Merci chère Hikarie
Je viens de lire ce premier chapitre du livre "777 la chute du vatican et de wall street" présenté sur ce site... c'est vraiment intéressant, on y apprend beaucoup de choses que la plupart d'entre nous ignorons sur le système financier et économique.
Une remarque intéressante de l'auteur :
"Et si la Bête de l'Apocalypse était vraiment l'argent, le système financier, le système bancaire ?
Et si sur son front il y avait en fait écrit : "J'accepte la Visa, Mastercard et American Express" ?
Jean ne dit-il pas clairement que « personne ne pourra vendre, ni acheter s'il n'est pas marqué par le nombre de la Bête » ? Après tout, c'est bien un système d'échanges de marchandises, d'achats et de ventes, d'entrées et de sorties d'argent qu'il décrit ! Ce n'est pas un rébus très compliqué. Il dit noir sur blanc que « sans la marque de la [ banque ] », les gens ne pourront pas prendre de l'argent, et seront mis à mort. Si vous n'avez pas votre Visa, vous êtes quand même bien embêté aujourd'hui... Pire : si vous n'avez pas ou plus de compte bancaire, vous êtes ( socialement ) mis à mort ! Pour quelle raison personne n'a voulu prendre cette phrase dans son sens propre ? Depuis que l'argent existe, c'est-à-dire depuis 4500 ans, hommes et femmes avaient toujours géré leurs pièces « sonnantes et trébuchantes » en toute liberté. Encore de nos jours, en 1968 par exemple, les ouvriers de Renault étaient payés en liquide, de la main à la main s'il vous plaît, par une armée d'aide- comptables chaque 30 du mois.
Oui, mais : à partir des années 1970 il y a eu une révolution silencieuse ! Nous avons perdu, sans même nous en rendre compte, la liberté de disposer de notre argent. Avec les nouveaux services proposés par la banque, l'employeur n'avait plus besoin de mobiliser une armée de comptables à chaque fin de mois : il lui a suffi de déplacer le problème des payes à l'agence du coin en distribuant un bout de papier à la place des billets de 100 FF. Et cela a permis à Renault de licencier les aides-comptables, devenus inutiles.
Au début pourtant, les premiers chèques de paye donnés aux salariés n'avaient pas le coin droit barré par deux traits. Un chèque « non barré » permettait d'aller dans l'agence et de l'encaisser tout de suite en liquide. Certes, cela obligeait les employés à se rendre à la banque émettrice pour retirer leur paye. Pour des raisons pratiques évidentes, cette nouvelle méthode a naturellement forcé les salariés à ouvrir eux aussi des comptes pour ne pas avoir à attendre au guichet pendant une heure à chaque fin de mois ( oui, dans les années 1970, nos parents faisaient patiemment la queue dans l'agence, puisque les distributeurs n'existaient pas encore ).
Puis progressivement, les banques ont cessé d'imprimer des chèques « non barrés », obligeant les récalcitrants à se soumettre à leur loi s'ils voulaient toucher leur paye. Pour retirer de l'argent, on était alors obligé de signer un chèque à l'ordre « de soi-même ». Là-dessus, une loi obligea particuliers et entreprises à payer par chèque toute transaction dépassant un certain seuil. Trente ans plus tard, des réglementations bancaires sont venues alourdir ce processus et désormais, il vous est impossible de retirer plus de 1.400 euros de votre compte d'un coup : « Il faut prévenir le directeur 48 heures à l'avance ».
Tout a été mis en place pour empêcher le déposant d'un compte de disposer librement de ses fonds. Les banques ont dépossédé les déposants. Le système est maintenant verrouillé. Non seulement vous ne pouvez plus acheter, ni vendre sans une banque et une carte, mais en plus vous ne pouvez plus disposer de votre argent comme vous l'entendez. Vu sous l'angle du texte de saint Jean, on peut affirmer que le système de marquage dont il parle est bien en place. Notez aussi qu'il n'était pas en place en 1970, ni en 1840, ni en 1710, etc. Nous vivons aujourd'hui, et seulement aujourd'hui, ce que Jean a décrit il y a 1900 ans.
Est-ce vraiment une « coïncidence » ?" .../...
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