERNEMENT de l’Agartha. Je cite Raymond Bernard :

‘’Je sais que je suis le premier à faire à ce sujet de nouvelles révélations et j'ai conscience de l'importance de la responsabilité que j'assume en cela, mais il va de soi que tout comme Saint-Yves d'Alveydre, je ne me serais jamais hasardé à de telles révélations sans permission. Je déclarerai donc nettement que le gouvernement occulte du monde (sur lequel je reviendrai un peu plus tard en détail à propos de l'une de mes rencontres insolites) n'est plus en aucune façon ce qu'il était il y a encore une trentaine d'années. De plus, il ne se situe plus au désert de Gobi. A tous égards, comme nous le verrons, il est tenu compte des conditions du monde moderne et il en a toujours été ainsi, dans une progression lente, par un ajustement constant aux conditions nouvelles.’’


… et Raymond Bernard citant une conversation avec l’un des membres de ce conseil des sages :

‘’ Vous ne pouvez qu'avoir entendu parler de l'Agartha, mais même ce nom ne convient plus désormais. Le nom véritable et définitif ne devra être connu que du "petit nombre" et il ne doit pas être communiqué. Ce nom est À........ Gouvernement occulte du monde! Comme cette expression est impropre ! Et pourtant, comme elle définit bien le "Haut Conseil" et les douze qui le constituent! L'erreur commise à toutes les époques a été de croire à l'éternité des membres du Haut Conseil. Le Haut Conseil est éternel, mais ses membres sont des mortels comme vous et moi. Seule, leur "connaissance" les différencie, leur connaissance et leur extraordinaire vision et compréhension de l'avenir de ce monde ! Lorsqu'un membre meurt, celui qui a été "choisi" pour lui succéder le remplace aussitôt et pendant trois mois, il se familiarise avec la "connaissance" et "l'expérience" laissées par son prédécesseur. Il entre aussi, pour la première fois, en contact avec les membres réunis du Haut Conseil. Ainsi, la transmission est ininterrompue. Voilà la vérité à ce sujet. Notre responsabilité est considérable, mais nous l'assumons dans la connaissance..."
- J'interromps mon interlocuteur:
- " Vous venez à plusieurs reprises de dire "nous". Etes-vous membre du Haut-Conseil? ".
- Semblant ne pas avoir entendu, il poursuit :
- " Le Haut Conseil SAIT le point ultime qu'atteindra ce monde dans son évolution. Il en connaît les étapes. Certains, dans les cercles d'initiés, en connaissent quelques-unes, l'ère des Poissons ou l'ère du Verseau, par exemple, mais il y en a d'autres que JAMAIS nul ne connaîtra en dehors du Haut Conseil. Le rôle essentiel du Haut Conseil ? Veiller à ce que chaque étape soit accomplie en temps voulu et presser ou retarder selon le cas. C'est le plus souvent à "presser" que doit s'attacher le Haut Conseil. L'humanité est LIBRE d'atteindre le terme d'une étape SELON SES PROPRES VOIES, mais le nouveau point doit être connu TEL QU'IL A ETE ETABLI et c'est à cela que le Haut Conseil doit veiller. Il a naturellement les moyens d'influer sur les événements, et il voit par delà les péripéties, INELUCTABLES PAR LA FAUTE DE L'HUMANITE ET DE LA DIFFICULTE QU'ELLE EPROUVE A S'ADAPTER SANS HEURT A DES CONDITIONS NOUVELLES. Ces moyens ne peuvent être révélés, mais vous les comprendrez aisément. Le Haut Conclave est le bras de plus haut que lui - de l'Invisible Permanence, si vous voulez, ou, mieux encore d'Etres d'une hiérarchie plus élevée.’’


Par ailleurs Régis, j’ai l’impression à la lecture de cet ouvrage que l’Agartha concerne les affaires planétaires, humaines alors que Shamballah s’occupe des affaires universelles, cosmiques et de l’âme, c-a-d l’application du plan divin sur terre. Et là encore on le voit Shamballah et l’Agartha sont les 2 pôles d’une même réalité. Je cite à nouveau Raymond Bernard lors d’une de ses conversations avec le chef de ce Conseil de Sages :

‘’Nous sommes en relation étroite avec le COLLEGE SACRE qui, sur cette terre, a pour mission de veiller à la permanence de la pensée religieuse au sens large du terme et à la perpétuation de la connaissance "réservée", celle qui est destinée au petit nombre dont le mérite a été démontré. C'est ce qui, sans doute, a créé une confusion dans la pensée de Saint-Yves d'Alveydre. Certaines de ses informations étaient EXACTES et il a fait incontestablement oeuvre utile en son temps MAIS il a réuni en un seul corps CE QUI ETAIT SEPARE. Le Haut Conseil est assurément un POUVOIR THEOCRATIQUE mais c'est un pouvoir disons... CIVIL par comparaison avec la mission cosmique du COLLEGE SACRE et de ce qu'elle implique en matière d'initiation et d'évolution. Nous avons la RESPONSABILITE DU MONDE. Le Collège Sacré a la RESPONSABILITE DES AMES.’’

Tu as bien raison de citer ce livre, Valentius , qui est fort intéressant . En tant que responsable de l'amorc , R Bernard a eu droit a de belles rencontres , lui meme n'étant pas capable , comme Daniel de voyager en astral.
Permets moi toutefois de mettre les plus grandes réserves sur l'évolution de ce personnage (ami de pasqua et de dictateurs africains) et de la famille Bernard en général.

http://www.prevensectes.com/amorc2.htm

Etonnament , un autre raymond Bernard a écrit sur la terre creuse :
http://www.artivision.fr/docs/RaymondBernardouvrageTC.html

En dernier lieu , quel que soit le personnage , son livre est chouette et je l'envie pour les rencontres qu'il a faites...C'est surement ce qu'il faut retenir.

Daniel parle dans le livre de J vallée de déplacement dans les andes du fait du coté féminin de cette région du monde . Cela me semble etre une explication plausible de cette translation.
Bonne journée à tout le monde

PI a écrit:

Le sujet que tu abordes est tres intéressant , Régis et plus essentiel que le bémol que je vais apporter. Mais je tiens à dire que sur ce que je sais , Raymond Bernard , ex président de l'amorc , est tout sauf un initié.

J'en prend bien note mais je n'ai fait que citer Robert Charoux. Par ailleurs, je n'ai moi non plus pas une très bonne opinion de l'AMORC, même si je suis d'accord avec ce que te répond Valentius. Je préfère simplement la branche des Rose-Croix de la lignée de Max Heindel. Ceci dit, même là, il y aurait pas mal de vieux dogmes à mettre à la corbeille, du moins à mon avis. C'est d'ailleurs la même chose pour toutes ces vieilles écoles initiatiques qui ont eu un rôle important à jouer en leur temps, mais certaines d'entre elles ont été dépassées et leurs membres ne sont pas passés de cette connaissance intellectuelle complexe qu'ils avaient à cette compréhension intuitive et cardiaque - comme on peut l'avoir aujourd'hui - par rapport à tous ces concepts spirituels et métaphysiques.

Mais tout ceci nous éloigne du sujet que j'ai voulu aborder avec cet article. C'était plus une invitation pour discuter au sujet du déplacement de l'énergie de Shambhalla dans les Andes. De plus, par rapport à ces découvertes faites par les archéologues et au fait que jusqu'ici, le gouvernement vénézuélien a fait le black-out sur ces découvertes, je pensais justement à ce que disent les Frères des Etoiles à travers une canalisation de Daniel et où il est question que désormais, les révélations au monde de l'existence des peuples de l'espace et des autres dimensions vont venir de plusieurs personnes de l'Amérique du Sud qui se sont préparées pour cela, et que ces révélations seront telles que plus personne dans le monde ne pourra nier l'évidence.

Alors, je pense que le gouvernement vénézuélien et d'autres pays d'Amérique du Sud vont probablement être forcés eux-mêmes de dévoiler ce qu'ils cachent au monde depuis plus de 50 ans.

Merci Régis pour tes précisions; Moi aussi , je ressens beaucoup mieux la Rose Croix Max Heindel que l'amorc. Toutefois , mes réserves étaient sur la famille Bernard avant tout.

C'est vrai que le passage de R Charroux sur le Vénézuela est passionnant et qu'il donne envie d'en savoir plus; Et que pense le fameux "Chavez" de tout ça ?
J'ai passé quelques mois en Guyane et j'y ai rencontré un français qui a vécu tres longtemps en Bolivie. Il m'a affirmé que des touristes , là bas , ont vécu des choses étranges . Plusieurs se sont perdus en excursion comme s'ils étaient entrés dans un autre monde. leurs propos étaient incohérents souvent. Et je crois qu'on les a anormalement retrouvé tres loin de leur départ d'excursion. Bref , beaucoup de choses inexplicables aussi dans la foret bolivienne.
Bon , on quand est ce que le forum Essania va explorer là bas ? Chiche ?