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 Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret

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Régis
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Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Empty
MessageSujet: Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret   Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Icon_minitimeLun 1 Avr - 6:15

Technologie du Programme Spatial Secret

29 janvier 2019



Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Jason111



Bonjour à tous, ici Jay Weidner. Nous sommes de retour avec Jason Rice pour continuer à parler de ses aventures palpitantes dans le Programme spatial Secret (PSS). Bonjour Jason.

Jason Rice : Bonjour Jay. Merci de me recevoir.

Jay : C’est un plaisir. J’aimerais continuer ce qu’on a commencé, en entrant dans les détails quant aux navettes ou vaisseaux.

Jason : Bien sûr.

Jay : Parlons des types des vaisseaux où vous étiez. Sur combien de types de vaisseaux êtes-vous allé ?

Jason : Ils utilisaient toute une série de types différents de vaisseaux. En général, le type de vaisseaux  sur lequel on embarquait dépendait de la mission. Si on passe d’un vaisseau interplanétaire à un autre, on utilisera un certain type de navette. Si on faisait un atterrissage de combat sur une surface planétaire ou lunaire, c’était une navette différente.

Si on avait besoin d’un véhicule d’appui direct, c’était une navette de combat différente. Pour une série de missions où je devais récupérer des troupes qui étaient attaquées ou devaient être évacuées, c’était une navette différente.

Ils utilisaient des avions conventionnels pour certaines missions. À nouveau, à cause du blocage technologique, certaines plateformes aéronautiques étaient plus appropriées, pour ce qu’ils nous permettaient de faire, même si une grande partie de l’appui aérien qu’on recevait était naval au départ.

Jay :  Était-ce un avion conventionnel, genre jet et B-52 ?

Jason : Quelque chose de similaire à l’hélicoptère d’attaque Apache H-64. Ça serait l’exemple le plus parlant. Mais souvent, on utilisait nos navettes de combat qui étaient à anti-gravité.

Jay : Invisibles ?

Jason : Parfois, si on avait besoin qu’elles le soient. Elle avaient les systèmes à bord et les moyens de le faire.

Cependant, les ennemis qu’on combattait ne semblaient pas dupes de toutes les technologies d’invisibilité qu’on utilisait. Je soupçonne que c’est dû au fait que la plupart des technologies était diffusée à l’autre côté et programmée dans leurs algorithmes.

Jay : Avez-vous vu des ennemis utiliser la technologie d’invisibilité ?

Jason : Non.

Jay : Vraiment ?

Jason : Non, pas du tout.

Jay : Vous ont-ils vu l’utiliser ?

Jason : Ils nous ont vu l’utiliser. À nouveau, plus de deux semblait être le nombre magique. Et dès qu’on dépassait ce nombre, ils nous détectaient. Comme un aimant.

Jay : J’allais dire ces loups-garous, pouvaient-ils voir un peu mieux ?

Jason : J’ai soupçonné qu’il y avait différentes longueurs d’onde qu’ils pouvaient détecter.

Et à nouveau, on en revient au fait qu’on réclamait plus de renseignements sur ce dont-ils étaient capables.

On a collecté et empaqueté des milliers de tonnes de matériel biologique et on n’a pas eu beaucoup en retour au niveau : « Qu’est-ce que ça nous dit sur leurs capacités ? »

Au départ, on pensait : « Bon sang, les gradés n’en ont rien à faire. » Puis, au fil du temps, sur la deuxième planète, avec l’augmentation des pertes et de l’expérience au combat, on a réalisé qu’ils en réclamaient aussi, mais n’obtenaient rien.

Jay : Bien sûr.

Jason : Donc, ce n’était pas qu’ils nous les cachaient. Ils n’en avaient pas eux-mêmes  pour nous les donner et qu’on les utilise.

Jay : Les navettes, elles étaient plus comme nos navettes spatiales ?

Jason : Celles que j’ai vues, je crois en avoir déjà parlé, étaient une combinaison de navette et de bombardier furtif B-2. C’était un type.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Navett10


Un autre type ressemblait plus à une navette rectangulaire, comme une boîte. Car elle ne devait pas être aérodynamique, dons sa forme importait peu.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Navett11


Donc, en fait, souvent, c’étaient des tanks volants, car elles étaient si blindées et avaient une telle force de tir. Sans projectiles, le plus souvent. Ils avaient des lasers, des armes à énergie cinétique ou gravitoniques, ou toute autre plateforme d’armes.

Jay : Ce sont de plus petits vaisseaux armés ?  

Jason : Oui, de plus petits vaisseaux.  Très rapides. Il y en avait des encore plus petits qui avaient la taille d’un pick-up pour le transport des chargements ou d’autres choses dont on avait besoin de l’autre côté de la base ou pour des approvisionnements.

Jay : De nombreux types pour des finalités différentes.

Jason : De très nombreux types.  On en avait des plus grands, ceux en forme d’aile, qui étaient interstellaires et faisaient au moins 800 mètres de long. Ils étaient énormes.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Vaisse12


On pouvait arriver par en dessous. Et les images s’affichaient sur notre siège, on pouvait voir l’approche. Les navettes où on était n’avaient pas de fenêtres.  Mais grâce à la vidéo, aux caméras à l’extérieur, on pouvait voir comment les vaisseaux étaient. La plupart de ceux dont je me rappelle dans l’espace étaient gris très foncé ou noirs. Généralement, ils avaient une surface très lisse, ce qui serait indicatif d’un besoin d’entrer dans l’atmosphère. Mais je n’ai jamais vu ce si grand vaisseau entrer dans une atmosphère. Mais il devait pouvoir le faire.

Jay : Sont-ils similaires au TR-3, cette arme militaire gigantesque en forme d’aile ?


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Tr-38_10


Jason : Ils ont plus une forme de pointe de flèche et sont moins triangulaires que les TR-3.

Jay : Il va de système solaire en système solaire ?

Jason : Exact.

Jay : Avez-vous voyagé dans un vaisseau pour aller sur ces autres planètes ?

Jason : Oui, tout à fait.  Les vaisseaux sur lesquels mon unité était déployée pour les déploiements de combats étaient de forme allongée, car ils étaient plus grands et avaient assez de place pour des milliers de soldats d’infanterie et tout leur équipement, leur matériel et tout ce dont on avait besoin.

Jay : Et de petits vaisseaux voyagent avec le vaisseau mère ?

Jason : Des douzaines, si ce n’est des centaines. Oui, comme élément de la flotte, chaque transporteur, ces grands vaisseaux sur lesquels on stationnait, était considéré comme le combattant principal, si vous voulez. Mais il y avait des douzaines, voire des centaines, de petits vaisseaux faisant partie de chaque flotte, dont la taille allait du destroyer au croiseur. La Navy avait besoin d’une grande variété de vaisseaux pour différentes missions pour pouvoir réaliser ses objectifs principaux, qui étaient de placer des soldats sur la surface d’exoplanètes, puis de protéger leur ciel et l’espace autour de ces planètes. Ils avaient donc besoin d’un grand éventail de vaisseaux  pour accomplir cette mission.

Jay : Le vaisseau en forme de cigare avait-il des fenêtres ?

Jason : Pas que je me souvienne.

Jay : L’espace profond est rempli de rayons cosmiques incroyablement dangereux.  Savez-vous comment ils ont atténué ce danger ?

Jason : Je me souviens, bien qu’il n’y avait pas de fenêtres, qu’il y avait des ouvertures avec des champs au-dessus d’elles. Et dans ce cas, on pouvait voir l’extérieur à travers. Certains des champs de force qu’on utilisait au sol étaient utilisés sur les vaisseaux pour se maintenir dans l’atmosphère et pour empêcher des trucs d’entrer.

Et pour revenir à votre question sur les rayons X ou des rayons spatiaux dangereux, ou toute autre chose mortelle venant de l’espace, la paroi des vaisseaux sur lesquels j’étais faisait un mètre d’épaisseur. Je veux dire que ce n’était pas tout fin, comme ce qu’on voit sur un vaisseau spatial conventionnel. Les vaisseaux conventionnels ont une couche isolante très légère, alvéolaire compressée. Et ils contiennent de l’aluminium ou un autre métal. Et ils ont une surface pressurisée. Mais en règle générale, on pouvait faire passer un rond de lumière à travers à tout moment.

Le vaisseau sur lequel on était, comprenait sûrement une couche d’eau et de nombreuses couches d’acier et de matériaux avancés pour aider à protéger ses occupants.

Jay :  Quel est l’outil technologique le plus étrange que vous ayez vu ?

Jason : Le plus étrange et le plus simple était les capsules d’insertion individuelle.

Jay : Qu’est-ce que c’est ?

Jason : Parfois, on devait utiliser des navettes pour nous transférer du vaisseau à la surface de la planète. Il y a eu des occasions où on pouvait le faire. S’il avait fallu, on aurait pu faire des insertions orbitales. Et en fait, ils ont une capsule individuelle qui est blindée à l’extérieur pour la protéger lors des rentrées dans l’atmosphère. Et en gros, ils nous mettent en orbite et nous descendent là où on doit atterrir.

Vous êtes donc en tenue de combat. Elle est réfrigérée dedans. Et on a quand même chaud. Mais vous faites les procédures de rentrée individuellement…

Jay : Un instant ! Vous dites que vous entrez dans l’atmosphère d’une planète individuellement, comme soldat ?

Jason : Oui, individuellement.

Jay : Vous avez une exocombinaison pour vous protéger ?

Jason : On porte une tenue de combat. Et on est dans une capsule, une capsule de rentrée.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Capsul10


Elle est blindée et elle est réfrigérée, car il fait encore chaud. On rentre donc dans l’atmosphère et elle a un seul générateur anti-gravité qui la ralentit, réduisant ainsi l’inertie.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Capsul11


Et au moment de toucher le sol, on le heurte bien. Violemment, mais pas assez pour en mourir. Juste assez pour survivre. La tenue absorbe une grande partie de l’impact. Ah, c’est mouvementé, quoi ! Et la première fois est la plus dure. Mais après ça, c’est comme une voiture à toute allure sur une route cabossée.

Jay : Quelle sensation, non ?

Jason : Oh oui. Et beaucoup éteignent leurs capteurs vidéo. Il y avait un court black out, où ça ne marchait pas. Mais beaucoup de gars les éteignent entièrement jusqu’au sol.

Jay : Vous tentiez de faire un truc rapidement, non ?

Jason : C’est souvent une question de rapidité, arriver rapidement. S’il y a d’autres navettes qui requièrent une diversion pour descendre les troupes au sol, alors on utilise une navette pour des raisons tactiques ailleurs. Puis on était déposés et injectés.

Jay : Ça a dû être un moment mouvementé.

Jason : Oui, très mouvementé. On n’en a pas fait beaucoup. En fait, la seule fois où j’ai fait des insertions orbitales était lors d’entraînements, de re-certification, pour s’assurer qu’on est à jour. Donc on le fait.

Jay : Mais jamais lors d’un combat ?

Jason : Non, jamais, heureusement.

Jay : Quelles autres technologies bizarres avez-vous vues ?

Jason : Il y avait le système de miroirs magnétiques catalyseurs, qui est un type de blindage qu’on utilisait. Et c’est une des technologies dont j’ai trouvé des preuves ailleurs, et qui est un blindage qui renvoie tous les projectiles qui le visent ou l’atteignent. Ils sont renvoyés sur la même trajectoire et à la vitesse à laquelle ils avaient touché ce système de miroirs magnétiques. En gros, il le retourne et le renvoie.

Jay : Donc, si je tire sur ce truc avec une arme de gros calibre, elle se retourne contre moi ?

Jason : Oui. Il le retourne et le renvoie sur la trajectoire sur laquelle il a été tiré. Si vous bougez, il passe à côté. Mais si vous ne bougez pas, il vous touche.

Jay : Quelle arme ?

Jason : Un sacré système, oui. Défensif et très efficace. Encore un système qu’on n’était pas autorisés à utiliser. Ils ne voulaient pas qu’on utilise certains des joujoux les plus intéressants, car ils avaient peur des progrès ou des fuites technologiques.

Jay : Oh, ils craignaient que vous découvriez comment ce truc marchait ? Vous ne pouviez pas le savoir ?

Jason : Non, ils ne voulaient pas qu’on utilise les boucliers de grande envergure qu’on pouvait mettre en place.  On était en mesure de mettre des boucliers en place pour défendre toute une base. Pouvait-on les utiliser ? Non.

Jay : Ça serait la défense ultime.

Jason : Tout à fait. Il y avait d’autres systèmes de blindages défensif qu’on utilisait. À nouveau, la plupart venaient de la Navy, selon leurs besoins. Puis, avec le temps et le darwinisme de combat, ils ont été adaptés au combat de sol.

Jay : D’autres souvenirs ?

Jason : Il y a cet autre système de tenue de combat. Bon, en gros, c’étaient des tanks qui marchaient.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Tanks_10


Une autre référence est-ce droïde, dont vous avez peut-être entendu parler qui est comme un énorme tank lourdement mécanisé, disons, qu’une personne revêt, sauf que c’est un système énorme ayant la possibilité de tirer de l’artillerie lourde.

Jay : Un peu comme ces trucs dans Avatar ?

Jason : Dans le genre, oui. Sauf que c’est une pièce d’artillerie qui marche. On l’utilise pour les obus de mortier ou des tirs d’artillerie lors de combats intensifs.

Jay : Elle peut encaisser un tir ?

Jason : Oui, et aussi transporter toutes les munitions, et c’est la principale raison pour laquelle est elle si grande et lourde.

Jay : Elle augmente la force d’un homme pour qu’il transporte des objets et des armes plus lourds, et coûte plus vite ?

Jason : Elles vont aussi vite que les autres troupes de combat. Elles étaient ralenties par la taille de ces unités. C’est une des limitations. Elles ne peuvent aller à 160 km à l’heure comme d’autres tenues de combat. Mais elles peuvent aller à 110-130 km à l’heure.

Jay : Certaines permettent à l’homme de courir à 160 km à l’heure ?

Jason : Ou de faire un bon de 90 mètres.

Jay : Donc, ce vaisseau en forme de cigare, se met-il en orbite, et vous en prenez des petits pour aller à la surface ?

Jason : Tout à fait. Il se mettait en orbite stationnaire autour de la planète. Et de ce vaisseau, on était répartis dans des navettes ou dans d’autres vaisseaux interplanétaires plus petits, ou on prenait des navettes d’un vaisseau à ce vaisseau, ça allait dans les deux sens.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Vaisse13


Jay : Ce vaisseau allongé, savez-vous avec quel type de propulsion il se déplaçait dans l’espace ?

Jason : On n’avait pas accès aux salles des machines sur les grands vaisseaux de la Navy. On n’était pas habilités pour ces informations. Toutefois, je soupçonne que c’était un système de type gravimétrique qui ne se base pas sur un puits gravitationnel pour fonctionner. Il existe d’autres systèmes de propulsion qui se basent sur la mécanique quantique, l’inclinaison et la forme du tissu espace-temps sous-jacent, qui s’y accrochent, y bougent, glissent tout le long.

Je ne sais donc pas spécifiquement quel type de système de propulsion on a utilisé pour ces vaisseaux plus grands. Je peux dire simplement que je sens et soupçonne que c’était une sorte d’appareil à gravité ou anti-gravité.

Jay :  Le voyage pour aller disons, de Mars à Planète Un, combien de temps dure-t-il ?

Jason : Excellente question, Jay. Et je dis cela parce qu’ils donnent délibérément de fausses informations sur la durée du voyage entre les planètes. J’ai découvert cela après quelques voyages.  Quand j’ai réalisé qu’un voyage en particulier avait duré moins de temps que précédemment sur le même vaisseau, je me suis rendu compte que les durées étaient plus courtes que ce qu’ils disaient. On était à bord du vaisseau et ils nous disaient : « Bon, ça prendra deux semaines. » Le plan est d’être enfermés là pendant deux semaines. Mais ça prenait que quelques jours pour faire le voyage. Ils ne voulaient pas qu’on sache les distances parcourues, combien de temps ça avait vraiment duré, le moyen de voyager ou d’aller d’un endroit à l’autre, que ce soit par un portail ou non. Ils diffusaient donc de la désinformation spécifiquement pour nous déstabiliser et qu’on ne sache pas combien de temps on a mis pour aller sur l’autre planète. Ça pouvait être quelques minutes, auquel cas on était passés par un portail ; ou ça pouvait être des jours, où ils avaient traversé différentes régions de l’espace, avant d’arriver à un portail, ; ou des semaines, auquel cas ils avaient utilisé une sorte de transport PRL, plus rapide que la lumière.

Jay : Les petits vaisseaux à bord desquels vous étiez parfois, les navettes, combien d’hommes comprenaient-elles ?

Jason : On utilisait une série de différentes navettes de transport. Celle, par exemple, pour mon voyage à la conférence, était une navette de marchandises qui avait été transformée pour le transport du personnel. Le tiers avant avait été modifié et avait des sièges et des allées, comme dans un avion conventionnel aujourd'hui, un avion commercial. Les deux tiers restants formaient un espace ouvert pour la cargaison, un grand espace ouvert.  Ces images qu’on voit des grands Lockheed C-5 Galaxy avec leur vaste intérieur, ça y ressemblait beaucoup.


Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret Lockhe10


Jay : Et ce sont les plus petites navettes ?

Jason : Non, les plus grandes.

Jay : Et les plus petites ?

Jason : L’intérieur des plus petites est renforcé par des cadres, comme des côtes, et par des colonnes, des poutres en acier, si vous voulez, qui définissent les cadres de la navette. Elles pouvaient aller de la taille d’un bus à celle d’un camion et jusqu’au jumbo jet, il y a un grand nombre de tailles.  

Le nombre de personnes qu’ils accueillaient dépendait de leur taille. Je me souviens d’une navette  lors d’une mission où on allait récupérer une cellule électrique de cette ville qui avait été grandement détruite après la guerre.  Et on était 12 dans cette navette. Je me souviens que nos équipements étaient partout. Il n’y avait pas de vrais fauteuils. On s’est tous assis sur le pont pendant le voyage.  Et cette navette avait la taille, plus ou moins, d’un bus scolaire. On était confortablement installés dedans.

D’autres fois, j’étais dans une navette qui avait la taille d’une fourgonnette, et transportait une cargaison. Et une autre fois, j’étais dans une navette de combat de la taille d’un petit avion commercial. Elle avait une porte qui s’ouvrait sur le pont arrière. Il y avait une arme au milieu du pont, en plus de tout l’armement à l’extérieur.

Jay : La navette pouvait-elle manœuvrer dans des endroits étroits ?

Jason : Tout à fait. Elles fonctionnaient toutes à l’anti-gravité, au moins celles où je suis monté. Elles pouvaient atterrir sur un centimètre carré, s’il le fallait. Elles pouvaient voler transversalement, monter, descendre, aller à gauche, à droite, vite, en avant, en arrière, au choix. Le plus souvent, les pilotes les maintenaient pour nous, à une vitesse ne provoquant pas de nausées lors des changements de direction. Car même si l’inertie est annulée dans la navette, visuellement, c’est toujours troublant pour les gens qui ne sont pas habitués aux tournants à angle droit et aux changements de direction.

Jay : Vous êtes dans une sorte de bulle qui arrête l’inertie, et vous pouvez faire un virage serré à 500 km à l’heure et rien n’arrive à l’intérieur ?

Jason : Exact. On va plus vite.

Jay : D’accord. Cette bulle voyage avec le vaisseau et le protège ?

Jason : Oui, ça fait partie du système inertiel de vidange du système de propulsion, une conséquence indirecte, si vous voulez.

Jay : Une sacrée conséquence.

Jason : Oui, fantastique, même. Y aurait-il un plan, là ?

Jay : Et je suppose que les ovnis qu’on a vus ici sur Terre doivent avoir le même type de bulle autour d’eux, à cause des virages serrés à droite et à gauche, et des soudaines accélérations qu’on voit.

Jason : Oui, rien de vivant qu’on connaît ne survivrait aux 300 G d’un virage à 90 degrés à droite.

Jay : Non, leur ADN aurait été déchiqueté.

Jason : C’est ça.

Jay : Un passant pourrait-il voir la bulle ?

Jason : Non, elle est invisible. C’est un champ énergétique invisible qui est projeté juste au-delà du bord le plus éloigné de la navette physique. Et cette géométrie se fonde sur l’emplacement des nacelles anti-gravité., ou les moteurs anti-gravité, si vous préférez.  Sa géométrie peut donc être modifiée en fonction de l’endroit où ils doivent être.  S’ils ont besoin, dans certaines situations, que ces navettes aient des nacelles à armement sur le côté, alors ils placeront ces moteurs ou ces groupes énergétiques à un endroit où la bulle est comprise en dehors des limites de ces nacelles d’armement.

Jay : Et faut-il désactiver la bulle pour tirer ?

Jason : Non, les armes qu’on utilisait étaient des armes à énergie cinétique. Sans projectiles, donc.

Jay : Comment contrôlait-on ces vaisseaux ? Y avait-il ce lien mental comme avec les combinaisons ou était-ce physique ?

Jason : Les petits, utilisés pour déplacer des équipements et matériaux d’un côté de l’aéroport ou de la base à l’autre, étaient contrôlés manuellement. C’étaient des chariots élévateurs, disons. Mais pour les plus grandes navettes, les pilotes de la Navy utilisaient aussi des interfaces neurales. À un moment, j’ai pu relever le mitrailleur dans une opération en navette. Le casque que je portais était relié au système  de communication du pilote. Je pouvais communiquer avec le pilote et entendre ce qu’il faisait et comment ils le faisait. Pendant mon service dans l’armée, je n’ai pas vécu la même expérience, celle d’entendre les pilotes parler à leurs engins.

Jay : Ils ne devaient pas parler.

Jason : Exactement.

Jay : Car ils avaient cette région du cerveau  pour communiquer avec le vaisseau.

Jason : Correct. Oui, ils avaient une interface neurale directe. Je n’y ai entendu que ce qu’il m’était permis d’entendre, rien de plus.

Jay : Et ce doit être discret, ce moyen de communication télépathique qui ne peut être surveillé.

Jason : Tout à fait. Et ils peuvent recevoir et donner des ordres que d’autres pourraient ne pas aimer et les garder loin des réseaux ouverts.

Jay : Y avait-il un tableau de contrôle permettant cette interface neurale ?

Jason : L’interface neurale qu’ils avaient pour leurs navettes ou vaisseaux respectifs… l’interface bidirectionnelle qu’ils devaient avoir indiquait sûrement des comptes-rendus des statuts, des dégâts, l’inventaire des munitions, les niveaux de carburant, ce genre de choses, des rapports pour le pilote : « Le carburant en est là, on en est là avec les munitions », ce genre de statistiques et rapports.

Jay : Arrivent-ils dans le cerveau ou sur un écran quelque part ?

Jason : Les pilotes peuvent configurer cela. Ils ont leurs propres POP requises, mais peuvent le configurer comme ils préfèrent. S’ils veulent que le vaisseau les informe chaque fois qu’ils utilisent un armement ou un gramme de carburant, ils peuvent le configurer qour qu’il les avertisse et les informe.

Jay : Et le tableau de contrôle ?

Jason : Les tableaux de contrôle que j’ai vus étaient tous très futuristes. De ce qu’on voyait, sans être relié à l’interface neurale, les pilotes voient beaucoup d’hologrammes qu’on ne voit pas sinon. Il y a des points de placement qui marquent et identifient différents affichages ou différentes indications. Mais quand on le voit sans l’interface, ça ressemble à une petite bosse en aluminium, une de chaque côté, ça ressemble à toute une série de bosses. Il y a du verre à certains endroits. Il y a des panneaux de verre qu’ils touchent et utilisent comme commandes.

Mais une fois qu’ils ont l’interface neurale, tout ça prend vie. Tout prend forme en 3D et devient une vraie interface. Ils ont leurs affichages frontaux, les altitudes, la puissance et les tours par minute, et tout ce qu’il faut pour faire voler ce vaisseau.  

Jay : L’un de vous a-t-il déjà demandé si cette technologie sera un jour disponible ici ou n’y avez-vous jamais pensé ?

Jason : On nous a parlé lors du premier entraînement d’une invasion qui s’est passée en Afrique en 1995, par des ennemis extraterrestres, qui a été repoussée, d’après ce qu’ils nous ont dit, par une unité avancée qui était équipée de technologies de pointe. C’est la seule raison pour laquelle on les a vaincus.

On s’était associés avec tout un nombre d’extraterrestres. On a donc pu développer plus de technologies nous permettant de quitter la Terre. Et dans cet échange de technologies, on a accepté d’aller aider à défendre ces autres planètes. On avait des défenses sur Terre. On aidait ces autres planètes à se défendre de ce même ennemi envahisseur. Donc, ce qu’on nous a dit était nettement différent de la réalité.

Mais ils nous ont dit que tôt ou tard, la technologie serait disponible pour le grand public. Mais ils avaient peur que toute la civilisation soit contrariée si des informations sur l’invasion de 1995 devenaient publiques.

Jay : Des fuites quant à cette supposée invasion en Afrique, que vous auriez entendues ?

Jason : Non.

Jay : OK. Y avait-il des redondances dans le système, en cas de crise cardiaque du pilote, pour que quelqu’un d’autre prenne la relève ?

Jason : Tout à fait. Chaque navette avait au moins deux pilotes. Et certaines avaient un capitaine séparé. L’une des grandes navettes où je me trouvais avait un équipage d’environ 30 personnes.

Jay : Tous capables de piloter ?

Jason : Non, pas tous. Toutefois, le système électronique d’Intellihence artificielle (IA) qu’ils utilisaient était assez intelligent pour pouvoir le faire si les cinq ou six personnes habituellement capables de piloter ce type de navettes se trouvaient dans l’impossibilité de le faire. Les systèmes automatisés pourraient faire ce qu’il fallait. Vous pouviez lui parler ou le diriger.

Jay : Différents niveaux de communication ?

Jason : Oui.

Jay : Utilisiez-vous des drones lors des batailles  et lors de situations dans l’espace et tout ça ?

Jason : Très bonne question, Jay. Et en fait, pour répondre à la question, oui, on utilise un grand nombre de drones lors des combats. C’est une des choses qu’on utilisait, au point de vue technologique. La plupart de ceux qu’on utilisait étaient furtifs. Ils pouvaient donc se camoufler. Une de mes premières expériences de combat sur Callidus 3 comprenait un drone extraterrestre. À cette occasion, ils avaient infiltré et placé un éclaireur pré-invasion, qui se trouvait là et paraissait trait pour trait à beaucoup d’autres humanoïdes qui vivaient là-bas. On aidait ce quartier en particulier avec des préparatifs comme arracher des arbres et les aider à installer des remblais, des pièges et des points de ramassage, « là, vous devriez installer votre dépôt », et en fait à s’organiser.

J’étais en train de parler avec ce voisinage. Et l’un des habitants de ce quartier  s’est avéré être un des éclaireurs aliens. Et il s’est ouvert comme une huître. Et en sont sortis quatre drones qui se sont séparés pour aller en direction des quatre points cardinaux. C’était le premier drone ennemi que je voyais. L’un d’eux s’est placé face à moi et j’ai pensé qu’il allait faire feu sur moi. Heureusement, un de mes hommes, qui était près des fusils à plasma sur trépied qu’on avait…  car on ne les portait pas sur nous, on ne pensait pas que l’ennemi était déjà là et on n’était pas armés, et pour les procédures standards, on le met sur trépied et une personne restait à côté tout le temps et montait la garde. Iet donc, l’homme qui gardait ces fusils à plasma en a choisi un et a abattu le drone. Voilà ma première rencontre avec un drone ennemi.

Pour vous répondre, donc : oui, on en utilisait tout le temps.

Jay : Jason, c’était vraiment un plaisir d’en apprendre plus sur toutes vos expériences. Merci d’être venu.

Jason : Merci à vous, Jay. Comme je le dis toujours, c’est la divulgation qui compte.


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Jason Rice (13) Technologies du Programme spatial secret
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