Qui sommes-nous entre nos pensées ?

Nous nous cachons tous derrière nos pensées et si elles façonnent notre personnalité, elles entretiennent surtout le voile opaque qui sépare notre âme de notre esprit.

Bien entendu, il n'est point question de nous passer de penser... mais nous devons essayer de ne plus être l'instrument des pensées envahissantes qui nous traversent et auxquelles nous finissons toujours par nous identifier.

Nous ne sommes pas nos pensées... alors qui sommes-nous vraiment ? Que sommes-nous et qui sommes-nous entre nos pensées ? Qu'est-ce qui est le plus vivant ou le plus vrai en nous ?

Si vous pouvez répondre à cette question, alors vous devriez pouvoir vous connecter directement avec l'essence de ce que vous êtes !

oui c'est vrai Régis, mais je trouve l'exercice difficile, toute la journée nos 5 sens sont en etat d'alerte et générent toutes sortes de pensée qu'il est bien difficile d'éviter.
et c'est vrai le soir allonger sur mon lit, qd je fait une relaxation je sens que cela fait du bien de sortir de ce brouhaha mental
mais a part ces moments de calme
je finis tjrs par me faire pieger par ces pensées futiles, et je crois que ce sont elles qui finissent par nous endormir dans notre quotidien

Et nos Frères des Etoiles te répondraient :

"Mais détends-toi donc ! Ose rire ! Pourquoi te cramponner à la notion de travail ? Le but de tout cela, c'est de réaliser le plaisir de vivre, c'est la joie ! La Vie ignore le travail, elle s'amuse ! Toutes vos souffrances naissent de l'oubli chronique de ce principe de base." (Vu d'en Haut - Daniel Meurois - Ed. Le Persea)

oui d'accord faut toujours trouver le plaisir dans le travail, j'avoue avoir pris bcp de distance deja par rapport au travail, non pas que je travaille moins mais j'essaie de pas me laisser embarquer dans la pression qu'on essaye de nous imposer...;
et puis pour l'instant faut que je continues a travailler sinon je ne vois pas comment je vais nourrir ma famille !
sinon je parlais surtout des toutes ces petites pensées futiles, du style tu croises qqn....et paf tu bloques sur sa coiffure et tu te dis tiens faudrait que j'aille chez le coiffeur
tu vois un gamin dans la rue...;tiens comment est ce que mon fils a passer sa journée...
toutes des petites penseés, des milliards de petites pensées dont on ne fait meme plus attention

s'y connecter c'est pas la le problème

le plus difficile c'est d'y rester en permanence

Régis a écrit:

Et nos Frères des Etoiles te répondraient :

"Mais détends-toi donc ! Ose rire ! Pourquoi te cramponner à la notion de travail ? Le but de tout cela, c'est de réaliser le plaisir de vivre, c'est la joie ! La Vie ignore le travail, elle s'amuse ! Toutes vos souffrances naissent de l'oubli chronique de ce principe de base." (Vu d'en Haut - Daniel Meurois - Ed. Le Persea)

Oui le probleme c' est que depuis notre naissance jusqu' à l'entrée à l'ecole , au lycée ect ... On nous enseigne que le travail et l'apprentissage , c'est la seule chose qui nous permettra de vivre et que c'est un passage obligé , que c'est quelque chose de laborieux et difficile ...

Le probleme , c'est que tout le monde a oublié que apprendre , c'etait s'emerveiller chaque jour , que c'etait un jeu ludique ... Que ca ne doit pas se faire dans la souffrance ... Du coup tout ce qu'on peut nous enseigner à l'ecole ou au travail , ca sonne faux !

Combien de fois on a entendu " tu n'es pas là pour t'amuser ! " Comme si travailler et rire etaient 2 choses incompatibles ... :bigclin:

Oui , c'est tout à fait ça !

Et c'est à la fois tragique ... et comique ... et quand on voit le "visage" qu'ont la plupart des gens - très "crispé" - et quand on voit aussi le nombre des gens ayant cette "philosophie" de vie ...et qui peuplent les hôpitaux en tant que patients , il y a de quoi se poser de sérieuses questions


:bigclin:

Régis a écrit:

Nous ne sommes pas nos pensées... alors qui sommes-nous vraiment ? Que sommes-nous et qui sommes-nous entre nos pensées ? Qu'est-ce qui est le plus vivant ou le plus vrai en nous ?

Si vous pouvez répondre à cette question, alors vous devriez pouvoir vous connecter directement avec l'essence de ce que vous êtes !

c'est tres simple ... nous sommes le "je suis" ou " l'etre " ...

lakshmi :

Citation :

le plus difficile c'est d'y rester en permanence

le plus difficile c'est de réaliser que l'on est toujours "l'etre" en permanence .. quoi qu'on i pense ..

Qu'est-ce qui est le plus vivant ou le plus vrai en nous ?

Bonne question Régis, ce qui est le plus vivant ?

D'abord ce qui vibre, cette vie qui palpite dans le corps, l'énergie qui anime chaque cellule...qui fait battre le coeur, fait circuler le sang....., actionne le cerveau.

Il faut passer par le corps pour en saisir un peu la nature, l'expériementer, elle est immanante.

C'est quand on parvient à concentrer cette énergie dans le coeur, pour animer ce centre, qu'il est permis de mettre le mental un peu à distance et de percevoir aussi l'énergie transcendante qui peut y arriver.....
Le mental est incapable de ça...

De percevoir que nous sommes traversés par l'énergie de l'Univers, de la Source.

Dans cet espace, rien n'est vraiment grave, rien ne peut appeurer, car nous sommes animés par la Présence, l'Énergie qui pénètre tout-tout.

Deumeurer dans cet espace en permanence est difficile et vivre avec comme arrière plan cette certitude, demande de reviser toute la trame sur laquelle est assise nos vies. Ce qui ne se fait pas du jour au lendemain.

Je pense que nous avons besoin d'aide des êtres qui ont réalisé leur plein potentiel divin pour maintenir le mental à ces niveaux.

Voilà Régis la réflexion que cette question a suscitée.
Une réflexion de confiance et d'espérance.
:CoeurFleur:

Régis a écrit:

Nous ne sommes pas nos pensées... alors qui sommes-nous vraiment ? Que sommes-nous et qui sommes-nous entre nos pensées ? Qu'est-ce qui est le plus vivant ou le plus vrai en nous ?

Ce que je suis ? Eh bien je ne suis rien. Je ne suis rien du tout. Je n'ai pas d'identification, pas de prénom, pas de nom, un corps physique pour faire l'expérience de la conscience.

Le plus vivant ou vrai c'est l'amour.

Le Jésus-Christ ne répondrait pas à cette question, le bouddha non plus parce que c'est comme demander qu'es ce que la vérité. Nous ne pouvons le savoir qu'en faisant l'expérience de nous-même, ils ne peuvent répondre à notre place.

"Nous ne pouvons le savoir qu'en faisant l'expérience de nous-même, ils ne peuvent répondre à notre place."
Bien résumé annaelle, je suis entièrement d'accord avec toi....

Bisous a tous

dans le bouddhisme tibétain on appelle l'espace entre les pensées l'état de rigpa c'est a dire "la claire lumière" ou la véritable nature de notre esprit...c'est pas facile a percevoir sa demande pas mal de méditation , en gros quand on atteint l'éveil on réside dans cet état, (c'est pas quelque chose de béa ou on est complètement ensuquer)....

dans "ce qu'ils m'ont dit" , on dit qu'il faut penser avec son coeur et moins avec le mental
mais comment fait on la difference concretement entre les deux
quand j'observe mes pensées j'ai l'impression qu'elles sont issues de la meme source
je crois que c'est ma principale difficulté pour avancer

Anaëlle a écrit:

Le Jésus-Christ ne répondrait pas à cette question, le Bouddha non plus

C'est pourtant le but de tout leur enseignement : reconnaître l'essence de soi-même.

Quand j'ai dit "si vous pouvez répondre à cette question", c'est à vous-même qu'il faut pouvoir répondre. Ici, malgré toutes ces belles réflexions de chacun, tout cela reste encore des pensées, des idées auxquelles chacun s'identifie.
En fait, il s'agit plutôt de reconnaître, de ressentir cette essence que nous sommes au-delà de nos pensées. A l'instant où l'on ressent et reconnait cette essence (cet essence-ciel), je ne crois pas qu'il y ait vraiment de mot pour décrire cela.

Justement Jésus ou bouddha n'ont pas de mot pour sa... Bref, je t'ai répondu plus haut dans la réponse. J'ai le droit de complété une réponse avec un exemple d'autres individus n'es ce pas ?

Si j'ai répondu "rien" par rapport à mon opinion personnel c'est qu'il n'y a pas de mot.

Alors pourquoi avoir posé un tel sujet régis, si tu sais que les mots ne peuvent rien dire à ce sujet ?

Losar a écrit:

dans "ce qu'ils m'ont dit" , on dit qu'il faut penser avec son coeur et moins avec le mental
mais comment fait on la difference concretement entre les deux
quand j'observe mes pensées j'ai l'impression qu'elles sont issues de la meme source
je crois que c'est ma principale difficulté pour avancer

Cher Losar , c'est vrai que c'est très difficile de le savoir ... du moins au début , mais il existe certains "indices" qui nous permettent de le savoir . Par exemple , le COEUR "unit" et le MENTAL "désunit" .
C'est le "mental" qui juge et qui tranche , car c'est son rôle de "disséquer" les informations pour les analyser d'une certaine façon ... pour nous aider à mieux comprendre certains aspects d'un problème ou d'une situation particulière

Donc , si ce que tu "penses" ou "ressens" EN toi n'est pas "UNIFICATEUR" :coeur: et si cela ne te rend pas "moins séparé de toi-même et des autres" , alors je crois que tu peux en conclure à 99% que cela vient de ton "mental"

Cela me fait penser à ce qu'a dit Sri Aurobindo :

"Si 2 chemins se présentent devant vous et que vous ne savez pas lequel choisir , choisissez celui qui UNIT (intérieurement ET extérieurement)
... et c'est par l'OBSERVATION honnête de soi-même et de ce qui se passe EN soi qu'on finit par y arriver .
... et si après cela tu "sens" ton coeur "chauffer" et que tu te sens "mieux" en toi-même , alors tu peux être sûr que tu viens d'effectuer un travail avec ton coeur :coeur:
"

:bigclin:

Citation :

on dit qu'il faut penser avec son coeur et moins avec le mental
mais comment fait on la difference concretement entre les deux

l'orsque c'est mon coeur qui parle, c'est tout mon être qui vibre, je n'ai pas à peser les pour ou les contres, dun choix, "je sens" que je suis à la bonne place ou que j'ai pris la bonne décision, j'ai confiance, je me sens bien

il est arrivé que je le ressente par une émotion, je le décrirais comme,
" le cri du coeur" sans pouvoir expliquer puisque comme j'ai dit plus haut ca se ressens de l'intérieur

difficile d'expliquer, puisque ca se vie

un livre:

"le Maître du coeur"

de Annie Marquis

je ne l'ai pas lu, mais une amie me disais qu'il était très bien fait et expliqué, pour aider à reconnaître lorsque c'est le coeur qui parle et comment sortir du mental pour rejoindre le coeur

ceci dit, nous sommes né avec "le coeur et le mental" et nous avons décidé de nous incarner avec ça. Donc ils font partis de nous, une fois sur terre si notre mental nous dérange nous pouvons travailler pour laisser parler notre coeur, etre dans le présent, mais si cela ne nous dérange pas, pourquoi faire ce travail. N'oublions pas que nous avons choisie de vivre cette vie pour faire des experiences, et certaines experiences sont de rester dans ces pensées, au-dela du bien et du mal, et sans que l'état présent soit le but ultime à atteindre aujourd'hui

Il ne s'agit pas d'annihiler le mental, il s'agit de résoudre son aspect paradoxal, dualitaire, et c'est par notre coeur que nous y parvenons.

Un excellent livre pour ce type de travail : "L'intelligence intuitive du coeur : La Solution HeartMath" dont voici la préface :

Préface
Il est rare de trouver une solution qui dépasse largement le problème de départ, et pourtant c’est ce qui m’est arrivé avec le travail évolutionnaire de HeartMath.

Dans la vie moderne, nous faisons référence au cœur dans plusieurs contextes bien différents : nous avons du « cœur », nous donnons du « cœur » à l’ouvrage, quelque chose nous tient « à cœur », nous écoutons notre « cœur », nous sommes de tout « cœur » avec quelqu’un, ou nous parlons à « cœur » ouvert. Que veut vraiment dire le mot « cœur » dans ces expressions courantes ? Il ne désigne certainement pas l’organe appelé « cœur », que j’ai étudié au cours de ma formation médicale — une pompe qui, à chaque seconde, fournit l’oxygène et les nutriments du sang à toutes les cellules de notre corps.

La médecine conventionnelle occidentale ne parle du cœur qu’en termes de fonction physiologique. Selon cette définition médicale, le cœur est un organe musculaire aux cavités multiples, où s’enchevêtrent des circuits électriques. Il est souvent décrit comme une pompe, et les artères comme des tuyaux — essentiellement l’équivalent biologique de la pompe à eau et de la plomberie de votre maison. Cette description contraste si fortement avec notre sentiment émotionnel du cœur qu’on finit par se demander s’il n’y aurait pas un lien quelconque entre le littéral et le figuré, entre le physique et le mystique.

Cette question sous-tend la solution HeartMath, et sa réponse peut avoir un effet important sur la santé et le bien-être général.
La différence entre la définition physique du « cœur » et sa définition émotionnelle est enracinée dans la division entre le corps et l’esprit, si omni-présente dans la médecine actuelle. Nous ne faisons plus le lien entre le rôle de nos pensées et de nos stress quotidiens et leurs effets sur le corps physi- que. Tout au long de la formation médicale, on explique les maladies par leurs causes bactériennes, métaboliques, toxiques et autres, mais on ignore large- ment la relation existant entre nos pensées ou nos émotions et un changement physique. Dans une certaine mesure, cela a engendré un modèle médical qui peut être déshumanisant car il se concentre uniquement sur les manifestations physiques précises de la maladie, perdant ainsi de vue l’ensemble de la personne.
Des professionnels de la santé, préoccupés par cette séparation entre le corps et l’esprit, ont réagi en développant des domaines tels que la psychosomatique et la médecine du comportement, et, plus récemment, la psycho-neuro-immunologie. Pour remédier à cette séparation, de nouvelles pratiques ont évolué, qu’on a appelées « holistiques », « complémentaires » ou « intégratrices », et qui s’efforcent de considérer l’ensemble du corps, du mental et de l’âme. HeartMath — dont le mérite repose sur sa simplicité et sa profondeur — constitue l’une de ces approches.

En tant que médecin, je suis fasciné par la relation entre le temps et la santé. Dans la société moderne, la plupart d’entre nous avons l’impression de ne jamais avoir le temps — un sentiment engendrant la frénésie et la précipitation qui sous-tendent tout notre stress, et provoquant des maladies et des troubles graves. Reconnaissant que le temps est une dimension rythmique de la vie, j’en suis venu à considérer la santé comme un délicat équilibre du rythme, tandis que la maladie résulte d’une rupture de cet équilibre. À une époque où le chaos et le bris du rythme font partie de la vie quotidienne, il est essentiel de développer des exercices qui aident à rétablir et à régulariser les rythmes normaux, et ainsi favorisent la santé. Le travail présenté ici par Doc Childre et Howard Martin dans La solution HeartMath enseigne comment changer les schémas et les rythmes à l’intérieur du corps physique, et y rétablir la santé en comprenant que le cœur est plus qu’une simple pompe physique et que les rythmes mêmes sont régulés par l’amour.

Ce livre montre en profondeur que le cœur est au centre de notre corps et de notre façon de penser et de sentir. La « solution » consiste d’abord à comprendre que le cœur est à la fois un objet physique, un organe rythmique, et l’amour même. Elle reconnaît le cœur comme étant la force rythmique centrale du corps, et nous montre comment utiliser le pouvoir cohérent de l’amour pour gérer nos pensées et nos émotions. Tel un caillou qui crée une série de cercles lorsqu’on le jette dans un étang calme, l’amour et les sentiments positifs du cœur créent un rythme qui répand la santé et le bien-être dans tout le corps. La médecine moderne a de la difficulté à comprendre cela, à cause de notre tendance à séparer et à différencier l’esprit et la matière, les émotions et le corps physique, au lieu de reconnaître le lien existant entre eux.

En découvrant HeartMath, j’ai été frappé par sa combinaison inhabituelle de recherche scientifique et de sagesse émotionnelle. Je connaissais déjà des études suggérant que la méditation ou la pensée positive permettent à une personne de mieux se sentir, d’être moins déprimée ou plus en santé, mais ces études peuvent être considérées comme de la science « légère ».

Dans HeartMath, cependant, je trouvais des études montrant d’importants changements du rythme cardiaque et de la chimie sanguine. HeartMath représente un point de convergence important, en montrant véritablement l’effet de l’amour, de la compassion et de la gratitude sur des problèmes physiologiques sous-jacents. Ce livre démontre clairement que les exercices de HeartMath affectent profondément notre santé car ils ont un effet positif sur notre façon de penser, de sentir, de travailler ensemble et d’être en relation dans tous les aspects de la vie.

Si nous prenons ce livre au sérieux, nous porterons à jamais un regard neuf sur nous-mêmes, sur les autres ainsi que sur le monde qui nous entoure. La recherche de HeartMath confirme notre compréhension intuitive du cœur au moyen de recherches scientifiques fiables et explique comment le champ électromagnétique qui irradie à partir du cœur peut affecter notre entourage. Les outils et techniques de HeartMath nous montrent comment passer de la pensée linéaire au sentiment intuitif, nous fournissant une plus grande intelligence et des solutions créatrices devant nos défis présents et futurs.

La solution HeartMath est prometteuse pour une société qui considère la science comme sa religion et exige des études et des résultats scientifiques comportant des variations numériques significatives avant d’accorder de la crédibilité à une approche. La force de la solution HeartMath, c’est d’être enracinée à la fois dans la recherche et la compréhension scientifiques, et dans la sagesse de l’amour. Elle donne un sens nouveau — et pourtant ancien — au « cœur », un sens englobant tous les aspects de ce que nous en savons.
Dr Stephan Rechtschaffen
Auteur de Time Shifting et président d’Omega Institute


Un petit extrait intéressant :

Le cerveau du cœur
Au cours des récentes années, des neuroscientifiques ont fait une découverte stimulante. Ils ont découvert que le cœur a son propre système nerveux — un système complexe, appelé « le cerveau du cœur ». Il y a dans le cœur au moins quarante mille neurones (cellules nerveuses), soit autant que dans divers centres sous-corticaux du cerveau. Le cerveau intrinsèque et le système nerveux du cœur relaient de l’information au cerveau, dans le crâne, créant un système de communication à double sens entre le cœur et le cerveau. Les signaux envoyés du cœur au cerveau affectent bien des régions et fonctions de l’amygdale cérébelleuse, du thalamus et du cortex.

L’amygdale cérébelleuse est une structure en forme d’amande, enfouie dans le système de traitement émotionnel du cerveau. Elle est spécialisée dans les souvenirs émotionnels forts. Le cortex est le lieu de l’apprentissage et du raisonnement. Il nous aide à résoudre des problèmes et à distinguer le bien du mal. L’amygdale cérébelleuse, le thalamus et le cortex fonctionnent étroitement ensemble. Lorsque arrive une nouvelle information, l’amygdale cérébelleuse en évalue l’importance émotionnelle. Elle cherche des associations, comparant ce qui, dans la mémoire émotionnelle, est familier à cette nouvelle information provenant du cerveau. Puis elle communique avec le cortex afin de déterminer les actions appropriées.

La découverte que le cœur a son propre système nerveux — un « cerveau » qui affecte l’amygdale cérébelleuse, le thalamus et le cortex — permet d’expliquer ce que les physiologistes John et Beatrice Lacey, du Fels Research Institute, ont compris dans les années 70. À l’époque, on savait que le système nerveux du corps reliait le cœur au cerveau, mais les scientifiques présumaient que le cerveau prenait toutes les décisions. La recherche des Lacey a montré qu’il n’en était pas ainsi.
Les Lacey ont découvert que, lorsque le cerveau envoyait des « ordres » au cœur à travers le système nerveux, le cœur n’obéissait pas automatiquement. Il réagissait plutôt comme s’il avait sa logique propre. Parfois, lorsque le cerveau envoyait un signal d’excitation au corps en réaction à des stimuli, le battement cardiaque accélérait en conséquence. Mais souvent, en réalité, il ralentissait, tandis que les autres organes réagissaient par l’excitation.

La sélectivité de la réaction du cœur indiquait qu’il ne réagissait pas d’une façon purement mécanique à un signal du cerveau. La réaction du cœur semblait plutôt dépendre de la nature de la tâche particulière à effectuer et du type de traitement mental qu’elle exigeait.

Encore plus étonnant, les Lacey découvrirent que le cœur semblait renvoyer des messages au cerveau que celui-ci non seulement comprenait,
mais exécutait. Et il semblait que ces messages du cœur pouvaient vraiment influencer le comportement d’une personne.

Les Lacey et d’autres découvrirent que nos battements cardiaques ne sont pas seulement les vibrations mécaniques d’une pompe appliquée, mais un langage intelligent qui influence de façon importante notre façon de percevoir et de réagir. Par la suite, d’autres chercheurs découvrirent également que les battements rythmiques du cœur se transforment en impulsions neuronales qui affectent directement l’activité électrique des centres cérébraux supérieurs — ceux qui sont engagés dans le traitement cognitif et émotionnel.

Dans les années 70, les idées des Lacey étaient controversées. Cependant, même à l’époque, des penseurs avant-gardistes saisirent la profondeur et la portée de ces découvertes. En 1977, le docteur Francis Waldrop,alors directeur du National Institute of Mental Health, affirma, dans un article évaluant le travail des Lacey, qu’« à long terme, leur recherche pourrait bien nous en dire long sur ce qui fait de chacun de nous une personne entière, et suggérer des techniques pouvant ramener à la santé une personne en détresse».

L’un de nos buts, en poursuivant la solution HeartMath, était de pousser le travail des Lacey encore plus loin. Ils avaient établi la capacité du cœur à « penser tout seul », en fait, dans certaines circonstances. Nous voulions comprendre comment le cœur formule sa logique et influence le comportement.

le cerveau du coeur fabuleux Régis
je ne pensais pas une seconde que notre coeur pouvait physiquement donner des instructions au cerveau

je comprends maintenant qu'on ne cesse de nous dire de penser par le coeur

merci

aeyta a écrit:

Ce que j'ai appris c'est que tous est dans de Dieu et que l'amour que nous éprouvons n'est que son miroir ainsi manifesté .

reprend ma correction

ce que j'ai appris c'est que tous est à l'intérieur de l'amour de Dieu et que l'amour que nous éprouvons n'est que son miroir .

Comme j'aime tant la maison que je me retrouve lorsque je vais dans le bois , et qu'il est facile de percevoir l'enseignement en chaque chose qu'on regard , il m'a été plus difficile de comprendre l'amour . Entre mes pensées il y a un espace .

L'Amour, la Joie et l'Intelligence que l'on perçoit par le canal du coeur est d'un tel ressenti - lorsqu'on commence à vivre avec toujours plus d'ouverture du coeur - que les mots que nous employons pour décrire ce que nous ressentons vraiment, aussi beaux soient-ils, resteront toujours limités en comparaison à ce que nous aimerions vraiment pouvoir décrire.

Oh, certes, nos mots, nos explications ne sont pas inutiles, je crois qu'elles permettent de titiller le ressenti des uns et des autres afin d'activer justement ce ressenti, cette intelligence du coeur.

Mais nous serons toutes et tous d'accords pour dire que le mieux, c'est que chacun le vive et de ne plus se contenter d'y penser seulement intellectuellement.

Je crois que la seule clé, c'est de se dire que l'Intelligence et l'Amour du coeur est quelque chose de tout à fait naturel en soi, il faut accepter d'abord cette évidence. On l'a en soi et on doit savoir intuitivement vivre avec cela. Ensuite, il faut vivre les années de notre vie pour en faire l'expérience et faire confiance en l'intuition de notre coeur... cette intuition que l'on a juste avant que les mots viennent défiler dans notre tête.

Alors, si certains ne parviennent pas à intellectualiser tout cela, qu'ils se rassurent, l'intelligence du coeur n'a pas forcément besoin d'une compréhension intellectuelle pour fonctionner. Au départ, c'est vrai qu'une certaine idée de ce principe peut servir à emballer notre moteur, mais seule l'expérience quotidienne nous amène à la Connaissance, et on ne parvient à la Connaissance qu'après l'avoir reçue et l'avoir acceptée.

Nous parlons toutes et tous facilement de l'Amour, mais prenons bien conscience que pour l'instant, nous apprenons à le recevoir (Ouverture et Reflexion) et nous apprenons à l'accepter (Le vécu, l'expérience). Lorsque nous aurons acquis suffisamment d'expériences, alors nous comprendrons sans doute pourquoi l'Amour est la seule véritable Connaissance.

La paix soit dans nos coeurs à tous !
:CoeurFleur:

Tu as tout dit..........

Merci Régis

Régis a écrit:

Nous nous cachons tous derrière nos pensées et si elles façonnent notre personnalité, elles entretiennent surtout le voile opaque qui sépare notre âme de notre esprit.

Bien entendu, il n'est point question de nous passer de penser... mais nous devons essayer de ne plus être l'instrument des pensées envahissantes qui nous traversent et auxquelles nous finissons toujours par nous identifier.

Nous ne sommes pas nos pensées... alors qui sommes-nous vraiment ? Que sommes-nous et qui sommes-nous entre nos pensées ? Qu'est-ce qui est le plus vivant ou le plus vrai en nous ?

Si vous pouvez répondre à cette question, alors vous devriez pouvoir vous connecter directement avec l'essence de ce que vous êtes !

Je crois que déjà lorsque l'on a vraiment réalisé que nous ne sommes pas nos pensées nous avons déjà franchi un grand pas.
Je viens de finir le livre de Anne sur les FP, et c'est incroyable ce que ca me fais. Je commence à réaliser que certaines choses que je pensais être fondamentales de mon être n'étaient en fait que ... des pensées. Ca me secoue comme la foudre (connotation non négative) dès que je m'en appercois.

Que suis je? Hihi, en fait j'en sais rien!



En tout cas, je ne demande qu'à me découvrir, et ce que j'aime bien, c'est que sa me rends toute joyeuse. J'avance sereine vers... moi?
Je dirais que ce qui est le plus vivant en nous est notre coeur. C'est comme un océan infini. Si nous faisons le calme en nous, ne pensons pas, il réponds. Nous reste à le suivre. L'important peut etre, n'est il pas de se demander qui nous sommes, mais de vivre pas à pas ce que nous sommes?

Bien dit, chère Nathalys... et heureux pour toi pour l'expérience que tu es en train de vivre, pour cette prise de conscience qui te fait chercher la réponse dans ton coeur.
Tu es sur la bonne voie !

Citation :

Je crois que déjà lorsque l'on a vraiment réalisé que nous ne sommes pas nos pensées nous avons déjà franchi un grand pas.

Tout à fait. De plus, lorsqu'on parvient enfin à différencier les pensées de nos intuitions, on tache non pas de les éliminer mais de les faire travailler ensemble ; notre coeur aime voyager vers notre mental et notre mental doit apprendre à aimer voyager vers le coeur. C'est là qu'on ressent alors cette joie qu'apporte une telle maîtrise. Evidemment, il ne faut pas confondre en soi maîtrise et contrôle. Si l'on cherche à contrôler cela, on ne parvient à pas grand chose. La maîtrise repose sur une grande part de confiance en l'Intelligence divine en soi. C'est cette Intelligence que nous recevons par le coeur et qui se manifeste à travers ce que nous appellons nos intuitions.

Fraternellement
Régis

Suite à ce que tout ce qui a été écrit sur ce sujet, j’aimerais ici vous partager à nouveau un message de Zama que j’avais trouvé sur internet et qu’en le relisant aujourd’hui, je le trouve toujours d’actualité… :ange1:

Pour tous et chacun, l’Éden sur Terre semble être « hors de portée » présentement… L’ancienne énergie de « pouvoir » et de « sécurité » s’écroule présentement en parallèle avec le marché monétaire… Une période certes difficile à vivre selon le différent niveau de chacun… mais pour ma part, je garde toujours Espoir… :Elfe:

Si nous sommes tous là présentement, c’est certainement que nous avons tous choisi de « vivre » cet évènement… pour le « meilleur et pour le pire » comme dans un contrat de mariage… Sauf que celui-ci s’étend présentement à tout le Peuple de la Terre…


Je nous souhaite à Tous, cette belle Floraison du :CoeurFleur: telle que l’exprime si bien Zama :

Dans le silence de nos êtres, travaille le souffle Divin : l’Esprit. Sa force nous dynamise et nous permet de voir avec lucidité les circonstances présentes de nos vies.

Aussi, tournons-nous vers Sa Lumière émanant de notre âme, l’Esprit de Dieu en nous présent ; laissons le nous orienter vers une attitude nouvelle qui ne changera peut-être pas immédiatement nos propres expériences, mais qui changera notre cœur !

Nous apprendrons à bénir. Nous bénirons à tout instant, par tous les moyens que nous possédons : nos yeux béniront, notre sourire bénira, notre cœur et nos pensées béniront. Nos mains se tendront, compatissantes et douces, bénissant intérieurement à tout instant, tout ce qui s’offre à nous, et même tout ce qui semble se refuser. Nous apprendrons à bénir même les épines, à les considérer avec amour et à leur adresser des pensées compréhensives qui seront intelligence, c'est-à-dire Amour.

Alors, en nous, tout s’adoucira. Nos cœurs perdront leur dureté et nos pensées deviendront aussi subtiles que des parfums de fleurs, aussi douces qu’une caresse. Elles effleureront tous les êtres, sans distinction, communiquant à chacun, la chaleur de notre Amour, transmettant aux plus faibles, la force, aux indécis, la certitude, aux malades, la guérison, aux incrédules la compréhension, et à tous nos frères, l’Amour vrai, profond, réel.

Cet Amour n’aura plus rien d’humain car il aura sa source en l’Esprit. Il communiquera la Vie et pourra se répandre sur des multitudes.

La Vie trouvera son vrai sens, un sens insoupçonné, par l’éveil de notre mental éclairé par notre cœur transformé par l’Amour .Cette épanouissement trouvera son apogée dans cette relation fusionnelle avec l’Esprit du Divin dont l’expression de lui-même vit en notre âme.

Ainsi, se rénovera la Planète. Ainsi, l’humanité retrouvera-t-elle le SENS de la VIE, si plusieurs de ses enfants consentent à suivre l’impulsion intérieure que leur communique la vie de l’Esprit, que leur insufflent les forces-mêmes de l’Esprit. Le nombre n’est rien face à la détermination et la conscientisation par l’Esprit d’un petit groupe. La source à l’origine est un mince filet d’eau, elle devient torrent entraînant sur son passage tout ce qui pourrait l’arrêter, même les rochers les plus coriaces se polissent sous l’action de la force de son eau fluide.

Alors, croyants ou incroyants, amis comme ennemis, tous comprendront la nécessité de la fraternité vraie, celle qui est issue d’un Amour qui n’a rien d’humain, mais qui est l’Amour Divin, qui est source de Vie répandant à profusion sa douceur et son fluide.
Et tout deviendra UN dans l’harmonie intérieure, dans l’harmonie des échanges et dans la Plénitude de la Vie vécue selon l’Esprit Divin.

Apprenons donc à sourire ; que notre sourire soit Vie, animé par la Vie intérieure, et expression de cette Vie !

Ainsi, nous aiderons-nous, si même au milieu des épreuves et des tourments, nous avons la sérénité intérieure, le désir de sourire à nos Frères et la force de sourire.

Car l’Esprit est joie, l’esprit est plénitude et il est harmonie. Dans la mesure où nous lui permettons de s’exprimer, nous aussi, deviendrons Joie intérieure, manifestée par tout notre être. Nous serons en tout lieu, en toute occasion, Harmonie, Harmonie capable de rayonner et de transmettre le Message intérieur à nos Frères, les hommes.

Car l’Esprit rayonne à travers les créatures. Il rayonne en elles, mais aussi, il transmet un message, message qui, souvent, n’est pas prononcé par des mots, mais qui vibre et dont les vibrations peuvent se communiquer à ceux qui, proches ou éloignée, saisissent ces vibrations de l’Esprit.

Car rien n’arrête les vibrations de l’Esprit, si ce n’est la propre détermination des créatures et des hommes, en particulier.
Appelés à vivre, tournés vers l’Esprit, à le rayonner, donc à le manifester, notre tâche est grande, sur terre et ailleurs.
Car toute vibration se transmet et se répercute, canalisant sur sa trajectoire, les pensées analogues, bénéfiques ou non.

Vous devinez le travail positif, bénéfique, réalisé par les pensées d’Amour, de Vie, de Lumière, qui se rencontrent, se réunissent, se conjuguent, se focalisent en réalité et prennent une force dynamisée nouvelle qui permet une action plus ample. A l’inverse, les pensées négatives, également surajoutées démolissent et détruisent nombre de créatures humaines. Ces pensées contre nature se concrétisent aussi dans le monde matériel.
Qu’il soit en nous, profondément enraciné, le désir de ne pas répandre de pensées qui n’ont rien de positif. Mais, au contraire, qu’en nous, se manifeste le désir profond de semer la Vie, d’y participer, de la réaliser par nos pensées mêmes, par tout ce qui en nous, émet à tout instant, des vibrations !

Que toutes ces vibrations soient Lumière !

Quelles soient douceur, respect des autres, même de ceux qui n’agissent pas comme nous ou ne pensent pas comme nous ! Admettons qu’ils portent quelques épines, comme nous-mêmes en portons encore ! Mais fleurissons, fleurissons en abondance ! Les fleurs dissimulent peu à peu les épines qui deviendront invisibles presque, parce que n’apparaîtra plus que la beauté de la floraison, la délicatesse des fleurs qui sont fleurs de Lumière, la beauté de leurs teintes et la suavité de leurs parfums. Et peu à peu, les épines s’émousseront et disparaîtront sous la montée de la sève.

Ne craignons rien ! Les épreuves de la vie sont utiles, dans la mesure où nous avons en nous ce qui est nécessaire pour les dépasser, les comprendre, les vivre dans une certaine sérénité car la vie est belle.

Souvenons-nous de la manifestation d’Amour de Celui que nous aimons particulièrement, sur Terre, à juste titre ! Il a souffert un chemin de croix acceptée, dépassée, pour répandre sur la Terre et sur les hommes un courant d’Amour, toujours opérant, toujours vivant, pour changer les cœurs des hommes et les appeler à l’Amour passionnel.

Ce simple rappel est destiné uniquement à nous aider à comprendre qu’aucune souffrance n’est perdue, qu’aucune peine n’est inutile, qu’elles deviennent même, extrêmement bénéfiques pour nous, si nous nous appliquons à les vivre en unité d’esprit avec le Christ, en unité d’Amour avec nos Frères, en unité de lumière avec l’Esprit.

N’oublions pas que la Vie est source de Joie, que la souffrance n’est pas à rechercher, somme toute momentanée elle n’est semée que par les hommes. Elle doit s’effacer de la Terre et des cœurs qui vivent la Lumière de l’Esprit !

Toute joie est marquée du souffle de l’Esprit. L’Esprit communique une joie inaltérable, une paix profonde, qui demeure même dans les vicissitudes humaines, et qui apparente déjà la créature au Créateur. Car le Créateur crée dans la joie et l’Amour, dans l’ivresse de la Lumière, dans la plénitude du Tout. Ce qui crée, porte la marque ineffable de la Plénitude, de l’Harmonie et de la joie, non d’une joie éphémère, mais d’une joie totale, pure qui ensoleille la créature, la Création et lui communique un reflet inaltérable de beauté pure.

Qu’il nous soit donné de ressentir en nous-même cette joie présente, gage de Lumière, d’harmonie comprise ! Qu’ils nous soient donnés de rayonner comme rayonne un rayon de soleil, communiquant la vie, la chaleur, la joie à toutes les créatures, à tout ce qui existe, réchauffant les rocs comme les terres désertées, faisant croître la végétation, animant tout être vivant !

Ecoutons en nous le chant intérieur, le chant de l’Esprit ! Certes, il est encore inaudible pour maintes créatures humaines, mais il est réalité. Si nous nous appliquons à écouter intérieurement, nous finirons par percevoir notre propre vibration intérieure, celle qui sera notre propre chant intérieur, notre propre note cristalline. Peu à peu, elle deviendra chant d’Amour en nos êtres, mélodie qui s’amplifiera et nous comblera de sa joie et ses bienfaits.

Qu’en nous s’allume le feu créateur qui est Amour et qui consume tout ce qui n’est pas Amour pour ne laisser vivre que ce qui est beauté et pureté, un peu comme un jardinier qui enlève les mauvaises herbes pour laisser croître les fleurs et les légumes !

Pour que la graine germe et que la plante se développe le cultivateur couve des yeux le fruit de son labeur tout en cultivant l’Amour de Sa Nature et de ce fait de la nature, déversant sur l’objet de ses attentions une eau vivifiée, magnétisée, capable de générer une floraison et une récolte extraordinaire.

Les fruits de l’Amour sont toujours savoureux, c’est une question de bon sens !

Zama

Suite à ce post de ce super message du Coeur de Zama, je me suis réveillée la nuit passée en réalisant que je ne lui avais jamais demandé la permission… de poster un de ses messages !

Alors je m’excuse publiquement auprès de Zama…

Et je l’en remercie du plus profond de mon Cœur pour Semer les plus Beaux Fruits de l’Amour… :CoeurFleur:

Louise :bisou: