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| La contamination massive du Pacifique par Fukushima | |
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Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
| Sujet: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Dim 3 Nov - 8:14 | |
| La contamination massive du Pacifique par Fukushima L'infographie a de quoi effrayer : une vague rouge, orange et jaune se propage depuis le Japon dans tout l'océan Pacifique, touchant les côtes nord et sud-américaines ainsi que l'Asie du Sud-Est. Selon les sites qui la diffusent, il s'agit de l'eau fortement radioactive qui s'écoule de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, contaminant tant la nappe phréatique de la région que l'ensemble de l'océan. Alors, la centrale japonaise est-elle en train de polluer la moitié de la planète ? Depuis un mois, ce graphique a été massivement repris, sur les blogs, réseaux sociaux et forums. "Fukushima : l’océan Pacifique serait entièrement pollué", titre le site d'information antillais Smx le 17 octobre. Et d'alerter : "Des quantités extrêmement dangereuses de strontium, tritium et césium se seraient échappées de feue Fukushima pour se déverser dans tout l’hémisphère nord, portées par les courants, la pluie et le vent." "Les radiations de Fukushima sont déjà en train de tuer des Nords-Américains", va même jusqu'à affirmer Nodisinfo le 10 octobre. "Au cours des années à venir, cette catastrophe en cours pourrait potentiellement affecter la santé des millions et des millions de personnes vivant dans l’hémisphère nord, et le plus triste est que beaucoup de ces gens ne sauront jamais la vraie cause de leurs problèmes de santé", renchérit le blog Le Nouveau paragdime le 26 octobre. En 2012 déjà, le graphique avait circulé sur certains sites écologistes, notamment assorti d'un titre alarmiste : "Un cauchemar radioactif". En réalité, cette visualisation, réalisée en 2011 par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine, montre non la contamination radioactive mais les pics d'amplitude lors de la propagation du tsunami du 11 mars 2011, à partir des données enregistrées dans l’océan Pacifique. Aux extrêmes, les ondes de surface dépassant les 2,4 mètres sont représentées en noir tandis que le jaune indique celles inférieurs à 20 centimètres. Entre les deux, le rouge symbolise une amplitude de 40 cm et l'orange de 20 à 40 cm. On peut retrouver la modélisation sur le site de la NOAA avec son véritable titre, ainsi qu'avec un autre format... Ce détournement ne doit toutefois pas faire oublier que des éléments radioactifs s'échappent bel et bien de la centrale pour finir dans l'océan. Depuis la catastrophe, l'opérateur Tepco est en effet confronté à un problème majeur : celui des eaux radioactives. 400 000 tonnes d'eau, contaminées après avoir servi à refroidir les réacteurs, sont accumulées sur le site – 300 000 dans des réservoirs et le reste dans les sous-sol de la centrale. Conséquence : 300 tonnes d’eau contaminée (avec notamment du césium, strontium et tritium) finissent à la mer chaque jour depuis la nappe phréatique. Des fuites des réservoirs sont également régulièrement découvertes, comme nous l'avons expliqué dans cette vidéo : Dans une étude publiée ce mois-ci dans la revue Deep-Sea Research, des scientifiques ont étudié la trajectoire dans l'océan du césium 137, l'un des radioéléments les plus persistants dans la mesure où sa demi-vie est de 30 ans (c’est-à-dire le temps au bout duquel la moitié des noyaux radioactifs se sont désintégrés). Conclusion : le panache de césium 137 émis dans le mois qui a suivi la catastrophe devrait atteindre le nord-ouest de la côte américaine au début de l'année prochaine, mais à des niveaux sans danger pour la santé. Un puissant courant passant près des côtes japonaises, le Kuroshio, a en effet dilué la radioactivité en quatre mois à des niveaux inférieurs aux normes de l'Organisation mondiale de la santé, tandis que les tourbillons du Pacifique ont poursuivi ce processus de dilution. Les chercheurs prévoient des taux compris entre 10 et 30 Becquerels par mètre cube d'eau (Bq/m3) sur les côtes de l’Oregon et de l’Etat de Washington entre 2014 et 2020, et entre 10 et 20 Bq/m3 en Californie entre 2016 et 2025. Source : http://ecologie.blog.lemonde.fr/2013/10/29/hoax-ecolos-la-contamination-radioactive-du-pacifique-par-fukushima/ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Dim 3 Nov - 12:31 | |
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Dernière édition par jimmy le Dim 3 Nov - 15:11, édité 2 fois |
| | | Rikudou Membre ACTIF
Nombre de messages : 233 Age : 35 Localisation : Orléans Date d'inscription : 03/01/2013
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Dim 3 Nov - 13:48 | |
| Sans compter tout les essais nucléaires qui équivaux tous à une catastrophe Tchernobyl, les effets de la fission de l'atome sont donc bien plus important que ce que les autorité veulent bien le dire. | |
| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 15:47 | |
| Si ce netait que fukushima...
Loin des yeux loin du coeur isnt it?!
mais voila tous vos etalages de poissons atlantiques cotoient ceux du pacifique partout en europe et mainteannt le poissons phillipins sont contamines au cesium 134 137 mais sont compatibles a la vente en suisse! Du poisson au césium de Fukushima dans les supermarchés suisses !
Par Olivier Starc Mondialisation.ca, 08 novembre 2013 Le blog de Jacques Toutaux Région : Asie, Europe Thème: Environnement 960 32 12 1714 poisson ALERTE ROUGE ! Très inquiétant ! Le 23 octobre dernier, un journal Suisse, annonçait l’impensable, du poisson contaminé au césium 137 de Fukushima aurait été retrouvé en vente sur les étalages des grands magasins suisses avec ce titre alarmant “In Schweizer Läden gibts Fukushima-Fisch” ”Du poisson de Fukushima en magasin Suisse” lien
L’impensable se serait-il passé ? Du poisson contaminé par Fukushima serait-il déjà en vente dans les magasins suisses ? C’est ce que présuppose très nettement, l’article paru dans le très populaire journal le “20min” le 23 oct 2013 (on s’étonne déjà que le journal n’a pas jugé utile de traduire cette article allemand en français puisque le journal est bilingue et qu’il est édité dans les deux langues) mai on s’étonne encore plus que depuis cette date, le silence des média est absolument total !
Une expertise de radioactivité a décelé deux thons contaminés au césium 137 dans les magasins suisses. Il s’agit d’un test effectué par Radio 105.
Radio 105 a acheté dans un supermarché, une part de chaque produit de thon et les a confié, au laboratoire de l’État de Bâle. Les résultats montrent, que sur les échantillons achetés, deux échantillons mesurés par spectrométrie gamma, ont montré la présence très nette de césium 134 et césium 137… une substance présente que dans les centrales nucléaires.. et une analyse qui signe la catastrophe de Fukushima.
Les isotopes de ces analyses sont comme une signature, ce qui permet de dire que ces poissons on été, plus que très probablement en contact direct avec l’eau ultra radioactive de la centrale.
Bien que les poisson ont été pêchés aux Philippines, la présence césium 137 prouve en quelque sorte que ces poissons ont bien été contaminés par la catastrophe de Fukushima avant d’arriver au Philippines.
Voilà pourquoi selon Markus Zehringer, chef du laboratoire cantonal de Bâle, il est fort à parier, que cette contamination est liée directement à la catastrophe nucléaire de Fukushima. Comme les poissons sont capable de parcourir de très longues distances, explique-t-il, il est très probable qu’ils ont probablement été contaminés au large de de Fukushima, où ils auraient ingurgité pendant des mois, ces isotopes radioactifs, avant de migrer aux Philippines.
Pour l’instant il se veut rassurant en disant que “Avec 0,4 becquerels par kilogramme de césium 137, les valeurs sont encore en deçà de la limite de 1.250 becquerels par kilogramme,” a-t-il déclaré, il n’y a donc pas de danger pour la santé pour le moment. D’autres tests périodiques seront faits par le laboratoire du canton de Bâle a-t-il assuré”
Ce que l’article ne dit pas, c’est si on a trouvé cela sur 5 échantillons, analysés au hasard, nul ne nous dit qu’il n’y a pas des poissons beaucoup plus atteints en vente dans nos étalage, des poissons qui eux n’ont pas eux la chance d’être analysés !
De plus on sait que depuis l’accident de Fukushima, chaque jour, la centrale, rend les océans du monde entier de plus en plus radioactif et que la contamination durera au minimum 40 ans si tout va bien et si d’ici là on arrive à démanteler la centrale. D’ici là les mer du monde entier auront largement eu le temps d’être hautement contaminées !
J’ai appris aussi qu’il ne suffit pas de passer les poissons au compteur Geiger pour savoir si ils sont contaminés, mais que cela demande des analyses très complexes et très coûteuses en laboratoire… j’ai donc peur, qu’il devienne alors impossible de contrôler tous les poissons mis en vente… que nos supermarchés, ne sont ni équipés pour contrôler les poissons qui sont en vente, ni n’ont les moyens pour pouvoir le faire sérieusement. Et donc j’imagine que dans peu de temps, des scandale éclateront au grand jour un peu partout pour dénoncer, cette fois-ci la vente de poisson radioactif, mais d’ici là la population aura déjà été largement contaminée, et nous nous tomberons tous malade. J’ai peur aussi que les média soient dans l’interdiction d’en parler car si ils en parlaient et que du jour au lendemain les gens cesseraient de manger du poisson, le système économique mondial s’effondrerait complètement. J’ai peur qu’on nous cache ces choses pour ces raison aussi, et pour moi se pose alors la véritable question : quel risque y a-t-il de se faire complètement contaminer par les poissons. Je sais que ma question est douloureuse, mais franchement je me dois de vous la partager.
Oliver Starc (son blog) mercredi 6 novembre 2013
Voici l’article qui annonce cela :
http://www.20min.ch/schweiz/news/story/28556154 | |
| | | fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 17:59 | |
| Plus besoin d'électricité pour faire de la lumière chez vous sortez vos poissons du frigo | |
| | | PI Membre ACTIF
Nombre de messages : 800 Age : 60 Localisation : Esperaza Date d'inscription : 13/11/2009
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 19:30 | |
| Je crains , Fabrice , que ceux qui ont voulu minimiser Fuckushima , comme toi , aient tort ! | |
| | | fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 20:32 | |
| il y a un problème de toute façon avec le nucléaire, seulement regardez cet article posté par aiki59
"Du poisson contaminé par Fukushima SERAIT-IL déjà en vente dans les magasins suisses ? C’est ce que PRÉSUPPOSE TRÈS NETTEMENT, l’article…"
" CES POISSONS ON ÉTÉ PLUS QUE TRÈS PROBABLEMENT en contact direct avec l’eau ultra radioactive de la centrale."
"Bien que les poisson ont été pêchés aux Philippines, la présence césium 137 prouve EN QUELQUE SORTE que ces poissons ont bien été contaminés par la catastrophe de Fukushima"
"IL EST FORT À PARIER, que cette contamination est liée directement à la catastrophe nucléaire de Fukushima."
"il est très PROBABLE qu’ils ont PROBABLEMENT été contaminés au large de de Fukushima"
“Avec 0,4 becquerels par kilogramme de césium 137, les valeurs sont encore en deçà de la limite de 1.250 becquerels par kilogramme,” a-t-il déclaré, il n’y a donc pas de danger pour la santé"
EXCUSEZ MOI, CET ARTICLE EST LOIN D'ÊTRE SERIEUX
si vous voulez vraiment avoir des données alarmistes allez plutôt voir le taux de mercure dans les poissons qui est d'une nocivité beaucoup plus dangereuse que 0,4 becquerel par kg
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| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 21:42 | |
| au niveau émissif Fabrice a raison:
ces poissons n'émettent rien quasiment en revanche sils sont ingérés toutes les semaines le cesium creera des points chauds partout il sera excreté a 80pcent par les reins le foie sil fonctionne bien en quelques semaines ou mois.Ceci est moindrement grave que si l'on ingere plus de cesium en continu.Sachez aussi que le plutonium est quasi indetectable mais aussi en moindre quantite en revanche il est mortel a court terme.
D'apres l association next-up le plus grand danger est le multiplexage haute frequence de la telephonie mobile qui induit par emission radio les memes degats que la radioactivite cette fois ci dans enormement de cellules a la fois et dans 90 pcent de notre Pays.
Ne resisterons que ceux d'entre nous qui sont stable de coeur corps esprit la terre va virer ses chats gris grace aux chats gris incroyable et c'est en cours et nous lavons voulu! L'homme est un tel mouton quil sendort dans sa laine!
Dernière édition par AIKI59 le Mar 12 Nov - 22:08, édité 2 fois | |
| | | PI Membre ACTIF
Nombre de messages : 800 Age : 60 Localisation : Esperaza Date d'inscription : 13/11/2009
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 21:49 | |
| au niveau émissif Fabrice a raison: ces poissons n'émettent rien quasiment en revanche sils sont ingérés toutes les semaines le cesium creera des points chauds partout il sera excreté a 80pcent par les reins le foie sil fonctionne bien en quelques semaines ou mois.Ceci est moindrement grave sil lon ingere plus de cesium en continu.Sachez aussi que le plutonium est quasi indetectable Ce qui prouve justement que Fabrice n'a pas raison et qu'il y a danger. Un danger qui s'ajoute effectivement à celui du mercure. Toutefois , cette date du 11/3 me semble tout à fait suspecte et je suis prêt à croire que le tsunami n'est pas d'origine naturelle. | |
| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mar 12 Nov - 22:16 | |
| 27 mars 2013
les pollutions en tous genre depuis 50ans tant civil que militaire fait que la verite est difficilement cernable mediatiquement en revanche au niveau geographique et en suivant les pistes de l'argent des associations de defenses, on peut savoir un peu les grandes lignes de tout ce que nous avons a nettoyer:
Concentration anormale en tritium dans l’eau de mer à proximité de l’usine Areva :
http://www.acro.eu.org/
L’ACRO effectue une surveillance citoyenne de la radioactivité dans l’environnement depuis de longues années. Elle effectue notamment des contrôles réguliers tout le long des côtes de la Manche afin de suivre l’impact des rejets en mer des installations nucléaires.
Le 17 octobre 2012, l’association a mesuré 110 Bq/L de tritium dans l’eau de mer prélevée dans la baie d’Ecalgrain, à proximité de l’usine AREVA de La Hague (50). Habituellement l’ACRO trouve moins de 27 Bq/L à cet endroit. Les relevés de l’exploitant nucléaire transmis au Réseau National de Mesure (http://www.mesure-radioactivite.fr/public/) ne mentionnent rien d’anormal ce jour.
En dix ans de surveillance mensuelle à Goury, de 1998 à 2007 (ou 120 mesures), l'IRSN n'a JAMAIS mesuré de concentration supérieure à 33,3 Bq/L.
Que s’est-il passé ? Nous n’en savons rien. L’ACRO a interrogé les autorités compétentes et espère une réponse.
Le tritium, hydrogène radioactif, est presque intégralement rejeté en mer par les installations nucléaires. On le trouve donc à une concentration dans l’eau de mer de quelques becquerels par litre dans l’eau de La Manche, alors que la concentration naturelle est de l’ordre de 0,1 Bq/L. Cette concentration ne baisse pas. La tendance est même à la hausse.
Il y a plus de tritium dans les eaux de La Manche que dans les eaux du Pacifique à proximité de la centrale de Fukushima ! Les deux derniers relevés officiels japonais (6 et 21 mars 2013) font état d’une concentration inférieure à la limite de détection de 3 Bq/L, sauf à proximité de la centrale où les niveaux atteignent 13 Bq/L. Il y avait 3,1 Bq/L au même point dans le relevé du 21 mars. Voir : http://www.nsr.go.jp/activity/monitoring/data/20130306-02.pdf et http://www.nsr.go.jp/activity/monitoring/data/20130321-02.pdf
L’ACRO entame une nouvelle campagne de prélèvements durant la semaine, au cours des grandes marées. C’est l’occasion pour de nombreux préleveurs volontaires de nous rejoindre pour participer à la surveillance de l’environnement.
Contact : ACRO –Siège social 138 Rue de l’Eglise 14200 HEROUVILLE SAINT CLAIR Tél : 02 31 94 35 34
ACRO – Antenne Nord Cotentin Contact : Pierre PARIS Le Bourg – 50690 VIRAND | |
| | | fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mer 13 Nov - 2:59 | |
| dans la dernière chronique de Benjamin Fullford, le cas Fukushima ne prend qu'une phrase "There are already early indications the dumping of radioactive industrial waste in Fukushima and the accompanying fear mongering campaign is being wound down." | |
| | | PI Membre ACTIF
Nombre de messages : 800 Age : 60 Localisation : Esperaza Date d'inscription : 13/11/2009
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mer 13 Nov - 20:09 | |
| La manche (meme si elle s'ouvre sur l'atlantique ) fait 75000 kms carrés. Le pacifique , lui fait 170 millions de kms carrés....soit environ ...2000 fois la Manche ! Si on tient compte des profondeurs , le pacifique doit etre bien 5 ou 10 fois plus profond en moyenne. Bref , le volume d'eau du pacifique représente 10000 fois celui de la Manche. Ca veut dire qu'il a un pouvoir de dilution énorme. Donc , quand des thons du pacifique sont contaminés, je prends l'affaire au sérieux ! Connaissez vous , à propos cette phrase de l'apocalypse de ST Jean : une étoile tomba du ciel et un tiers des eaux devinrent ameres . Cette étoiles se nomment absinthe ! Savez vous comment se dit absinthe en ukrainien ? Pour ceux qui ne le savent pas , ça se dit ...TCHERNOBYL !!!!
(Retour à la table des matières
La contamination prend le nom ukrainien d’une herbe amère, l’armoise ou absinthe (chernobyl). Le nom signifie littéralement la douleur noire [6]. Elena Filatova écrit qu’il a disparu des dictionnaires...)
Dernière édition par PI le Mer 13 Nov - 20:17, édité 1 fois | |
| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mer 13 Nov - 20:15 | |
| VLADIMIR BABENKO: « APRES L’ACCIDENT ATOMIQUE » (UN LIVRE-GUIDE) Vladimir Babenko
« Après l’accident atomique »
un livre-guide
VLADIMIR BABENKO:
vendredi 22 juin 2012 par Enfants de Tchernobyl-Belarus Le Livre -guide : « Après l’accident atomique » de Vladimir Babenko, Directeur Adjoint de l’Institut de Radioprotection Belrad : Guide de radioprotection traduit en français vient d’être publié en Juin 2012. Il a été présenté au Forum Scientifique et Citoyen sur la Radioprotection organisé par le Collectif IndependentWHO ( Pour l’indépendance de l’Organisation Mondiale de la Santé) à Genève le 12 mai 2012 ( Communiqué final et résumés des interventions sur le site http://www.independentwho.org/fr)
Commandez, si vous le souhaitez : ce livre-guide en référence sur le site de l’association Enfants de Tchernobyl Belarus http://www.enfants-tchernobyl-belarus.org/doku.php?id=boutique-etb
Ce guide de radioprotection a été traduit en japonais au début de l’été 2011 En commandant ce livre en français directement à l’association , 4 euros iront directement à l’Institut de Belrad pour protéger les enfants vivant dans les zones contaminées au Belarus via des cures de pectine de pomme.
voir et /ou revoir les films de Wladimir Tchertkoff et Emanuela Andreoli sur Tchernobyl mis en ligne sur ce même site dont : « Le Sacrifice » primé à différents festivals , « Controverses Nucléaires » ( accord OMS-AIEA), Vassili Nesterenko
REVUE SEPT2013 http://www.youblisher.com/p/713230-Bulletin-ETB-Septembre/
Bien cordialement Véronique Ratel Responsable Groupe de Sens Enfants de Tchernobyl Belarus membre de la coordination du Collectif Independentwho | |
| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mer 13 Nov - 20:32 | |
| http://atomicsarchives.chez.com/tcherno_sous_marin.html
Les "Tchernobyl" sous-marins
http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/0bis.jpg Où vont les sous-marins nucléaires naufraqés ? Au fond de la mer comme leurs semblables à moteur Diesel. Seule différence, dans ces tragédies, c'est que les sous-marins nucléaires relâchent dans le milieu marin une source formidable de radioactivité qui vient s'ajouter à celle des bombes et des missiles perdus, sans parler des fûts radioactifs qu'une douzaine de pays, le Royaume-Uni en tête, ont rejetés à l'eau pendant trente-six ans.
Comment s'en débarrasser ? http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/2.jpeg Des centaines de milliers de fûts contenant des déchets radictacdfs ont été, comme ici au large des côtes normande purement et simplement "balancés" par-dessus bord. Nous ne trahirons pas un secret militaire en révélant que 510 sous-marins nucléaires sillonnent les mers du monde entier. A cette flotte, il faut ajouter 65 navires militaires et 10 bateaux civils à propulsion nucléaire. Ces tout derniers n'ont à leur bord qu'un ou deux réacteurs nucléaires qui servent à leur propulsion, mais les autres, sous-marins compris, transportent généralement des armes nucléaires sous forme de bombes ou de missiles.
Lorsque le navire coule, avec ou sans sa charge, personne n'en parle. Idem lorsqu'une arme est perdue au cours d'une manoeuvre. Les gouvernements nient d'abord les faits, puis, lorsque les preuves s'accumulent, ils finissent par reconnaître, par exemple, qu'un missile "non armé" a bien été tiré. Il n'y a que le grand publie qui soit trompé par ces communiqués lénifiants, car les services secrets du monde entier savent, eux, très exactement ce qui s'est passé.
Dans le lot de sous-marins coulés, il n'est pas exclu que certains aient purement et simplement été envoyés à la casse. Une façon peu coûteuse de se débarrasser d'un matériel périmé ! La marine américaine l'avait fortement envisagé pour une centaine de ses bâtiments qui devaient être démantelés entre 1982 et 20l2.
Pour la première fois, l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA), à Vienne, a tenté de recenser ces accidents. Ce travail, qui aurait été infaisable sans la détente, était destiné à la Conférence internationale sur la pollution marine qui s'est tenue à Londres du 25 au 29 novembre 1991. L'AIEA a retrouvé la trace de 31 accidents, pas moins, dont 16 ne sont d'ailleurs toujours pas reconnus par les pays concernés (voir carte). Mais il y en a peut-être davantage ! Le nombre d'armes nucléaires associées à ces accidents n'est pas toujours connu. On ne sait pas non plus précisément de quelles armes il s'agit. Dans la plupart des cas, ce sont des têtes nucléaires de missiles.
Ce sont les Etats-Unis qui sont responsables de la majorité des pertes (18 sur 31), ce qui semble logique puisqu'ils possèdent le stock d'armes nucléaires le plus important de la planète. Les Soviétiques, moins loquaces encore que les Américains, apparaissent loin derrière: 9 accidents dont 7 de sous-marins.
Mais il n'y a pas que les bateaux. Ainsi, lorsqu'un avion B-52 s'est écrasé, le 21 janvier 1968, sur la banquise non loin de la base de Thulé au Groenland, les quatre bombes qu'il transportait se sont brisées et la matière radioactive, principalement du plutonium, s'est répandue sur 50 km à la ronde contaminant tout le milieu marin. Mais c'est une affaire oubliée.
Parfois c'est un satellite équipé d'un générateur nucléaire qui quitte son orbite et regagne la Terre, c'est-à-dire la plupart du temps la mer puisque la surface des terres émergées est huit fois moindre que celle des océans.
Inutile de dire que ces engins sont rarement récupérés, soit parce qu'on ne les localise pas avec précision, soit parce qu'ils reposent à de trop grandes profondeurs. Les Russes envisagent toutefois de renflouer un de leurs sous-marins, le Komsomolets, abîmé en mer du Nord près de la côte norvégienne, le 7 avril 1989, avec des missiles à bord (voir photos ci-dessous). Le gouvernement norvégien a d'ores et déjà interdit la pêche autour de cette zone, car des inspections ont prouvé que le réacteur fuyait et que la corrosion, plus rapide que prévue, gagnait les têtes nucléaires.
Un sous-marin nucléaire soviétique coulé au large des côtes norvégiennes http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/3.gif
On peut distinguer le pont du sous-marin, ainsi que ce qui ressemble à un silo de lancement (3)
http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/f.jpg
et remarquer que le bâtiment était bien équipé d'ogives nucléaires (4). Une mission de reconnaissance, effectuée par un navire océanographique soviétique pendant les mois de septembre et octobre derniers, a permis de prendre ces photos du Komsomolets (1), perdu le 7 avril 1989. Des analyses. réalisées par l'institut norvégien d'étude de la radioactivité sur des échantillons prélevés à ce moment-là ont montré des taux élevés de radioactivité prouvant la présence de fuites.
Au total, ce sont des millions de milliards de becquerels qui reposent au fond des mers, soit plusieurs fois la dose que la catastrophe de Tchernobyl a injecté dans l'atmosphère. Cette radioactivité accidentelle s'ajoute à celle qu'une poignée d'Etats, Royaume-Uni en tête, ont déversé volontairement, durant 36 ans, dans une cinquantaine de sites, pour se débarrasser de leurs déchets nucléaires prétendus de faible ou moyenne activité.
Les premiers déversements volontaires remontent à 1946, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale; les Américains avaient alors choisi des sites dans le Pacifique non loin des côtes de la Californie. Le dernier a eu lieu en 1982 dans l'Atlantique nord, à un millier de kilomètres environ des côtes françaises. Ce mode de rejet a finalement cessé sous la pression des pays qui s'y opposaient. Car, jusque-là, il était autorisé et réglementé par la Convention pour la prévention de la pollution marine, signée en 1975 et connue sous le nom de Convention de Londres. C'est ainsi que des centaines de milliers de fûts de déchets enrobés dans du bitume ou du ciment, parfois groupés dans des containers, reposent au fond des mers. Il suffit de 10 à 15 ans pour que ces matériaux se désagrègent sous l'effet de l'eau de mer ! Et il est arrivé, dans les tout débuts, qu'on verse directement les déchets sans emballage, en vrac, voire sous forme liquide !
Qui sont exactement les pollueurs ? Douze pays.
Certains, comme l'Italie, l'Allemagne ou la Suède, n'ont failli qu'une seule fois, et n'ont rejeté que de faibles quantités de radioactivité. La France, quant à elle, qui a disposé du Centre de stockage de la Manche, près de la Hague, ne s'est livrée que deux fois à ces déversements, mais les quantités étaient plus importantes (voir schéma ci-dessous). http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/4.jpeg Messieurs les anglais vous êtes les premiers Entre 1946 et 1982, douze pays ont rejeté des déchets radioactifs en mer. Pour le Royaume-Uni, il sagissait d'une pratique courante, puisque ce pays est responsable de plus des trois-quarts des rejets.
Mais le pompon revient de loin au Royaume-Uni qui, à lui seul, est responsable de près de 80 % de la radioactivité rejetée. Nos amis anglais ont en effet déversé quelque 75 000 tonnes de déchets nucléaires dans une quinzaine de sites de l'Atlantique (voir carte). Ils ont même trouvé qu'un site était tout désigné: la mer en face de la Hague. Et par quinze fois, immités deux fois par les Belges, ils y ont déversé leurs déchets entre 65 et 160 m de profondeur. Cette décharge sauvage se situe très exactement par 49° 50' N de latitude et 2° 18' W de longitude, à une trentaine de kilomètres des côtes françaises. Si les crustacés ou les coquillages accusent parfois des taux de radioactivité anormaux autour du Cotentin, fi n'y a pas que l'usine de retraitement de la Hague qui en soit responsable !
Les cimetière marins de l'europe http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/a.jpeg Voici les sites où ont été largués, pendant trente-six ans, fûts et containers remplis de déchets radioactifs. Nous avons, à chaque fois, comptabilisé la radioactivité cumulée pour chaque pays, en gigabecquerels. Ces "décharges sauvages " se sont souvent faites très près des côtés. Par exemple, à 30 km à peine au large de Cherbourg, on trouve le dépotoir radioactif où nos amis anglais et belges se sont "soulagés" de 10 000 tonnes environ de déchets encombrants.
Autour de ces poubelles, on a trouvé du césium et du plutonium à des taux élevés. C'est cela qui a fait interdire ces déversements... tout au moins officiellement: des révélations provenant d'un responsable soviétique indiquent que plusieurs milliers de tonnes de déchets radioactifs civils et militaires - dont le réacteur du Lénine, le premier brise-glace nucléaire - auraient été déversées clandestinement jusqu'à très récemment dans la mer de Kara, au large de la Sibérie.
Par Jacqueline Denis-Lempereur Science & Vie n°892 janvier 1992
La carte mondiale des épaves radioactives http://atomicsarchives.chez.com/scan_tcherno_sous_marin/b.jpeg Des déchets radioactifs ont été volontairement déversés dans une cinquantaine de sites marins répertoriés sur cette carte. Mais c'est surtout l'Atlantique nord qui a servi de poubelle aux Etats.
Nous possédons peu de données sur les accidents en mer impliquant des matières nucléaires, secret militaire oblige. Voici néanmoins la liste de ceux que vient de recenser - pour la première fois - l'AIEA, avec toutes les imprécisions qui subsistent sur les quantités de radioactivité rejetées, la localisation précise et parfois même sur le nom du sous-marin coulé. (retour texte)
1) Mutsu (1er septembre 1974). Fuite de radiations (neutrons), sur ce cargo japonais à propulsion nucléaire, due à des défauts de structure, à 800 km à l'est de Shiriyazaki.
2) Avion américain B-36 (13 février 1950) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de Puget Sound.
3) Avion américain (10 novembre 1950) perdu, avec des armes nucléaires à bord, quelque part sous la mer en dehors des Etats-Unis.
4) Avion américain B-36 (18 mars 1953) perdu, avec des armes nucléaires à bord; au large de Terre-Neuve.
5) Avion américain B-47 (10 mars 1956) perdu, avec deux capsules de matières radioactives, en Méditerranée.
6) Avion américain B-47 (5 mars 1958) équipé d'une arme nucléaire, perdu au large de la Géorgie.
7) Avion de chasse américain F 102 (mi 1960) équipé d'un missile nucléaire, perdu dans la baie de Haiphong,
8) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (4 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.
9) Missile intercontinental américain (ICBM Thor Rocket) (20 juin 1962) tombé en mer près de l'île Johnston, lors d'un tir d'essai.
10) Thresher (10 avril 1963), sous-marin américain SSN-593 coulé à 100 milles à l'est du Cap Cod par 2 590 m de profondeur, et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une radioactivité de l 147 000 giga becquerels.
11) Transit 5 BN-3 (21 avril 1964), satellite américain tombé au nord de Madagascar. Son générateur nucléaire SNAP-9A au plutonium 238 représente une radioactivité de 630 000 gigabecquerels
12) Avion américain (5 décembre 1965) qui, mal calé, est tombé du pont du porte-avions Ticonderoga à la suite d'un coup de roulis et a coulé à 5000 m de profondeur au large du Japon. Il était équipé d'une arme nucléaire.
13) 4 bombes nucléaires (17 janvier 1966) perdues par un avion américain B-52 à 5 milles de Palomares en Espagne, dont une en mer qui a été récupérée par 914 m de fond.
14) 4 armes nucléaires (21 janvier 1968) perdues par un avion B-52 sur la banquise près de Thulé. Une partie seulement du plutonium répandu a été récupérée.
15) Scorpion (entre le 21 et le 27 mai 1968), sous-marin américain SSN-589, perdu à 400 milles (740 km) au sud-ouest des Açores par plus de 3 3 000 m de profondeur et qui a éclaté. Son réacteur nucléaire représente une activité de 1295 000gigabecquerels, 16. Nimbus B-1 (18 mai 1968), satellite américain tombé à 100 m de profondeur, près de Santa-Barbara, avec son générateur nucléaire SNAP-19. A été récupéré.
17) Générateur SNAP-27 (11 avril 1970) contenant 1650 000 gigabecquerels de plutonium 238 et appartenant à un module de la mission Apollo tombé au sud des îles Fidji, par 6 000 m de profondeur.
18) Missile Phoenix (14 septembre 1976) perdu par un avion de chasse américain F-14 et récupéré à 75 milles des côtes écossaises.
19) Missile de croisière américain (25 février 1986), dans la mer de Beaufort.
20) Mont-Louis (5 août 1984), cargo français transportant 30 containers d'hexafluorure d'uranium, entré en collision avec un car-ferry britannique. La cargaison, représentant environ 6 000 millions de becquerels, fut récupérée deux mois plus tard, par 25 m de profondeur.
21. Sous-marin soviétique (11 avril 1968) perdu avec 5 armes nucléaires, à 750 milles au nord-ouest de l'île Oahu (Hawaii)
22) Sous-marin soviétique (1968) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.
23) Sous-marin soviétique (10 janvier 1970) perdu en baie de Naples avec des torpilles nucléaires.
24) Sous-marin soviétique (12 avril 1970) perdu dans le nord-est de l'Atlantique, avec 4 armes nucléaires.
25) Kashin Class (septembre 1974), destroyer soviétique perdu en mer Noire avec des armes nucléaires.
26) Sous-marin soviétique (juin 1983) perdu au large du Kamtchatka, avec 8 armes nucléaires.
27) Cosmos-1402 (7 février 1983), satellite soviétique avec un réacteur nucléaire d'une radioactivité estimée à 1000 000 de gigabecquerels, tombé à 1600 km à l'est des côtes brésiliennes.
28) Sous-marin soviétique (4 octobre 1986) équipé d'armes nucléaires, coulé à 1000 km au nord-est des Bermudes par 5 000 m de fond.
29) Komsomolets (7 avril 1989), sous-marin soviétique avec des armes nucléaires, coulé, à la suite d'un feu à bord, près des côtes norvégiennes, à 180 km au sud-ouest de l'île de Medvezhy, par 1 500 m de fond. Les Soviétiques espèrent le renflouer.
Quant aux deux derniers accidents recensés par l'AIEA, les Britanniques viennent d'affirmer, contrairement à ce qui avait d'abord été annoncé, qu'ils n'avaient pas d'arme nucléaire à bord. Ce sont:
30) HMS Sheffield (10 mai 1982), destroyer britannique coulé par un missile Exocet de la marine argentine, au large des îles Falklands.
31) HMS Resolution (19 mai 1985). Ce sous-marin britannique a perdu un missile Polaris non équipé, d'après les Britannique d'une tête nucléaire, au cours d'un essai ou d'une fausse manoeuvre, au large de la Floride. Doit-on croire les Britanniques?
Dernière édition par AIKI59 le Mer 13 Nov - 21:01, édité 2 fois | |
| | | AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
| Sujet: Re: La contamination massive du Pacifique par Fukushima Mer 13 Nov - 20:56 | |
| 12/02/2009 Mais où sont les déchets radioactifs enfouis discrètement en Loire-Atlantique ? à Presse-Océan, Ouest-France, 20 minutes, Lettre à Lulu, Sun FM, Prun FM, Radio France Bleu Loire Océan, Europe 1, Télénantes, Nantes 7, France 3, AFP Mais où sont les déchets radioactifs enfouis discrètement en Loire-Atlantique ?L'émission "Pièce à conviction" présentée par Elise Lucet ce soir mercredi 11 février 2009 sur France 3 a présenté à plusieurs reprises une carte de France qui semble montrer les sites où seraient enfouis ou réemployés des déchets radioactifs, et notamment des remblais de mines d'uranium, qui auraient servi parfois, selon l'émission, à construire des routes, des parkings, des logements, et même des écoles ou des aires de jeux... Voir : http://programmes.france3.fr/pieces-a-conviction/51415247-fr.php carte-de-france-dechets-radioactifs.1234394436.JPG Or cette carte de France (voir image jointe) montre (outre ce qui semble être le site de l'ancienne mine d'uranium de l'Ecarpière à Gétigné, près de Clisson) plusieurs sites radioactifs agglutinés autour de Nantes ou même à Nantes même (?). D'où une question évidente : Est-ce que vous connaissez à Nantes un écologiste indépendant, un scientifique ou un journaliste qui serait en mesure d'expliquer la nature de cet amas insolite de sites radioactifs autour de Nantes ? Si oui, merci de nous mettre en rapport rapidement, afin de pouvoir rediffuser au public toute information utile, sur les listes internet de "Nantes en luttes", "Interpro" et "Neuf", et à la presse locale le cas échéant. Post-scriptum : Communiqué du 16 janvier 2009, L’Andra s’implique dans la création d’une première chaire industrielle sur les déchets nucléaires, avec son partenaire historique, l’École des Mines de Nantes (EMN). http://213.163.170.46/download/site-principal/document/communque-de-presse/090116_ecole_mines_nantes.pdf | |
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