http://starseed.eklablog.com/#!/interpretation-personnelle-de-heaven-a45626209
Mon interprétation personnelle de Heaven (du moyen anglais "Heven"), n'est pas "Paradis", mais "Maison de Eve".
Eden est le lieu "caché" (hidden en anglais).
Adam fût celui qui reçut la première âme de l'histoire de la Terre (Ad-Am).
adam-eve par anagramme:
daeva-em (dans le divin, ou être lumineux)
Daeva (daēuua, daāua, daēva) in Avestan language meaning "a being of shining light", is a term for a particular sort of supernatural entity with disagreeable characteristics. Equivalents in Iranian languages include Pashto dêw (Uber ghost, demon, giant), Baluchi dêw (giant, monster) , Persian dīv (a demon, an oger, a giant), Kurdish dêw (giant, monster). The Iranian word is borrowed into Urdu as deo, in Armenian as dew and Georgian as devi. In the Gathas, the oldest texts of the Zoroastrian canon, the daevas are 'wrong gods' or 'false gods' or 'gods that are (to be) rejected'. This meaning is – subject to interpretation – perhaps also evident in the Old Persian 'daiva inscription' of the 5th century BCE. In the Younger Avesta, the daevas are noxious creatures that promote chaos and disorder. In later tradition and folklore, the dēws (Zoroastrian Middle Persian; New Persian divs) are personifications of every imaginable evil.
Traduction:
Daeva (daēuua, daāua, Daeva) en langue avestique signifie «un être de lumière brillante", est un terme pour un type particulier d'entité surnaturelle avec des caractéristiques désagréables. Équivalents en langues iraniennes comprennent pachtou de rosée (fantôme Uber, démon, géant), baloutche de rosée (géant, un monstre), le persan div (un démon, un oger, un géant), le kurde de rosée (géant, un monstre). Le mot est emprunté iranienne en ourdou comme deo, en arménien et géorgien comme la rosée comme Devi. Dans les Gathas, les plus anciens textes du canon zoroastrienne, les Daevas sont des dieux injuste "ou" faux dieux 'ou' les dieux qui sont (comme) rejetée ». Ce sens est - sous réserve de l'interprétation - peut-être aussi évident dans le Vieux 'inscription daiva' perse au 5e siècle avant notre ère. Dans le Jeune Avesta, les Daevas sont des créatures nuisibles qui favorisent le chaos et le désordre. Dans la tradition postérieure et le folklore, les rosées (zoroastrienne moyen-perse, la Nouvelle-Persique divs) sont des personnifications de tous les maux imaginables.
On peut noter que ces êtres lumineux pour les institutions perses de l'époque, (reptiliennes ?) étaient considérés comme néfastes et désagréables. On peut également considérer Jésus comme néfaste à une certaine élite de l'époque, car les mettant face à leurs prérogatives.
Par la suite Daeva fût assimilé à tort à "Démon".
D'une manière générale, Deva signifiant divinité.
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Tout est révélé dans le Silence de ton Corps-Coeur.
La séparation est l'ultime illusion.