J'ai relevé cette phrase que j'ai trouvée particulièrement d'actualité pour vous la partager :
Si nous avons souvent l'impression contraire, c'est que notre esprit est structuré biologiquement pour détecter les mauvaises nouvelles. Racontez au bar à un ami que votre voisin vient d'être blessé dans un abominable accident de voiture et tout le monde dressera l'oreille. Expliquez que votre voisin a eu une très bonne année 2013, au cours de laquelle il a repeint sa façade, noué de nouvelles amitiés, vu ses enfants grandir, et fait des progrès en piano, personne ne vous écoutera.
Cet intérêt pour les mauvaises nouvelles est renforcé par les hommes politiques, les intellectuels et les médias. Une guerre, une catastrophe, une famine, les voilà tous qui se précipitent au micro pour expliquer qu'ils ont la solution, qu'ils vont intervenir.
JM Dupuis (Nature santé innovation)