Discussion privée entre John Lear et Kerry Cassidy/Bill Ryan de Project Avalon
JL : Je voulais apprendre la vision extra-sensorielle avec Angela parce que je ne suis pas du tout médium. Je ne vois même pas quand ma femme est en colère. (Kerry et Bill rient.). J’ignore quand la cloche de l’entrée va sonner. Idem pour le téléphone. Et je voulais savoir si j’étais capable de voir à distance.
Et la réponse, c’est : SANS PROBLÈME, ABSOLUMENT ! J’ai eu un choc quand j’ai vu ce que je pouvais faire !
KC : Merveilleux.
JL : Entre autres choses, chaque jour un type devait missionner les autres, leur donner une tâche. Et je leur ai donné Vénus [comme tâche]. Sans aucune information préalable.
KC : J’ai fait de la vision extrasensorielle.
JL : Je n’ai rien dit. Et à la fin, je n’ai pas pu m’empêcher de rire, parce qu’une fois calmés, ils disaient tous : Waouh ! Quel endroit ! J’aimerais vraiment aller SUR VÉNUS ! Parce que c’est beau là-bas.
KC : Oh, super.
JL : Et que c’était vraiment gratifiant de le faire.
KC : Cool. Oui. Nous verrons bien, allez-y.
JL : Dans les années 50 quelques gars de la Marine ont utilisé un ballon pour vérifier l’atmosphère de Vénus. Ils ont dit qu’il y avait probablement là-bas une atmosphère et, en conséquence, probablement aussi de la vie. Il fallait donc, quelle qu’en soit la raison, mettre un terme à tout ça.
Et je suppose qu’ils ont placé un général à une table comme celle-ci, accompagné de ses aides de camp et qu’il leur a dit : Voici donc le plan : (Rire de Kerry.) il nous faut nous ASSURER que personne ne croira qu’il y a de la vie sur Vénus. J’ai donc besoin de vos idées, les gars. Réfléchissons à une solution.
Si bien qu’un type a proposé : Que dites-vous d’une atmosphère composée d’acide sulfurique ?
Le gars a répondu : Bien ! Ça, ça me plaît ! ...une atmosphère composée d’acide sulfurique ! Allons-y les gars, sortons de la routine, des idées originales ! Quoi d’autre ?
Que diriez-vous de volcans, des volcans en éruption ? Encore mieux, nous parlerons d’un volcan au kilomètre carré sur Vénus, et de beaucoup de lave coulant aux alentours.
OK. Continuons, trouvons d’autres idées. Que dites-vous de 90 bars de pression ?
Oui ! Bien ! Très bien ! 90 barres de pression ! Personne ne peut vivre sous 90 bars de pression, 90 fois la pression [atmosphérique] de la Terre ! Il poursuit : Je crois que voilà un bon, un très bon PROGRAMME !
Et un des capitaines ajoute donc : Vous savez, mon général, je pense que personne ne va croire ces conneries. Comment tout ça pourrait-il arriver à une planète aussi proche de la nôtre ? Pourquoi y aurait-il de l’acide sulfurique, des explosions volcaniques et 90 bars de pression ?
Le général le rassure : Ne vous tracassez pas pour ça, fiston. Si nous le crions suffisamment fort et suffisamment longtemps, ils le croiront !
Voilà donc comment est née la nouvelle Vénus !
KC : Incroyable. Je veux dire que vous venez en fait d’exposer un scénario crédible.
JL : Bon, Adamski, comme Menger... Je crois que tous les deux l’ont vue ou bien ils y sont allés.
KC : On fait aussi allusion au cas d’un visiteur aliène d’apparence humaine à la Maison Blanche...
BR : Il s’agit de Valiant Thor. Dans The Stranger at the Pentagon (L’inconnu du Pentagone).
JL : Val Thor ? Val Thor. Oui.
BR : Oui. Val Thor. Un récit de Frank Stranges, l’auteur de Stranger at the Pentagon. Si je me souviens bien – je n’ai pas lu le livre – Val Thor était censé venir de Vénus. Et ça date d’avant la décision d’annuler l’histoire de Vénus.
KC : Exact.
BR : Que savez-vous de ça ?
JL : Seulement que le vaisseau spatial de Val était censé être garé ici même au Lac Mead. J’ai les coordonnées ici. Vous pouvez aller voir où c’était. Mais c’est tout ce que je sais de Val Thor.
BR : Parmi les personnes que nous avons rencontrées après vous avoir interviewé, il y a Bob Dean, que vous DEVEZ bien connaître. Un homme merveilleux. Il nous a raconté que les aliènes qui inquiétaient le plus les autorités c’étaient ceux qui sont indifférenciables de nous.
KC : Exact.
BR : Et qu’on en trouvait dans les couloirs du Pentagone, au gouvernement, dans l’armée... Dans la rue, on ne remarquerait pas la différence. Avez-vous entendu parler de ça ?
KC : En avez-vous entendu parler ?
JL : Ce type d’aliène existe. Le problème, c’est que nous nous sommes alliés aux mauvais aliènes. Nous croyons les Gris nos ennemis. Voici pourquoi nous avons construit ces douze plateformes... ou plus... conçues pour abriter les armes à énergie directe, et qui encerclent le monde actuellement. Nous avons commencé en 1968, avant même Apollo, et nous en construisons toujours.
KC : Hmm.
JL : Ce qu’ils veulent – quand je dis ils, je veux parler de ces nauséeux Nazis de la NASA - qui, s’ils n’arrivent pas à se débarrasser des Gris, vont faire sauter la Terre. Parce qu’ils ne veulent pas que les Gris s’approprient ce qu’ils considèrent comme le gros lot. Ils ne comprennent pas qu’il existe des MILLIARDS de Terre. Des milliards de Terre, identiques à la nôtre, à divers stades de développement. Ils croient qu’ils vont détruire la Terre. Mais cela n’arrivera pas.
Pour confirmer cette histoire, une des premières choses que Bob Dean m’a dites ce soir-là, c’est qu’il avait vu un message qui a été envoyé aux propriétaires de ces Gris : Ou bien vous nous aidez à nous débarrasser des Gris, ou bien personne n’aura la Terre.
C’est là que Bob m’a parlé de cette super-arme que nous avons, capable de détruire un continent grand comme la moitié de l’Amérique du Sud. Et depuis, j’ai entendu des types très bien informés dire : Oui. Nous avons quelques armes vraiment effrayantes. Je ne sais pas trop comment tout ça va finir...
D’après leur plan, les types qui gèrent tous ces trucs vont détruire... Leur plan, c’est de nous détruire s’ils ne peuvent pas se débarrasser des Gris. Mais les Gris sont PARTOUT sur cette fichue planète !
KC : Exact.
JL : Je ne peux pas dire qu’ils soient bénéfiques. Ils ont un boulot à faire : prendre soin des containers (Hybrides). Parfois c’est bien, parfois c’est mal. Mais c’est leur travail. Et personne ne va les en empêcher. Ils vont donc presque certainement nous protéger de toute forme de désastre qui pourra arriver. Mais entre-temps les nauséeux Nazis...
KC : OK. Et les Reptiliens ?
JL : Ça, c’est indépendant, j’en suis certain. Ils possèdent leur propre civilisation. Ils vivent probablement sous terre.
KC : Bon, vous savez sûrement qu’il existe plus d’une sorte de Gris ?
JL : Oui. Il y en a beaucoup et des tas de types différents de Reptiliens. Ron Schmidt et moi sommes en contact avec un gars, vraiment un scientifique savant, à l’aise sur n’importe quel sujet. Et il nous a parlé de sa première RENCONTRE avec un Reptilien. Ça paraissait vraiment très crédible. Il travaillait au fond du labo. Il regarde juste ce gars et lui pose une question. Et il m’a dit que sa deuxième paupière est descendue une seconde. (Il rit.)
KC : (Elle rit.)
BR : Nous avons été contactés par un scientifique, en fait le neveu d’un des ex-directeurs de la CIA. C’est un type sérieux, très intelligent. A un moment donné il est venu deux jours à Dulce faire un travail technique précis. C’est ainsi qu’a commencé toute cette conversation. Avant d’aller à Dulce, on lui a dit quoi faire s’il rencontrait un Reptilien. Cela faisait partie du briefing, très pragmatique.
On lui a dit que si on rencontre un de ces types, il faut laisser ses mains tomber, les paumes ouvertes en SIGNEde supplication. Pour montrer qu’on ne représente pas un danger. Il dit que c’est ce qu’il faut faire avec ces gars-là. Alors, ils vous laisseront tranquille.
Il en a effectivement rencontré un. Un Reptilien en communication silencieuse avec un Gris. – une seule fois, juste quelques instants. Il a fait ce qu’on lui avait dit. Il nous a dit que cette grande créature était impressionnante, arrogante et froide, et semblait capable de vous tuer d’un seul coup de poing.
JL : Uh-huh.
BR : Donc, reculez-vous... reculez-vous lentement. Tout le monde était calme. Tout était calme. Et il nous a raconté tout ça de manière très naturelle. Ça correspond à ce que vous avez entendu ?
JL : Tout à fait. A 100 %. Ça me rappelle beaucoup d’histoires que j’ai déjà entendues...