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 Un regard Tibétain sur le peuple animal

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MessageSujet: Un regard Tibétain sur le peuple animal   Un regard Tibétain sur le peuple animal Icon_minitimeDim 7 Sep - 14:26

Bonjour à tous,

J’ai envie de vous faire partager un regard Tibétain qui m’a touché, sur nos frères animaux, en recopiant de petits extraits du livre de Lama Jigmela Rinpoche (un Tulkou qui est également le frère du 16ième Karmapa) intitulé « A… Comme Bouddha ! » (éd. Amrita). Je ne crois pas qu’il soit encore édité.

« Théoriquement, les animaux ne seraient par conséquent pas en mesure de réaliser la vérité ; mais il existe heureusement des êtres capables de communiquer avec eux, leur transmettant les instructions justes qui permettent de sortir de l’illusion.
Le Bouddha lui-même se manifesta dans leur règne afin de leur donner des enseignements, ainsi que l’ont fait bien des Bodhisattva, comme Saint François dans la tradition chrétienne.
Mais sans être un Bodhisattva, nous pouvons facilement aider les animaux à progresser vers la réalisation. »

« La communication verbale n’est pas la seule qui existe. Je me souviens que le Karmapa possédait un danois, mais il ne pouvait pas l’emmener avec lui au Sikkim ; aussi dut-il le laisser en France avec un eczéma sévère. Qui sait quelles bénédictions avait reçues le chien du Karmapa avant qu’ils ne se séparent, car il demeurait toute la journée assis dans l’herbe, comme un certain lama nommé Phurtséla.
Phurtséla, en fait, avait pour habitude de méditer de cette façon, assis dans l’herbe, et peut-être le chien en faisait-il autant… ou peut-être était-il seulement un peu triste…

Mais pour en revenir à la communication non verbale, ce chien était allergique à une espèce d’herbe, il ne pouvait donc être débarrassé de son eczéma.
Il n’avait pas du tout aimé la piqûre que lui avait administrée le vétérinaire lors de sa première visite, aussi, lors des visites suivantes, à peine quelqu’un pensait-il : « Il faut ramener le chien chez le médecin » que le danois disparaissait et demeurait au loin, jusqu’à ce qu’il lui semble qu’on avait oublié l’affaire.
J’ai dû mettre au point une forme de non-pensée afin de pouvoir l’attraper et l’emmener chez le vétérinaire, sans penser à ce que j’étais en train de faire !
S’il n’y avait eu aucun moyen de communiquer sans paroles avec un animal, ce chien ne se serait certainement pas sauvé en courant à chaque fois que je pensais « vétérinaire » !

On m’a offert, un jour, une femelle berger allemand, encore jeune. Elle était très agressive et avait développé à mon égard un tel attachement qu’elle souffrait terriblement à chaque fois que je partais en voyage. Je me mis à méditer en me tenant près du chien et, peu à peu, il commença à se détendre, à accepter avec équanimité ma présence et mon absence, devenant un animal heureux et aimable. Elle avait perçu ce que je voulais partager avec elle : tout cela ne nécessita pas la moindre parole.

Il existe en réalité une autre façon de communiquer avec les animaux, le mode de l’intuition directe : ils peuvent « goûter » directement la qualité de notre réalisation. Souvent, les yogis Indiens vivent retirés, fraternisant avec les animaux sauvages et dangereux de la forêt. Ceux-ci s’apaisent à force de voisiner avec des Yogis, lesquels n’exercent aucune forme de dressage. Ce sont les animaux qui cherchent leur compagnie.
Le 16ième Karmapa avait cette particularité et les animaux l’approchaient spontanément, ou bien les gens les lui amenaient. Près de Rumtek, au Sikkim où vivait le Karmapa, il est une grande forêt peuplée de nombreux animaux. Il arrivait souvent que ceux-ci se rendent auprès du Karmapa avant de mourir afin qu’il puisse les aider.

Comme vous le savez, nous autres Tibétains poursuivons toute la vie une pratique spéciale dans le but de pouvoir être conscients au moment du trépas, car nous pensons que c’est au moment de notre mort qu’il est le plus facile de nous libérer de l’illusion du Samsara (c'est-à-dire du monde conditionné) : à peine l’esprit se libère-t-il du corps que, se trouvant moins conditionné, il peut réaliser plus vite sa propre nature.
Celui qui a bien pratiqué durant sa vie peut demeurer plusieurs jours dans la posture du lotus, cliniquement mort mais sans présenter de rigidité cadavérique, avec un esprit bien présent, entièrement conscient mais plus conditionné par les sens, après l’arrêt de toutes les fonctions corporelles.
Cela signifie que l’esprit ne sera pas emprisonné dans le Bardo, cet état hallucinatoire entre mort et renaissance.
En fait il y a, au moment du trépas, comme un black-out de l’esprit, dont le réveil s’opère ensuite dans le Bardo.
Dans un tel état, les hallucinations dépendent du karma passé, des habitudes cultivées durant la vie. La qualité de notre renaissance sera fonction du degré de conscience que nous aurons face à ces hallucinations ».

« L’état de méditation durant et après la mort est appelé Samadhi et signifie que l’on peut passer d’une existence à l’autre – positive – sans traverser l’état du Bardo. Dans l’état du Bardo, il s’écoule un certain temps avant que l’on comprenne que l’on est mort ; on y éprouve seulement le sentiment d’une grande perte qui provoque l’inquiétude, ce qui fait que l’on tourne en rond pendant un certain temps à la recherche de ce qui nous manque ».

« Le Samadhi est le résultat d’instructions déterminées reçues par les pratiquants surtout durant leur vie. Il se caractérise physiquement par quelques points qui demeurent tièdes dans le corps, en particulier le chakra du cœur et deux points sur le cou, juste sous les oreilles. Ceci (du moins pour ce qui est du chakra du cœur) se produisait même chez les chats et les chiens qui venaient mourir près du Karmapa : après le trépas, au lieu de s’affaisser, leur corps demeurait dans ce qui correspond probablement à leur posture de méditation, c'est-à-dire celle du Sphinx.
Ils pouvaient demeurer ainsi de 12 heures à 3 jours, et la même chose se produisait pour les oiseaux que, cependant, le Karmapa couchait dans un verre, alors qu’ils étaient encore mourants, de façon à les maintenir dans leur position « assise ». Ce n’est que lorsque la phase de méditation post-mortem était terminée que la tête de l’oiseau retombait vers le bas ».

« Le 13ième Karmapa avait lui aussi un rapport merveilleux avec les animaux : il passait de longues périodes de retraite en compagnie d’un chat, d’un lapin et d’un oiseau. Il laissa, à travers la façon dont il les éduqua, un enseignement précieux pour notre propre éducation. Il n’était pas fou. Simplement, il savait que les animaux peuvent évoluer spirituellement, et il avait trouvé la façon appropriée de communiquer avec eux. Il était à même de comprendre quelles étaient les émotions qui les troublaient et de les aider à les transformer. Tout ceci se produisait au sein d’un profond contact mental, au-delà des mots.
Mais il n’est pas nécessaire d’être le Karmapa : lorsqu’il y a des animaux chez nous, nous pourrions avant tout leur apprendre à vivre sans conflits avec les être humains ; néanmoins, il faut être conscient du fait qu’ils s’imprègnent littéralement de nos comportements et que nous pouvons aussi polluer leur conscience.
Nous devrions prendre conscience de notre responsabilité face à ce qu’ils peuvent devenir.
Eduquer un chien ou un chat pour l’aider à évoluer est bien, mais il reste encore à comprendre une chose : il faut lui laisser le temps d’apprendre et de progresser.

Par lui même, le dressage d’un animal se résume à forcer les étapes de l’évolution : c’est un rythme donné, à soutenir, et l’on ne prend pas en considération le caractère de l’animal. Laissons-les être ce qu’ils sont, et s’ils ont besoin de 3 ans pour achever leur éducation, c’est égal.

Je me rappelle de 2 petits chiens Tibétains qui aboyaient toujours pendant les enseignements : le traducteur ne parvenait même pas à entendre le Lama, et les élèves supportaient mal les chiens.
Il eut été facile de les dresser à ne pas entrer dans le temple, mais on remplaça ce dressage par une bonne mesure de patience et une attitude éducative ; si bien que, maintenant, les 2 chiens sont parvenus à une meilleure compréhension, une plus grande intelligence, et ont appris à ne pas déranger.

Une fois, en Suisse, le Dalaï-Lama donnait une initiation à près de 400 personnes sous une grande tente : à cette époque les Occidentaux n’étaient pas aussi habitués aux Tibétains, et, conditionnés qu’ils étaient au fait que les chiens ne pouvaient entrer dans les églises, ils éprouvèrent de la curiosité, voire une certaine crainte concernant l’éventuelle réaction du Dalaï-Lama lorsqu’ils virent entrer un chien. Aussi une autre surprise attendait nombre d’entre eux : le chien se dirigea directement vers Sa Sainteté qui, tout simplement, interrompit l’enseignement, glissa une main dans sa robe monacale et en tira un morceau de pain qu’il offrit à l’animal. Puis il reprit l’enseignement.

Nous devrions remodeler depuis le début nos relations avec les animaux : les aimer sans possessivité, mais aussi cesser de croire qu’un chien bien dressé donne à autrui une impression favorable de son maître.
Lorsqu’un animal se montre coléreux et d’un tempérament agressif, nous pouvons lui enseigner le calme : selon la façon dont nous vivons avec eux, nous pouvons parvenir à faire que se résolvent toutes les tensions, et c’est là le Service que nous pouvons rendre aux animaux.
Quand un animal est tranquille, nous ne devrions pas aller le déranger pour notre plaisir (note personnelle, - c’est curieux, il me semble me souvenir d’un ami Musulman citer une chose semblable extraite du Coran), faute de quoi, nous serions responsables des émotions que nous lui causerions.
Rappelez-vous toujours que les émotions créent le Karma.

On pourrait arguer que, de toute façon, les animaux sont naturellement agressifs ; que les fauves mangent d’autres animaux, et ainsi de suite ; mais leur violence est différente de la nôtre, parce qu’ils ne sont en quête que de nourriture.

Le Bouddha a dit que la souffrance propre au règne animal réside justement dans le fait qu’ils doivent se manger les uns les autres.

J’avais un chat domestique qui capturait des souris alors qu’il était abondamment nourri. La nourriture que je lui donnais ne suffisait pas, évidemment, à le faire cesser, parce qu’il avait besoin de la garantie que la nourriture lui parviendrait toujours. Il lui fallait être certain que je continuerais à m’occuper de lui.

Les animaux nous enseignent aussi quelque chose sur notre propre compte ; il suffit d’observer nos comportements !
Au début, c’est notre chien, une extension de nous-mêmes, quelque chose dont nous prenons soin et que nous nourrissons, mais avec un désir d’annexion, comme pour une belle voiture ou pour un amour exclusif qui nous serait uniquement réservé.

Puis, peu à peu, nous commençons à chercher ce qui serait bon pour notre chien, et c’est cela qui fait éclore en nous cette attitude de Service.
Nous passons d’un amour conditionnel à l’Amour inconditionnel, à la vraie compassion, où l’unique satisfaction réside dans le fait d’aider les autres.
Et cette satisfaction peut être découverte d’autant plus facilement avec les animaux, qu’ils demandent beaucoup moins que les êtres humains.
Cette opportunité qu’ils nous offrent est leur enseignement principal, dans la relation que nous avons avec eux.

On ne devrait pas utiliser un animal pour son plaisir : une fois, le 16ième Karmapa donna un enseignement alors qu’il voyait un singe dressé, obligé de s’exhiber dans la rue pour amuser les gens. Il dit que lorsqu’on contraint ainsi un animal, l’animal souffre et, comme il ne peut supporter cette souffrance, il développe une grande colère contre les hommes.
D’ordinaire, les émotions des animaux sont seulement passagères et moins négatives que celles que connaissent les humains, mais dans un tel cas, la colère ne disparaît pas et s’accumule dans l’esprit du singe pour se manifester ensuite dans l’état du Bardo, si bien que son esprit aura tendance à s’incarner dans un règne inférieur à celui des animaux, parmi des êtres dont l’émotion fondamentale est la colère.
Un tel règne existe, c’est l’un des 6 règnes dont le Bouddha a parlé. C’est le règne des esprits « avides ».
Ceci est l’exemple d’une souffrance vraiment inutile et de ce qui en découle. Nous pouvons l’appliquer aux cirques, mais aussi à nous-mêmes lorsque nous dérangeons un animal sans nécessité, ou que nous le surchargeons pour l’exploiter dans les transports.

Si possible, nous ne devrions pas les manger.

Il est vrai que les Tibétains sont carnivores, mais en fait ils sont conditionnés par leur culture (dans laquelle, de toute façon, on préfère tuer un seul Yack qui nourrira une famille entière, plutôt que plusieurs poissons qui ne nourriront qu’un seul homme), et par la culture Occidentale dans laquelle les gens mangent n’importe quel type de viande sans avoir conscience de ce qu’ils font.
Les Indiens Américains aussi avaient l’habitude de manger des animaux mais, comme ils étaient à même d’établir avec ceux-ci une communication non verbale, ils avaient pour habitude d’en demander la permission avant de le faire.

Il y avait, au Tibet, un boucher qui avait pour tâche de tuer les chèvres pour la communauté entière. Mais un jour, alors qu’il avait laissé traîner un de ses couteaux, il vit une chèvre qui cherchait à le cacher en le recouvrant de terre.
A cet instant précis, il comprit que cette chèvre était un être conscient.
Aussi abandonna-t-il son métier, s’en fut se retirer et devint un grand yogi.

On ne devrait pas utiliser les animaux pour notre profit : si l’intention de la science médicale est bonne quand elle veut éliminer la souffrance de l’humanité, la façon dont elle se sert des animaux dans les laboratoires n’est ni correcte, ni nécessaire. On ne saurait espérer éliminer la souffrance en créant une autre souffrance ; tout comme on ne saurait éliminer la violence en usant de violence ».

De la même façon que le Bouddha lui-même enseigna le Dharma dans tous les règnes, un bodhisattva peut renaître sous une forme animale afin de favoriser l’évolution dans ce règne.
Il n’existe aucun moyen particulier de savoir si un animal est un Bodhisattva réincarné, mais il est vrai que, de temps en temps, il arrive à chacun de rencontrer des animaux spéciaux.

Par exemple, les canaris du 16ième Karmapa. A Rumtek, tout le monde savait qu’ils prendraient soin des petits oiseaux tombés du nid dans la forêt, de quelque espèce qu’ils fussent.
Une fois touchés par une personne qui aurait tenté de les remettre au nid, la mère ne s’en serait plus occupée. Aussi, les gens avaient-ils coutume de porter les oisillons au monastère, sachant que les canaris allaient les élever.

Ceux d’entre vous qui ont un chien généreux, tranquille, gentil, sont déjà -je crois- en train de penser qu’il doit s’agir d’un Bodhisattva…
Mais rappelez-vous que les animaux imitent toujours le comportement des humains, et que si votre chien est bon, calme et généreux, peut-être est-ce seulement parce que vous l’êtes aussi ! ».
Fin de l'extrait.
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MessageSujet: Re: Un regard Tibétain sur le peuple animal   Un regard Tibétain sur le peuple animal Icon_minitimeLun 27 Avr - 16:22

un bel enseignement de jigmelà !!un certain lama dont j'ai oublié le nom faisait rentrer dans son temple toute s sortent d'animaux auxquels il donnait les enseignements du bouddha au meme titre que ses moines ...
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