| | 12 raisons du Végétarisme | |
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Anaëlle Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1347 Age : 37 Localisation : Montpellier Humeur : Un soupson de lalaland, du rire Date d'inscription : 29/09/2006
| Sujet: 12 raisons du Végétarisme Mar 6 Jan - 11:38 | |
| LES 12 RAISONS DU VEGETARISME « Conférence par Jacques De Marquette » Doctorat de la Sorbonne.
Il est arbitraire de parler des « 12 raisons » du végétarisme. On pourrait, tout aussi bien en trouver 100 tant la question est vaste! De plus , je voudrais m’excuser d’avoir semblé admettre que nous avions à justifier notre végétarisme, alors que c’est exactement le contraire. Nous devons vis à vis des hommes et des femmes qui ont le désavantage de ne pas être végétarien, non pas tenter de nous disculper mais de renverser les rôles et leur demander: « pourquoi mangez vous de la viande? Avez vous jamais pensé aux mobiles qui vous y poussent? » C’est à nous de poser des questions à ceux qui se font nos inquisiteurs, au lieu de rester sur la défensive. Cependant comme nous vivons d’une façon différente de nos concitoyens, nous sommes obligés de faire connaître nos raisons et, il n’est pas mauvais de procéder, non pas à un examen de conscience, mais au recensement des divers raisons qui justifient notre régime. Nous avons tous tendance à juger la vie , les chose de notre point de vue particulier. Nous subissons plus ou moins inconsciemment ce qu’on appelle une « déformation professionnelle » du fait de nos études, de nos occupations, de notre tempérament, de nos intérêts favoris. Nous avons développé en nous une tendance générale en fonction de laquelle nous jugeons les êtres et les choses. L’artiste se placera exclusivement au point de vue du beau et tout ce qui n’est pas doué de caractère esthétique lui semble devoir être rejeté dans les ténèbres extérieurs. Le moraliste à son tour, considère tout sous l’angle de l’éthique, du bien et du mal et ce qui n’est pas nettement bon et moral, même si c’est vrai ou beau, lui semble relativement indifférent. Pour l’industriel, seule la production est importante et le commerçant s’intéresse surtout à la vente. Si nous voulons vivre intelligemment, un de nos problèmes les plus importants est le choix entre une culture générale qui sans atteindre à l’éminence dans aucun domaine, nous donne « des clartés de tout » comme l’honnête homme de Molière, ce qui confère à notre vie une certaine élégance; et la spécialisation qui fera de nous des hommes ou des femmes supérieures dans certains domaines limités, en négligeant les autres possibilités. En tous cas, en tant que végétariens désireux de faire participer nos frères aux avantages considérables que nous avons tiré de notre régime, la question a une grande importance et mérite d’être tranchée dans le sens de la mutiplicité des aspects avantageux du régime non sanglant.
Les personnes que nous pouvons rencontrer et convertir ne sont pas nécessairement sur le même rayon de développement que nous. Elles n’ont pas les mêmes aptitudes, les mêmes goûts, nous devons donc à fournir à chacun des arguments appropriés à sa mentalité et nous aurons beau être de grands hommes de science, si nous voulons convertir un artiste au végétarisme, nous ne ferons rien si nous ne faisons appel aux raisons qui lui sont chères.
HYGIENE ALIMENTAIRE: La viande est un mauvais aliment, mal adaptée à la satisfaction des besoins alimentaire , nous savons que les besoins en albumine de l’homme ont été très exagérés. Depuis Liebig, on a attribué à l’albumine dans la ration humaine une importance très supérieure à celle qui lui revient en réalité. Si l’on compare les aliments chargés de fournir la chaleur, l’énergie et la vie à notre organisme avec ceux qui doivent reconstituer les tissus, on voit qu’il faut une quantité infime de protéine pour remplacer les tissus usés et que le gros de la ration, presque la totalité, doit être composé d’hydrates de carbone engendrant la chaleur et d’aliments crûs, c’est à dire vivants, source d’énergie Nous n’avons guère plus besoin de protéines qu’une machine à vapeur n’a besoin d’acier pour compenser l’usure des organes et un des problèmes qui se posent aux hygiénistes, est de ne pas dépasser la ration nécessaire d’azote. Les aliments naturels, harmonieux, c’est à dire contenant à la fois tous les éléments nécessaires et ce, dans des proportions convenables, sont les céréales et quelques fruits comme la banane, le fruit de l’arbre à pain et la chataigne. Mais la plupart des légumineuse comme les pois, les haricots, les fèves, les lentilles contiennent trop de protéines et il en est de même pour le chocolat, le fromage et la viande surtout
En effet, la viande est , de tous les aliments, celui qui est le moins harmonieux, le plus déséquilibré, puisque, en - dehors de l’eau des tissus et des poisons qu’elles contient, elle ne comporte que de l’azote avec un peu de graisse lorsqu’elle est grasse. La viande se compose de 25% d’albumine et de 70% d’eau, alors qu’en dehors de l’eau qu’il contient, un aliment devrait comporter 10% de déchets inassimilables et d’eau, 10% au maximum de protéines et 80% d’hydrates de carbone (mélange de carbone, d’hydrogène et d’oxygène, comme les amidons, les graisses, les sucres etc……..Le premier gros grief contre la viande est d’être un aliment déséquilibré, mal adapté aux besoins de l’homme. On peut objecter que les animaux carnivores vivent bien…..Oui. Mais justement, nous ne sommes pas des animaux carnivores. Nous ne pouvons pas , comme eux, digérer des os, transformer facilement une quantité considérable d’albumine en éléments caloriques et énergétiques. De plus, la trop grande teneur de la viande en albumine amène très rapidement la suralimentation azotée qui est une des grandes causes de l’arthritisme avec tout le cortège des maladies qui en dérivent, et, en même temps, prédispose à contracter d’autres affections comme le cancer par suite de l’abaissement général des défenses de l’organisme obligé de neutraliser un surcroît d’albumine. Le 2ème grand reproche à faire à la viande, c’est de contenir des toxines. En effet , elle se décompose plus rapidement que les légumes. Le cadavre des animaux , avant d’être mangé par les hommes subit une décomposition assez rapide. On ignore généralement que la viande saine et fraîche est dure.Il faut la laisser presque une semaine » faisander » avant qu’elle commence à être un peu tendre…….Il y a même là un côté du métier de la boucherie qui est peu connu, mais significatif. « L'habillage » de la viande, sorte de chimie très particulière qui a pour but, lorsqu’elle est devenue noire ou verte par suite de la décomposition, de faire disparaître cette teinte verte au moyen de lavages au sulfate de cuivre et divers autres ingrédients qui lui rendent une rougeur apparente avant de l’envoyer sutr la table de fin gourmet§ Cette décomposition n’a pas seulement pour effet de transformer l’apparence et la consistance de la viande. Elle entraîne aussi une modification profonde de sa substance et toutes sortes de poisons apparaissent: ptomaïnes, leucomaïnes et autres, engendrés par la fermentation. Tandis que la décomposition des légumes produit des fermentations peu nocives, celle de la viande entraîne une putréfaction très toxique et non détruite par la cuisson. Tous les gens qui mangent de la viande absorbent ces poisons, ce qui conduit à un vieillissement précoce. C’est en imposant à nos organes excréteurs un surplus de travail pour éliminer un surplus d’azote ainsi que les toxines engendrées par l’animal jusqu’à sa dernière heure, que la viande nous vieillit et nous empêche d’atteindre le terme normal de notre existence qui est d’environ 120 ans, puisque les animaux vivent généralement 5 fois la durée de leur croissance. C’est là une des principales causes de la longétivité des Hounzas, ces montagnards végétariens qui ignorent tuberculose, cancer et rhumatismes. Toute la vie de l’homme n’est qu’une lutte contre l’intoxication. Chacun de nos mouvements, chaque battement de notre cœur, chaque pensée, chaque sentiments éprouvé, produisent des résidus plus ou moins toxiques. Ceux ci restent dans les tissus jusqu’à ce qu’ils soient dissous par le sang et entraînés vers l’un des organes de défense de l’organisme qui les expulse: La peau, les muqueuse buccales, celles des poumons, le rein, le foie ou la muqueuse intestinale. Si nous éliminons rapidement et complètement les poisons engendrés par l’activité fonctionnelle de nos organes, nous nous défendons, nous restons jeunes, puissants, et continuons à avoir les sentiments d’énergie, de vigueur, d’allégresse qui font la joie de la vie. Si au contraire, les organes qui devaient éliminer les poisons produits par l’organisme, sont surchargés de besogne, s’il y a comme dans les rues de Paris, engorgement; de même que les voitures ne peuvent pas continuer à circuler sur la chaussée, de même ces poisons qui ne sont plus expulsés par les émonctoires naturels, restent dans notre organisme et au lieu d’éprouver un sentiment de bien-être physique et moral, nous sommes maussades et fatiguée. Après quelques temps, nos organes reprennent le dessus et finissent par éliminer ces poisons; nous retrouvons alors le sentiment de bien-être physique, mais, chaque fois que nous éprouvons un surmenage quelconque, un dur travail est imposé à nos organes de défense. Aussi longtemps que nos organes sont capables d’éliminer ces poisons sans fatigue prolongée, nous restons sain, vigoureux et bien portants. Mais dès que ces organes remplissent moins bien leurs fonctions, les toxines se déposent dans les tissus comme la rouille. Nous commençons à vieillir. Peu à peu l’élasticité , la souplesse, la vigueur, la fraîcheur disparaissent, il se produit des céruses et nous perdons la jeunesse, cette fleur de la vie , comme disait Aristote. Plus nous aurons de poisons à éliminer, plus nos organes défenseurs auront du travail et plus vite ils seront fatigués et arriveront à la période où ils feront face avec moins de succès à l’envahissement de l’organisme par les toxines, c’est à dire par la vieillesse. Nous devons éviter avec soin tout ce qui peut engendrer des toxines, afin de ménager nos émonctoires, ces précieux remparts de la santé et de la vie. Prenez un bifteck d’un animal qui vient être tué à l’instant même, faites le cuire dans l’eau, vous obtiendrez bientôt un liquide jaunâtre qui n’est ni plus ni moins, que l’urine artificielle. Notre urine est le résidu de la dépuration de nos muscles par le sang qui dissout les poisons qu’ils ont produits pour les conduire au rein, lequel les déverses dans l’urine. Le bouillon est donc une urine artificielle. La viande vient du cadavre d’un animal. Celui -ci produisait , en vivant des poisons qui sont solubles dans l’eau, ce qui leur permet d’être éliminés du corps. A l’arrêt de la circulation ces poisons restent dans les muscles . Comme on fait bouillir la viande, ils se dissolvent et ce sont eux qui donnent au bouillon sa couleur jaune comme l’urine. Quand on mange de la viande, on a donc à faire non seulement aux poisons de décomposition, mais encore à ceux produits par l ‘animal .Si bien qu’en imposant à leur foie, leurs reins et autres organes de défense un lourd travail supplémentaire qui aurait été accompli par les organes de défense des animaux s ‘ils n’avaient pas été tués, les carnivores brûlent les étapes de leur vie pour arriver plus rapidement à la mort. Il y a encore une autre source de poisons dangereux, les poisons nervins. Les émotions violentes produisent une intoxication nerveuse se traduisant par un tremblement. La colère est une folie passagère et la folie est due à une intoxication passagère. Une nourrice qui éprouve une vie de contrariété a , de ce fait, un lait dangereux pour son nourrisson: il y a production production de poisons d’origine nerveuse très subtile et assez dangereux, et on a constaté des cas d’individus morts après avoir consommé des animaux qui avaient lutté violemment et avec passion avant de mourir. Cela provient en partie de ce qu’ils font de grands efforts et ont crée beaucoup de toxines par ces efforts. Les animaux que nous mangeons ont eu une existence bien tranquille jusqu’au moment où on les amène à l’abattoir et ils ont quitté cette vie dans des scènes d’horreur et d’épouvante dont tous ceux qui y ont assisté ont conservé un horrible souvenir. Cette terreur éprouvée par l’animal engendre des poisons nervins très toxiques, absorbés par les carnivores innocents et inconscients qui considèrent le bifteck comme un fruit de l’industrie au même titre que le chocolat ou les nouilles. A côté des inconvénients positifs de la viande qui sont nombreux; il y a les inconvénients négatifs. La viande est un aliment carence: elle ne contient pas les éléments indispensables et nobles de l’alimentation. Les vitamines sont, en grandes partie, engendrée par l’influence du soleil sur les tissus des végétaux en voie de transformation. Elles jouent un pole considérable, dans l’entretien de la vie et on les trouve surtout dans les végétaux. Les animaux que nous mangeons ont puisé les vitamines dont ils avaient besoin dans l’herbe des prairies qu’ils ont broutée. Ils y ont trouvé tous les éléments nécessaires à l’entretien de leur existence et les ont employés à vivre, à marcher, à manger , à digérer, à respirer. Naturellement ils ne les ont plus , de sorte que les hommes qui mangent de la viande n’ont plus que des aliments de seconde main déjà utilisés, aliments qui ont été digérés par un estomac animal avant d’être transformés en corps animal, ce qui est répugnant.
La viande n’offre que des détritus de vitamines. C’est donc un aliment à rejeter au point de vue hygiénique. De même pour les sels minéraux indispensables aux tissus nobles , tendons, os, nerfs, yeux, etc… les animaux ont utilisé ceux contenus dans leurs propres organes que nous ne mangeons pas, tandis que les authentiques omnivores, ours et porcs peuvent digérer les ossements sans difficultés!! | |
| | | Anaëlle Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1347 Age : 37 Localisation : Montpellier Humeur : Un soupson de lalaland, du rire Date d'inscription : 29/09/2006
| Sujet: Re: 12 raisons du Végétarisme Mar 6 Jan - 11:47 | |
| LONGEVITE ET ATHLETISME
Le végétarisme permet de « durer » dans la vie comme dans le sport. La durée de vie en France était de 42 ans en 1900 . Elle est maintenant de plus de 60 ans. Les hygiénistes administratifs s’en attribuent le mérite, ainsi qu’aux progrès de notre civilisation artificielle et urbaine . Ceci repose sur une méprise qui est une véritable duperie. L’accroissement de la moyenne de la vie est due surtout à la diminution massive de la mortalité infantile, ce qui relève extraordinairement la moyenne de la vie .Mais pour comprendre la situation, il faut prendre d’autres termes de comparaison. Nos mœurs modernes ne sont pas aussi salubres, ni les succès de l’hygiène chimique-vivissectrice, aussi merveilleux qu’on le dit. Tout d’abord, tandis que la vie augmentait d’un quart en France; aux Etats-Unis elle a doublé en cinquante ans, passant de 36 en 1900. Tandis que la consommation d’alcool (8 litres)y est le quart ou le 5ème de la nôtre, celle de la viande a diminué de moitié, et celle des salades et des fruits a décuplé dans le même temps. La moyenne de la vie est également de 72 en Nouvelle Zélande et en Hollande, 2 pays où l’on fait aussi une grande consommation de fruits et de laitage, tandis que la consommation de l’alcool y est de 7 à 8 fois moindre qu’en France. Hollande : 1 bistro pour 3.500 personnes, en France: 1 bistro pur 70 personnes. Le Dr Metchenikof de l’Institut Pasteur attribuait à l’usage du yogourt la longévité des paysans Bulgares (4.000 centenaires sur 4.000.000 d’habitants). Les registres de diverses paroisses de Paris qui sous l’Ancien Régime tenaient lieu d’état civil, montrent que vers 1780 on relevait annuellement dans la plupart des paroisses le décès d’une quinzaine de personnes âgées de 100 à 105 ans - 4 ou 5 de 105 à 110 ans et 2 ou 3 de plus de 110 ans. En multipliant ces chiffres par le nombre des paroisses, on voit que Paris comptait près d’un bon millier de centenaires, proportion semblable à celle de la Bulgarie. Ces chiffres montrent que si la vie moyenne est actuellement plus élevée, nos ancêtres après avoir franchi l’étape dangereuse de la petite enfance, vivaient plus longtemps que nous .Et ceci est dû, non pas à la consommation du Yoghourt qu’ils ignoraient, mais à leur régime beaucoup plus pur et frugal que le nôtre. Les statistiques des octrois crées par la Convention montrent que la ration moyenne des Parisiens en 1795 étaient de moins de 2.000 calories par jour, soit un peu plus de la moitié de la nôtre, et, fait intéressant , ils consommaient 5 fois moins de viande et 10 fois moins d’alcool sous forme de vin et autres boissons alcoolisées, 4 litres par année au lieu de 37.…Il faut tenir compte d’autres facteurs de santé, comme l’habitude salutaire de vivre de jour en se couchant « avec les poules », une vie moins trépidante, des mœurs plus doux, plus de sécurité, mais il est bien évident que la cause principale de la belle longévité de nos ancêtres est qu’ils étaient à peu près végétariens et abstinents. Considéré alors comme le pays le plus poli, le plus spirituel et le plus gai de l’univers, la France « une nation chantante et dansante » disait en 1786 le voyageur anglais Young, était en même temps une des plus sobres. Ceci constitue une autre preuve de la valeur du maturisme au point de vie social. D’autant plus que les paysans de Metchnikoff étaient aussi à peu près complètement végétariens comme leurs voisins Turcs du reste, qui vivent également très vieux et dont la force est proverbiale. Epargnant au maximum les organes de défense de l’organisme, ce qui retarde l’envahissement par les toxines de la fatigue, le végétarisme n’est pas seulement le régime des centenaires, c’est aussi celui des athlètes de grand fond. Nombre de champions du monde de marche et de course de fond lui doivent de pouvoir tenir le coup jusqu’à la victoire. Il y a longtemps que les prouesses athlétiques des végétariens ont attiré l’attention. Déjà en Allemagne à la fin du siècle dernier où des courses de marche de fond avaient été organisées sous le patronage de l’armée, le public avait été surpris de voir les végétariens prendre les meilleures places. Beaucoup d’entraîneurs Olympiques mettent leurs poulains au régime non sanglant comme Gaylor Hauser y soumet les stars de Hollywood désireuses de se maintenir en forme. Enfin encore tout récemment les athlètes Australiens végétariens ont étonné par leurs performances exceptionnelles, en particulier John et Elsa Conrad végétariens depuis leur naissance, comme leurs parents, ont été champions du monde de natation l’une à 15 ans, l’autre à 18 ans, tandis que « Herb » Elliot a battu le record du 1000m. Naturellement ces records seront battus à leur tour. Mais ce qui est frappant, c’est que malgré que les végétariens ne constituent pas même le millième des jeunes athlètes, ils soient aussi nombreux aux places d’honneur, alors que si leur valeur était égale à celle des autres, il y aurait moins d’une chance sur 1000 pour qu’ils figurent au palmarès. Leurs lauriers sont plus de 10 fois plus nombreux qu’ils ne devraient l’être, toutes choses étant égales d’ailleurs. Enfin les Hounzas ont fourni une confirmation éclatante de la nocivité de la viande. En 30 ans de régime abstème, ils n’ont pas connu les maladies dangereuses. Mis à la viande, au pain blanc et à l’alcool pendant la guerre, ils ont obtenu les horribles « conquêtes » de notre civilisation.
FORCE ET SANTE A BON MARCHE
L e 3ème argument d’ordre intéressé est l’argument économique. La viande n’est pas seulement un mauvais aliment pour la santé, c’est aussi un mauvais aliment pour la bourse. Dans le « Naturisme intégral » j’ai donné un tableau montrant le prix de revient réel des aliments, c’est à dire la quantité de principes nutritifs qu’on achète avec 1 franc (euro) dans les diverses catégories d’aliments. Cette petite enquête a montré que la viande est infiniment plus coûteuse que les végétaux en général. Avec 100 francs d’avoine, de blé ou de riz on a 5 à 6000 calories, de quoi vivre 3 jours, alors qu’avec 1 kg de bœuf coûtant 1000 francs on n’a que 1000 calories, c’est à dire la moitié d’une ration quotidienne et ce avec un élément de base mal adapté aux besoins humains. Vous voyez la différence au point économique entre la viande et les céréales et les légumes qui sont infiniment meilleur marché. A une époque où le problème de la matérielle se pose avec une acuité douloureuse, il n’est pas négligeable de faire comprendre à nos frères se débattant au milieu de difficultés matérielles, qu’ils sacrifient bénévolement, presque joyeusement des sommes d’argent considérables pour entretenir un vice ( le carnivorisme étant un vice qui s’ignore) au détriment de leur liberté, car, pour gagner cet argent, ils sont souvent obligés de travailler durement et longuement. L’adoption du végétarisme conscient et étudié permet d’obtenir une excellente santé en réalisant des économies qui peuvent être véritablement énormes. | |
| | | Anaëlle Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1347 Age : 37 Localisation : Montpellier Humeur : Un soupson de lalaland, du rire Date d'inscription : 29/09/2006
| Sujet: Re: 12 raisons du Végétarisme Mar 6 Jan - 11:49 | |
| HYGIÈNE SOCIALE:
Maintenant plaçons nous à un oint de vue plus élevé. A côté des hommes moyens recherchant égoïstement leur intérêt, il y a tout de même un nombre incalculable d’idéalistes généreux qui participent de toute leur âme à la vie de la société et pour lesquels les grands problèmes sociaux se posent avec une forces particulière. Beaucoup sont hantés par le spectacle dramatique de la décadence de la race et souffrant de voir les fléaux sociaux: alcoolisme, cancer, sida etc… Ces citoyens altruistes éprouvent un sentiment d’impuissance pénible. Ils font tous partie, naturellement, d’une ligue quelconque contre l’alcool, le tabac, la mortalité infantile etc…….et après des années et des années de travail, ils sentent peu à peu la lassitude et même le désespoir les envahir. Ils se disent: devant l’insignifiance des résultats obtenus, à quoi bon!
La mortalité infantile est un grand fléau. Or notre hygiène et notre médecine officielles semblent oublier que la plupart des enfants qui meurent en bas-âge ont été conçus par des pères et mères alcooliques et que le grand massacreur des nouveau-nés, c’est l’alcoolisme des parents. En France, c’est contre cela qu’il faut lutter avant tout. Au point de vue social, il est ridiculisé, presque odieux, de demander de l’argent aux bonnes âmes pour construire des « Sanas » pendant que près de 700.000 bistrots ouverts nuit et jour « fabriquent » sans cesse des millions de candidats à la tuberculose que d’autres citoyens devront soigner et entretenir. Mais à côté des pontifs officiels qui feignent de vouloir faire quelque chose, les hommes de bonne volonté luttent de tout leur cœur contre l’alcoolisme .Cependant les résultats obtenus sont insignifiants. L’action des ligues anti- alcoolique à peu d’efficacité, comme on peut s’en rendre compte par les quantités inouïes d’alcool, consommées en France, plus du double du pays le plus alcoolisé après elle. Partout ailleurs, la consommation a diminué ou est supprimée complètement comme en Finlande.
Pourquoi consomme-t-on de l’alcool? Parce qu’on a l’impression d’avoir besoin d’un excitant. Une loi biologique affirme: « Toute excitation est suivie d’une dépression égale en intensité et en durée ». Par suite de sa haute concentration albuminoïde et de sa teneur en toxines, la viande se comporte comme un excitant. Elle accélère les battements du pouls, augmente la pression sanguine et naturellement 2 ou 3 heures après avoir mangé de la viande et éprouvé l’excitation viandeuse, on subit une dépression qui amène le besoin d’un autre excitant: l’alcool. C’est là un cercle fatal et on continue .Si bien que la vie des carnivores devient une suite d’excitations et de dépression. Et si on a essayé de désintoxiqué un alcoolique sans lui supprimer la viande, on continu à provoquer une suite d’excitation qui le mette dans l’obligation de consommer de nouveau de l’alcool. C’est pourquoi le remède le plus rapide, le plus sûr que nous connaissons, en dehors des conversions religieuses, c’est de mettre les alcooliques au végétarisme. C’est ce qui est fait en Amérique dans les institutions pour ivrognes et au bout de quelques mois, ils n’ont vraiment plus envie de boire. Les végétariens ignorent la soif alcoolique.
POUR L’AMOUR PUR Ce n’est pas tout. Le végétarisme nous permet d’aborder également avec beaucoup de chances de succès un autre fléau de l’humanité: je veux parler des maladies vénériennes Syphilis etc……. sont de plus en plus répandues et leur diffusion alarmante, menace l’humanité. Le rôle des moralistes et des hygiénistes n’est pas inutile, mais le végétarisme tient une place importante dans l’effort de redressement qui s’impose devant le péril vénérien. En effet, à côté des excitations intellectuelles et pornographiques qui envahissent la rue et, par les yeux, la conscience des « enfants » et des adultes incapables de réagir; il y a un autre facteur dont il est trop peu tenu compte, c’est l’état de stimulation congestive dans lequel se trouvent en permanence nos contemporains qui sont comparables à ces marmites autoclaves dans lesquelles tout bout sous pression. En effet le Français moyen consomme régulièrement viande, alcool et tabac. A cause de ces excitants et de leurs poisons, il est continuellement sous pression, à tel point qu’on est arrivé à considérer comme normale une pression sanguine tout à fait exagérée. La pression normale des adultes bien-portants est de 10 à 13 et c’est la pression des végétariens qui boivent de l’eau et ne fument pas. Naturellement une pression sanguine élevée, qui est celle de tous les hommes ordinaires, entretient une congestion permanente et une tendance tout-à-fait anormale à l’excitation génésique. Si bien que l’on pourrait dire que le végétarisme c’est la moralité à bon marché. Les hommes ont les maladies qu’ils recherchent………….s’ils avaient une alimentation pure, ils auraient une vie pure et s’élèveraient au dessus de la chiennerie jusqu’à l’amour véritable qui ne se fait pas , mais qui se donne dans la communion des cœurs et l’union spirituelle.
LA VOLONTE BONNE
Au point de l’hygiène sociale, les maladies proviennent en grande partie, d’un manque d’empire sous nous- même. Nous avons tous entendu dire qu’il vaut mieux sortir de table avec une pointe d’appétit: nous savons qu’il ne faut pas boire trop, qu’il ne faut pas rechercher une alimentation trop riche, trop luxueuse, car les excès sont nuisibles et néanmoins, nous mangeons de tout ce qui est mauvais, nous consommons tout ce qui est dangereux et nous nous livrons à toutes sortes d’excès parce que nous n’avons pas une volonté suffisante pour nous arrêter. Et d’une façon générale, les maladies sociales sont la preuve, le symptôme d’une carence plus ou moins généralisée de la volonté, de la fermeté et de l’empire sur soi- même. Le végétarisme résultat d’un refus net, volontaire de se livrer à une consommation pernicieuse, a pour conséquence de développer la volonté dans un domaine déterminé: le refus de la consommation carnée etc…Notre règle de vie permet de passer de la bonne volonté qui est trop souvent velléitaire à l’efficacité de la volonté bonne. Le végétarien ne renforce pas seulement sa volonté, il développe aussi le sentiment des valeurs morales, qui tend à disparaître de plus en plus de notre humanité pour le malheur de la société et de ses membres? En effet les maladies, les fléaux sociaux correspondent bien à une carence de la volonté. Mais il n’y a pas que les maladies physiques, il y a aussi les maladies morales. Nous sommes envahis par le laisser aller, la complicité pour tout ce qui est un peu trouble et louche, l’absence de dignité, de courage civique ou autre. Cet envahissement implique un obscurcissement de la notion du bien et du mal et c’est là un des dangers les plus graves que court actuellement notre humanité: le danger du fléchissement des valeurs morales. Or le végétarien est constamment mis en présence de faits qu’il est appelé à « juger » et à trouver bons ou mauvais? Il sait ce qui est bon et ce qui est mauvais pour lui et il développe en lui cette aptitude à rechercher.
NORMALISATION DES PROBLEMES SOCIAUX
L’adoption du végétarisme transformerait l’économie. Les pâturages seraient remplacés par des jardins potagers et des vergers, et les terrain se sports gymnastiques ou non multipliés, deviendront comme dans la Grèce antique, des centres d’éducation civique et morale aussi bien que physique. Les 700.000 bistrots et restaurants alcoolistes de France seraient remplacés par moins de 100.000 restaurants hygiéniques ( proportion des pays sains : Danemark: 1 pour 450 habitants, Hollande: 1 pour 3.500) et les épiciers développeraient leurs ventes de denrées alimentaires saines, se rapprochant des maisons de produits hygiéniques actuels. Plus de deux millions de bouchers, éleveurs, bistros, garçon de salle et tueurs trouveraient une nouvelle joie de vivre en cultivant les légumes et surtout les fruits, faisant de la France « le plus beau jardin sous le soleil. Fait plus important, la cicatrisation de la plaie béante ouverte dans la vie de la nation, par l’alcoolisme viandeux, déplacera le pouvoir d’achat des masses, et donnera un essor splendide aux industries du bâtiment et du mobilier ainsi qu’aux arts. Avec les centaines de milliards dépensés annuellement en boissons « fossoyeuses » le pays se couvrira vite de millions de pavillons familiaux clairs et fleuris, tandis qu’au lieu de 700.000 débits de maladie et 7.000 foyers de loisirs culturels, théâtres , concerts, développement des activités manuelles etc…. Par suite de l’intensification générale des cultures potagères et fruitières, toutes les régions pourront nourrir leur population. Les rouages de la vie économiques simplifié tourneront plus aisément et il sera plus facile d’en pénétrer les problèmes et les résoudre efficacement.
PROGRES INTELLECTUEL
La plupart des sages de tous les temps ont été amenés à pratiquer le végétarisme. Tous les hommes qui de propos délibéré ont voulu atteindre les sommets de l’existence humaine et développer à leur maximum les valeurs dont l’être humain recèle les germes, ont renoncé à tous les éléments de stagnation y compris la viande. En effet , il est à peu près impossible d’arriver à cette culture subtile et transcendante de notre être intérieur et spirituel, si nous ne mettons pas en œuvre tous nos atouts. Actuellement non seulement l’homme abrège sa vie, renonçant généralement à la moitié de l’existence à laquelle il pourrait prétendre, mais encore, et cela est plus triste, il s’interdit de connaître les cimes de joies culturelles qu’il pourrait atteindre en vivant autrement. Les ravages du carnivorisme, de l’alcoolisme et du tabagisme ne nous privent pas seulement d’une certaine durée de vie, mais de sa qualité. Il nous empêchent d’atteindre les sommets de l’existence. C’est un point de vue que les végétariens sont des apprentis philosophes. Nous vivons entre 2 infinis……..D’un côté, l’Univers au sein duquel nous sommes, se compose de myriades de voies lactées comprenant chacune des milliards de soleils dont certaines sont entourées de planète semblables à notre terre. D’autre part, nous savons que nos tissus, les aliments que nous consommons, l’air que nous respirons sont composés d’atome infiniment petits, copies de notre système solaire. Une tête d’épingle en renferme des centaines de millions. D’un côté, des milliards de molécules et d’atome, de l’autre des milliards de milliards de soleils……Les vapeurs quantitatives sont quelque chose de bien relatif. Comme Pascal, nous pouvons nous écrier « Oui l’homme n’est qu’un roseau, mais c’est un roseau pensant » . Nous trouvons notre refuge et notre grandeur dans nos facultés morales, esthétiques, créatrices et spirituelles. Par leur culture nous nous élevons au - dessus de la matière et de la quantité, et nous pouvons donner une valeur immense à la vie. Le développement de la quantité en nous est conditionné par une large mesure, par la valeur de nos sensations et de nos perceptions. Tant de grands penseurs suivant la tradition du prophète Daniel que le végétarisme avait rendu « Le plus beau et le plus sage », des jeunes gens qui vivaient auprès du roi et de Pythagore, le plus illustre des philosophes Grecs, ont demandé à la vie pure l’équilibre de la raison et l’acuité intellectuelle. Tandis que Platon a dit que la viande est cause de maladies et de guerres (républiques).
De nos jours, les bienfaits extraordinaires du végétarisme au point de vue de l’acuité intellectuelle ont été confirmés par une expérience probante. Depuis un demi- siècle, un quart des internes du Collège de Wycliffe, en Angleterre suivent le régime végétarien et sont, dans les diverses classes entre lesquelles ils sont répartis, en compétition constante dans les études et les sports avec des petits carnivores trois fois plus nombreux qu’eux. La conclusion de cette épreuve est que, tandis qu’ils sont les égaux des carnivores dans les sports de vitesse et de détente, les végétariens sont nettement supérieurs dans toutes les épreuves d’endurance, et font preuve d’une supériorité écrasantes dans les études. En passant, on comprend pourquoi la plupart des champions de grand fond comme les Nurmi et les Kohlemainen sont végétariens. Il est bien évident que le végétarisme ne transformera pas les idiots en surhommes, mais il aide chacun à atteindre sont plafond intellectuel . Au contraire, la plupart des victimes de notre pseudo- progrès artificiel et commercialisé sont condamnés par nos mœurs irréfléchis à mourir sans avoir joui des hautes joies intellectuelles et spirituelles qui leur seraient accessibles s’ils voulaient s’en donner la peine. | |
| | | Anaëlle Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1347 Age : 37 Localisation : Montpellier Humeur : Un soupson de lalaland, du rire Date d'inscription : 29/09/2006
| Sujet: Re: 12 raisons du Végétarisme Mar 6 Jan - 11:51 | |
| LA VIE HARMONIEUSE Au point de vue transcendant de l’adaptation aux lois universelles de la nature au sein de laquelle nous vivons, le végétarisme est une obligation morale. En effet quel est le devoir d’un être en générale! C’est d’exécuter convenablement sa partie dans le grand concert de la vie. Nous voyons que tout cet univers élue suivant un grand rythme. Sur tous les plans il y a harmonie et équilibre. On voit partout la nature produire des êtres aux formes toujours plus élevées, plus délicates, plus complexes, mieux adaptées à la vie…….Alors notre devoir est de bien remplir notre rôle. Or l’homme est le seul être qui ne soit pas fidèle à son devoir, parce que c’est le seul doué d’une certaine liberté . Les animaux, les plantes, les minéraux accomplissent fidèlement leur mission sur terre, jouent le rôle qu’ils ont été appelés à jouer; tandis que l’homme, comme l’ dit Voltaire est le seul animal qui boive quand il n’a pas soif, mange quand il n’a pas faim et fasse l’amour en toutes saisons. C’est là évidemment une condamnation de notre façon de vivre. L’homme animé de ce qu’un philosophe a appelé « la volonté d’harmonie », le désir de remplir son devoir en vivant harmonieusement au sein de la nature cosmique doit essayer de vivre conformément aux lois de sa nature à la place qui lui est assigné dans l’univers. Au point de vue alimentaire, quelle est la nature de l’homme? Il y a peu près deux siècles que la science, par l’organe de Cuvier le fondateur de l’anatomie comparée, nous a prouvé que l’homme est destiné à se nourrir de fruits et de légumes et, il y a déjà plus d’un siècle que le fondateur de l’Anthropologie , Broca déclara également que l’homme est un frugivore. Nous sommes appelés à puiser dans les fruits , les graminées et les légumes la force et l’énergie nécessaire et suffisantes pour remplir notre devoir c’est à dire vivre normalement et harmonieusement dans le monde. Le végétarien est en harmonie avec les lois de la vie. L’anatomie comparée a montré que nous avons tous les organes digestifs des animaux frugivores et granivores. Donc si l’homme ne veut pas être une fausse note dans la vie et participer normalement à l’harmonie sublime de la nature, il doit se hâter d’abandonner le régime cruel pour vivre conformément aux mœurs qui doivent êtres les siennes. Les morgues alimentaires sont les boucheries et charcuteries .
LA MORALE
Le végétarisme est un devoir moral. Nous n’avons pas le droit de tuer les animaux pour nous en repaître, alors que les lois de notre nature ne nous ont pas faits pour manger de la viande. Nous tuons les animaux que nous ne sommes pas faits pour tuer. Ce faisant, nous accomplissons un véritable crime contre le cosmos. Kant a donné cette règle élevée de la morale pratique: « Nous devons toujours considérer tous les êtres comme étant des fins se justifiant en elles mêmes, comme trouvant leur propre but en eux……… » et ne jamais considérer un être vivant comme un moyen de satisfaire nos désirs. Nous devons respecter la valeur intrinsèque des autres êtres et ne jamais les sacrifier à nos fins personnelles. Or c’est là ce que nous faisons lorsque nous tuons les animaux. Nous violons les lois les plus hautes de la morale………. En effet notre nature ne nous impose pas comme aux carnassiers la nécessité de nous nourrir de viande: nous n’avons pas les griffes des lions, les dents de loups……….un homme nu face à la face d’un veau ou un bœuf est incapable de le tuer et de le manger. L’homme fait concurrence aux hyènes, aux vautours et autres animaux mangeurs de cadavres. Ne parlons pas des chasseurs tuant pour le plaisir. L’humanité n’est pas encore sortie des convulsions violente de son enfance. Elle n’atteindra l’âge adulte que lorsque ayant réglé les problèmes de la paix et de l’organisation de la vie matérielle, elle commencera sa véritable mission qui est de consacrer son passage sur la terre, qui durera probablement des millions d’années à la création des valeurs spirituelles du vrai, du Beau et du « bien »
LE FONDEMENT DE LA PAIX
Si Marx a raison de sire que la plupart des guerres sont dues à des causes économiques , il ne faut pas oublier que ce sont les hommes qui par leur attachement aux jouissances matérielles donnent à ces causes économiques toute leur force nocive. En amenant l’homme à prendre conscience de ses obligations morales envers les animaux et à leur sacrifier des plaisirs très réels mais souillés par la cruauté et l’égoïsme, il transmue progressivement sont individualisme égoïste en un altruisme conscient des obligations morales qui constitue l’essence de la civilisation. Opinion de Gandhi qui dit « Les gens qui se disent Pacifistes et Amis des Animaux et qui mangent de la viande sont des « fumistes » (Humbugs) Le végétarisme constitue donc le plus efficace des désarmements: désarmement des mœurs. Il a l’immense avantage d’être immédiatement applicable par chacun.
VEGETARISME ET RELIGION
L’Hindouisme et le Mazdéisme le prescrivent sans équivoque. Manou, prenant en considération les différences d’évolution, tolérait le carnivorisme pour les castes inférieures, celles des chasseurs et pêcheurs, encore toutes proches des mœurs des sauvages. Mais il enjoignait un végétarisme strict aux castes assez avancées pour atteindre à la responsabilité morale. La haute religion de la pureté exerça une profonde influence . Après Ezéchiel et Zacharie, Daniel un des plus nobles prophètes en Israël, fut instruit par les mages et adopta leur végétarisme. L’ Orphisme Grec , dont l’influence fut si grande, était imprégnée de Mazdéisme; et Pythagore fit un séjour de 6 ans dans l’école des Mages. Etant donné l’influence capitale des Pythagoriciens sur la civilisation grecque, on voit qu’à travers Platon, Aristote, et l’école d’Alexandrie, la Perse végétarienne a profondément influencée la civilisation Judéo Chrétienne et son rameau Islamique. La Genèse enseigne que Dieu assigna à l’homme pour sa nourriture , les graines et toutes herbe portant semence et les fruits de tous les arbres portant fruit, et que ce n’est qu’après avoir été chassé du jardin d’Eden que l’homme commença à dévorer les animaux inoffensifs. Lorsque Moïse interdit aux Israélites de manger du sang, il leur enjoignit en réalité de s’abstenir de viande. Les animaux meurent après avoir perdu moins qu’un quart de leur sang, lequel cesse alors de circuler. Il est donc impossible de manger de la chair sans absorber le sang qu’elle contient, et le rituel Kasher tuant par la saignée les animaux suspendus au plafond par les pattes arrières « pour les vider » de leur sang, repose sur l’ignorance de la physiologie.
Voici le principal des 12 raisons du végétarisme où tout n’a pas été noté ( très long) les causes sont décomposées. Le Siège social : 2 rue Bellanger , Neuilly - sur- seine
Soyez heureux et décidez de faire partie des êtres de Lumière afin d’aider notre Mère la Terre à revivre. source : http://facemiroirame.forumsfree.org/alimentation-f56/ (désolé pour le copier-collé c'est pas évident de rendre quelque chose de présentable). | |
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