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| Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles | |
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Invité Invité
| Sujet: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Lun 22 Avr - 16:41 | |
| Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles
Le laboratoire Sanofi propose un vaccin 6 en 1 pour les nourrissons.
L'épidémie de grippe, c'est fini pour cette année VIDEO. Grippe: le vaccin a peut-être été moins efficace cette année Sur-vaccinée pour son emploi, elle obtient gain de cause vaccin , sanofi SantéSanofi Pasteur a annoncé lundi l'approbation par la Commission européenne de son vaccin pédiatrique Hexyon/Hexacima destiné à prévenir six maladies en une seule injection.
Deux réactions possibles face à cette annonce. Optimiste : "chouette, ça fera toujours 5 visites chez le pédiatre qui ne se finiront pas en hurlements". Pessimiste : "Chouette, il va être six fois plus malade". En effet, Un vaccin "6 en 1" fabriqué par Sanofi pour les nourrissons vient d'être approuvé par Bruxelles. Baptisé Hexyon/Hexacima, ce produit est le premier "le seul vaccin 6-en-1, 100% liquide, prêt à l'emploi pour la protection des nourrissons contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et les infections invasives causées par l'haemophilus influenzae de type b", jusqu'à peu encore principale cause de méningite de l'enfant de moins de 5 ans, indique le laboratoire dans un communiqué. Validé par l'Agence européenne des médicaments qui s'est elle-même fondée sur les résultats d'études cliniques impliquant près de 5.000 enfants, le nouveau vaccin sera commercialisé sous le nom de marque Hexyon dans les pays d'Europe de l'Ouest par Sanofi MSD, co-entreprise entre l'américain Merck et Sanofi Pasteur, et sous le nom de marque Hexacima par Sanofi Pasteur dans ceux d'Europe de l'Est. "Le vaccin pédiatrique va améliorer le niveau de qualité de la vaccination pour des millions d'enfants", a souligné Olivier Charmeil, PDG de Sanofi Pasteur. Et pour cause : "il réduit le nombre de visites de vaccinations pour les nourrissons et rend le suivi du schéma de vaccination plus pratique pour les parents, ce qui leur permet de mieux protéger leurs enfants contre six maladies infantiles graves", complète-t-il.
Défiance franco-française envers les vaccins
Pour le Pr Brigitte Chabrol, présidente de la société des pédiatres de France, la vaccination polyvalente comporte de multiples intérêts. "Ce type de vaccin permet une meilleure couverture vaccinale, explique la pédiatre qui fait référence aux "ruptures de calendrier". "Il manque toujours un ou deux vaccins, constate le médecin. De plus, "l'enfant ne reçoit qu'une injection au lieu de six. C'est donc un confort pour le petit", dit-elle en rappelant que les Français ne sont pas les meilleurs élèves en termes de vaccination.
"La première année, ça peut aller. C'est après que ça se gâte". Pour l'expliquer, elle pointe du doigt les lobbys anti-vaccins et cette défiance des Français envers les vaccins qui émergent depuis ces dernières années. La preuve en est : "l'année dernière, on a vu réapparaître la rougeole, une maladie qu'on avait éliminée grâce aux vaccins". |
| | | Rikudou Membre ACTIF
Nombre de messages : 233 Age : 35 Localisation : Orléans Date d'inscription : 03/01/2013
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Lun 22 Avr - 16:54 | |
| Ouahh, mais qu'est-ce qui se cache derrière tout ça? Quelle genre de produit hyper-toxique vont-ils nous donner à travers ces vaccins? Encore un peu plus pour provoquer la dépendance et l'annihilations des consciences?
Mais dans ce cas, comment pouvons nous protéger nos enfants car il me semble que certains vaccins sont obligatoires. Existe-t-il une alternative? Au moins pour contrecarrer les produits toxiques? | |
| | | Hervé Z-G Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1002 Age : 60 Localisation : Terre Date d'inscription : 08/06/2006
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Lun 22 Avr - 21:30 | |
| "La première année, ça peut aller. C'est après que ça se gâte". Pour l'expliquer, elle pointe du doigt les lobbys anti-vaccins et cette défiance des Français envers les vaccins qui émergent depuis ces dernières années. La preuve en est : "l'année dernière, on a vu réapparaître la rougeole, une maladie qu'on avait éliminée grâce aux vaccins". Eh ben ! C'est fou de constater l'état d'ignorance des médecins en ce qui concerne le pourquoi d'une maladie ! Par exemple la rougeole , puisque le Pr Brigitte Chabrol la cite . Voici ce qu'on apprend sur cette maladie quand on fait les soins énergétiques : "Cette maladie est celle de l'enfant qui n'arrive pas à prendre sa place . La rougeole aide à secouer le poids trop fort de la famille , ou le poids karmique qui étouffe l'enfant . IL FAUT PERMETTRE À L'ENFANT DE VIVRE CETTE MALADIE CAR IL EN A BESOIN , il ne faudrait intervenir que si la réaction est trop forte ."(cf : Bernard Rouch) ... et "intervenir" ne veut pas dire "vacciner" ! Il existe des soins énergétiques qui marchent très bien pour enrayer cette maladie si besoin est Vraiment , l'ignorance du corps médical actuel me sidère ! J'ai été infirmier à l'hôpital pendant presque 25 ans et cette ignorance m'a sauté aux yeux ... même avant d'apprendre à soigner "énergétiquement" . Comment un médecin peut-il , par exemple , ignorer l'existence des chakras , des auras et des corps "subtils" ainsi que l'existence des réseaux des nadis ? Il faudrait une réforme radicale des études de médecine . | |
| | | PI Membre ACTIF
Nombre de messages : 800 Age : 60 Localisation : Esperaza Date d'inscription : 13/11/2009
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Mar 23 Avr - 12:41 | |
| Et comment faire pour faire avancer les choses plus vite ? Que de patience... Merci pour ce post intéressant , Hervé ! | |
| | | Hervé Z-G Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1002 Age : 60 Localisation : Terre Date d'inscription : 08/06/2006
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Mer 24 Avr - 10:18 | |
| Eh oui PI , de même : comment un médecin peut-il ignorer le "pourquoi" , donc le rôle , d'une maladie ? ... Au fait je viens de recevoir par email une lettre d'information de la part de "Santé Nature Innovation" . Ce sont des informations très intéressantes fournies par un médecin pourtant allopathe et non énergéticien et qui devraient faire réfléchir le corps médical "conventionnel" : Vaccin : ce que tout parent doit savoir
Dans un communiqué de presse publié lundi 22 avril au matin, l'Union européenne a annoncé avoir autorisé la mise sur le marché d'un nouveau vaccin "6-en-1" pour les nourrissons. Ce vaccin, appelé Hexyon et produit par le laboratoire Sanofi, regroupe les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hépatite B, la poliomyélite et contre certaines infections comme la méningite. Cette nouvelle est annoncée par les médias comme "une vraie avancée en matière de vaccination, à l'heure où les autorités sanitaires tentent par différents moyens (...) de redonner confiance aux Français en cette méthode préventive" (lu sur le site Informations Hospitalières). En ce qui me concerne, cette nouvelle ne fait au contraire qu'augmenter mon inquiétude concernant les vaccins. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable. Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables.
Des effets secondaires inquiétants
Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins.
Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes.
Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2)
Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3)
Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vacc in hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas.
Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires.
Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
L'aluminium pourrait aussi être une cause majeure de maladie d'Alzheimer et de cancer du sein, ce qui expliquerait les proportions épidémiques que sont en train de prendre ces maladies dans les générations d'après-guerre.
Un rapport risque/avantage douteux
Ces effets indésirables sont toutefois présentés par les autorités médicales et la grande presse comme bénins par rapport aux « immenses avantages » qu'auraient des vaccins. L'opinion publique leur prête en effet le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d'avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et bien entendu les maladies infantiles, rougeole, oreillon, rubéole, etc. Et pourtant, en dehors du cas particulier de la poliomyélite (qui mériterait un article à elle seule), la vérité scientifique et historique m'oblige à écrire, sans hésiter, qu'il s'agit là d'une pure mythologie. Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l'on introduise les vaccins. C'est l'amélioration des conditions de vie, de l'hygiène, de l'eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l'effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du 20e siècle. Le cas emblématique de la diphtérie
Je ne peux traiter dans cette simple lettre de toutes les maladies et me contenterai d'exemples symboliques. Mais des chiffres similaires à ceux cités ici existent pour les autres maladies pour lesquelles les gouvernements vaccinent à l'échelle industrielle. Les lecteurs qui voudront en savoir plus se reporteront pour cela à l'excellent dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivant. (6) En Espagne, il y avait chaque année 5000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l'année où la vaccination systématique fut introduite. En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L'année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre ! En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an pendant la Première guerre mondiale. Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu'à 800 annuellement en 1972 (un baisse de 99,2 %). En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l'Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts. Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre), et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.
En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s'accompagnent d'un recul de la maladie, jusqu'à une disparition quasi-totale. Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d'introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi-inexistante (cas de l'Espagne en 1964, de l'Allemagne en 1939).
Un phénomène général
Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses. La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu'il y eut de campagne importante de vaccination. Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d'enfants de moins de 15 ans, contre 1500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit. En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos). La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu'il n'y ait jamais eu de vaccin. En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéoles) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en... 1982.
La tuberculose et le BCG
Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas, qui ne vaccinaient pas leur population, qu'en France, où tous les écoliers se faisaient vacciner.
Aujourd'hui, alors que le BCG n'est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu'il n'est imposé en Italie qu'à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires...), la France continue à vacciner religieusement des millions d'écoliers chaque année. Les études de l'INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d'Après-Guerre. Les campagnes de vaccination n'ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu'auparavant, avec l'amélioration de l'hygiène et la généralisation de l'eau courante. Ce qui n'est pas étonnant quand on sait que le fait d'être vacciné contre le BCG ne protège ni de l'infection, ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd'hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n'ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition. Le problème est que le BCG comporte des risques importants d'effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l'obligation a été supprimée en 2007). C'est en effet un vaccin vivant, qui pose des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l'abandon des campagnes de vaccination au BCG. Ce n'est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies mais la prospérité économique. Celle-ci a permis une amélioration de l'hygiène, de l'alimentation et de l'habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
La vérité soigneusement dissimulée
Actuellement malheureusement, une industrie gigantesque s'est développée pour assurer la vaccination de masse des populations du monde entier. Cette industrie est d'autant plus lucrative qu'elle est totalement financée par les gouvernements, et que les entreprises qui se partagent le marché sont protégées à la fois par des brevets (dont le respect est assuré par les pouvoirs publics) et par une réglementation touffue que seuls quelques grands groupes armés de bataillons de juristes peuvent comprendre et respecter. Des milliards de vaccins sont administrés chaque année, et des dizaines de milliards d'euros sont encaissés par les multinationales pharmaceutiques.
Pour le seul vaccin contre la grippe A, le gouvernement français avait payé 1,5 milliards d'euros pour 94 millions de doses, ce qui fait quasiment deux doses par citoyen. A l'achat des vaccins, il a fallu ajouter le coût de :
• la campagne de vaccination pour un montant de 35,8 millions d'euros,
• l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros,
• l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros,
• 150,6 millions d'euros de masques,
• 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques,
• 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés,
• 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication,
• 100 millions de "frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination",
• et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.
Finalement, le nombre de vaccins utilisés n'a été que de 4,5 millions, ce qui est une bonne chose, mais cela veut dire que sur les 94 millions de doses, 89,5 millions sont parties à la poubelle, une fois atteinte la date de péremption. (7)
Ce gaspillage révoltant a été dénoncé par le Professeur Bernard Debré et le député et médecin Jean-Marie Le Guen. Mais la presse a traité l'affaire comme un scandale isolé, sans lien avec la surconsommation systématique des autres vaccins, en France et à travers le monde.
Pas de suivi des accidents liés aux vaccins
De même, personne ne se soucie actuellement des risques réels que vous faites courir à vos enfants en les vaccinant. Et s'ils tombent malades juste après la vaccination, vous pouvez être certain qu'on vous expliquera qu'il s'agit d'une pure coïncidence, y compris s'il y a décès.
Le cas arrive tous les ans à des milliers de parents. Leur enfant se fait vacciner et, dans les heures qui suivent, ils déclenchent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l'eczéma, l'hyperactivité, les perturbations du sommeil et un peu plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Dans la plupart des cas, les professionnels de santé, non seulement nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l'accident aux autorités de pharmacovigilance (agences responsables de surveiller les effets indésirables des médicaments) puisqu'ils considèrent qu'il n'y a pas de lien.
C'est ce qui est arrivé à la petite Christina Richelle, décédée suite au vaccin Gardasil contre le HPV (papillomavirus), et à tant d'autres personnes que l'on retrouve sur les innombrables sites d'information sur la vaccination. (
Un témoignage parmi d'autres, recueilli par l'EFVV (European forum for vaccine vigilance) :
« Je ne peux vous dire mon nom et je ne peux pas vous révéler l'identité de mon bébé parce que j'ai peur que cela me retombe dessus, mais j'ai voulu vous contacter en entendant parler de votre projet, parce que je suis si heureuse que quelqu'un entreprenne quelque chose. Mon bébé est mort dans les 24 heures après avoir reçu son premier vaccin DPT (Diphtérie, coqueluche, tetanos), il y a deux mois. Je me sens si horriblement mal, personne ne peut avoir la moindre idée de ce que c'est. Elle était parfaite. Lorsqu'on lui fit l'injection, elle se mit à crier pendant au moins une heure, d'une façon bizarre. Puis elle parut très fatiguée, s'est endormie profondément, et ne s'est plus jamais réveillée. J'ai commencé à m'inquiéter parce qu'elle semblait dormir plus longtemps que d'habitude et lorsque j'ai voulu vérifier, j'ai remarqué qu'elle avait un peu vomi et qu'elle ne respirait plus. Ils ont du faire une autopsie mais ils n'ont pas pu identifier la cause du décès. Je sais que c'est le vaccin qui l'a tuée. Elle n'avait pas été malade une seule fois jusque là. Mais plus je l'ai dit au corps médical, plus ils sont devenus hostiles. Aujourd'hui, j'ai peur qu'ils me prennent mon autre enfant et je ne veux pas qu'ils m'accusent d'avoir tué mon bébé. Je ne devrais pas avoir à vivre comme ça, c'est horrible. Je suis presque trop terrorisée pour pouvoir faire mon deuil correctement. Elle était si belle. »
Mais c'est très souvent le même scénario : officiellement, il ne peut y avoir aucun lien entre le vaccin et les accidents qui s'ensuivent. La plupart des médecins nieront farouchement l'évidence. Rien ne serait plus facile, pourtant, que de donner à chaque personne vaccinée un petit questionnaire, à renvoyer à l'Agence nationale du médicament, sur lequel elle noterait tous les effets anormaux qu'elle constaterait durant, par exemple, les huit jours suivant la vaccination.
Cela permettrait très rapidement d'établir enfin des statistiques globales sur les effets indésirables réels des vaccins. Dans un cas comme cité ci-dessus, il est vraiment trop facile de déclarer que l'enfant est décédé « de cause inexpliquée » ou encore que c'est la « mort subite du nourrisson ». Parce qu'injecter un vaccin, cela consiste à introduire dans l'organisme non seulement des virus potentiellement dangereux (même artificiellement affaiblis) et des adjuvants que les systèmes immunitaires immatures ne supportent pas forcément.
Mais pour des raisons qui n'ont rien à voir avec votre santé ni le bien commun, et tout à voir avec les comptes en banques des industriels et des politiques, ce type de mesures n'est absolument pas envisagé aujourd'hui par les autorités sanitaires.
Que faire ???
Cela veut-il dire qu'il faille à arrêter de vacciner tous les enfants ? Non. Car même si on a exagéré les bienfaits des vaccins sur la santé publique, et même si les dangers de la vaccination sont minorés, il existe probablement de nombreux cas où il est raisonnable de vacciner. Le problème est que l'absence d'études sérieuses sur les risques et bénéfices réels des vaccins obscurcit considérablement le débat. Ni les citoyens, ni les professionnels de santé de bonne volonté, ne disposent aujourd'hui d'éléments fiables pour prendre des décisions éclairées. Nous sommes donc obligés de jouer à la roulette russe avec les vaccins. Il semble toutefois raisonnable a priori d'éviter tous les vaccins qui ne sont pas obligatoires, lorsqu'on est en bonne santé. Faire du zèle est coûteux, mais plus probablement encore dangereux.
Pour toutes les maladies, il y a des personnes « à risque », et d'autres qui le sont moins. Vacciner aveuglément tous les enfants avec tous les vaccins du calendrier vaccinal est dans la plupart des cas, nocif.
De plus, il ne faut pas oublier que même les vaccins obligatoires (DTPolio et BCG en France) ne le sont plus si votre médecin constate des contre-indications. Cela n'est pas théorique car de nombreuses personnes peuvent en fait présenter des contre-indications, en particulier les personnes allergiques, souffrant de maladies auto-immunes, ou ayant d'autres problèmes liés à leur système immunitaire. Un examen médical est donc recommandé avant toute vaccination, même si ce n'est pas prévu par le système.
Une réforme indispensable et urgente
Il est donc indispensable et urgent que les pouvoirs publics prennent des mesures visant à améliorer la connaissance des vaccins et l'information des médecins comme du grand public à ce sujet. Une information transparente doit être donnée sur les dangers de chaque vaccin. S'il y a eu des morts, des personnes gravement handicapées, ou malades à vie, les personnes qui sont sur le point de se faire vacciner doivent en être informées. Beaucoup de vaccins ont un rapport bénéfices/risques douteux. Une information lisible et facilement compréhensible doit figurer sur l'emballage des vaccins, indiquant clairement ceux qui sont indispensables, ceux qui ne sont nécessaires que dans certains cas, et ceux qui sont inutiles dans la plupart des cas. Mais même si c'est aux médecins de s'assurer qu'ils ne font pas courir de risque inutile à leurs patients (serment d'Hippocrate), rappelons-nous que nous ne vivons pas dans l'utopie et que ce sera toujours à nous, ultimement, d'être responsable de notre santé. Bien à vous, Jean-Marc Dupuis ******************************
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Mar 30 Avr - 17:34 | |
| Merck admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer La division vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.
Ce passage contenu dans le documentaire » In Lies We Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus plus grand experts en vaccins du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida, la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde:
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=edikv0zbAlU#!
Production des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie (mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple: le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain, le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes disséqués de fœtus avortés.
Comment ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement, pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).
Pour accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries » avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé, après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend » pudiquement à une pureté de 90%.
Quels sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:
- Des substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités
- Certains outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.
Pour certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein de singe vert africain ( lequel est préparé avec le vaccin contre la polio – le rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité » affaibli « - avec la chaleur, des radiations ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants ( boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques et des désinfectants toxiques à la base de la préparation: néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée, formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).
Etant donné que cette « matière toxique organique » est injecté directement dans la circulation sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimer le sujet vacciné. Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire. Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de manière acculte et inobservable.
C’est exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé pour préparer les vaccins.
Le SV-40 – contaminant - ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire, un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.
Les chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le mésothéliome.
Selon le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ 1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations » pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.
Le Dr Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les décès, et plus encore. |
| | | Rikudou Membre ACTIF
Nombre de messages : 233 Age : 35 Localisation : Orléans Date d'inscription : 03/01/2013
| | | | Hervé Z-G Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1002 Age : 60 Localisation : Terre Date d'inscription : 08/06/2006
| | | | PI Membre ACTIF
Nombre de messages : 800 Age : 60 Localisation : Esperaza Date d'inscription : 13/11/2009
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Lun 6 Mai - 18:14 | |
| "Eh bien heureusement qu'on peut soi-même se rendre "invulnérable" aux vaccins et les rendre inefficaces sur soi"
Je te trouve tres affirmatif , Hervé ! Comment fais tu et es tu sur de toi ? A moins de refuser la vaccination , ce que je fais aujourd'hui. | |
| | | Hervé Z-G Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1002 Age : 60 Localisation : Terre Date d'inscription : 08/06/2006
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Mer 8 Mai - 20:40 | |
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| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Mer 8 Mai - 21:37 | |
| Et j ajouterai aussi que des mesures pour elever nos vibrations peuvent aider notemment le massage du dos ferme avec une huile grasse bio et camphrée ce qui stimule ttes les fonctions du corps en premier lieu les reins et la lymphe mais aussi foie cerveau intestin coeur rate (remedes edgar cayce). des roches comme la shunguite des patchs aux pieds ou au pt dinjection avec des roches profondes shunguite etc , charbon suractivé ds 1 verre deau tiede melangé avant de boire qui neutralisent tous type de produits yang bizarres ingéréds le sang et intestin; pour antibacteries antivirus le HE tea tree, HE saro, EN Drainage foie chardon marie desmodium ou chrysantellum americanum ou bien encore griffe de chat "una de gato" samento qui sont des imunomodulateurs et anti inflamatoires.
Merci Hervé.
Aiki !
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| | | jachal Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1150 Localisation : France Date d'inscription : 07/06/2006
| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles Jeu 9 Mai - 2:48 | |
| A noter que le Vietnam vient de retirer de la vente son vaccin "5 en 1" des nourrissons après avoir constaté de graves accidents. Des enfants en sont morts. La France serait bien inspirée de tenir compte de ces avertissements. | |
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| Sujet: Re: Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles | |
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| | | | Un vaccin "6 en 1" pour bébé approuvé par Bruxelles | |
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