Sur le site suivant, http://ovnis-usa.com/2009/09/16/mercredi-16-septembre/ on peut lire ceci :
"... Arthur Neumann, le "physicien des Laboratoires Livermore", déclare sans hésiter : "Une civilisation évoluée a construit des villes sous la surface de Mars". Il ne se fait jamais prier pour évoquer le portail qui permet de se rendre sur la planète.
Il m'avait raconté, fin juillet à Barcelone, s'y être rendu plusieurs fois, "pour participer à des réunions d'une heure environ" : "On traverse simplement un couloir, on franchi des portes, et on se retrouve dans une cafetaria sur la base d'accueil. Il y aurait une population de 600.000 habitants à l'heure actuelle."
Il mentionne pour la première fois qu'il est nécessaire d'absorber régulièrement un médicament quand on fait cette expérience. Bill ajoute qu'il s'agit de 'Lorentzil' - en référence au célèbre physicien Hendrik Antoon Lorentz (1853-1928). "Ce chercheur avait décrit les contractions des longueurs dans le sens du mouvement, subies par un objet qui approche la vitesse de la lumière." On en parle aujourd'hui comme des Transformations de Lorentz.".../...
Or, à propos de ce "médicament" qui permettrait de survivre sur d'autres planètes, je me demande s'il n'y aurait pas un rapport avec les fameuses bactéries D,rad dont il est question sur cet autre site : http://www.cidehom.com/apod.php?_date=090830
"Ces bactéries pourraient survivre sur une autre planète. Sur Terre, dans les laboratoires, Deinococcus radiodurans (D.rad) est capable de supporter des niveaux extrêmes de radiations, de température, de déshydratation, ainsi que l’exposition a des produits chimiques génotoxiques. Étonnamment, elles ont même la faculté de réparer leur propre ADN, généralement en moins de 48 heures. Regroupées sous le terme d’extrêmophiles, les bactéries semblables à D.rad sont d’un grand intérêt pour la NASA. Cela est dû en partie au fait qu’elles pourraient être adaptées afin d’aider les astronautes humains à survivre sur d’autres mondes. Une récente carte de l’ADN de D.rad va peut-être permettre aux biologistes d’augmenter leurs capacités de survie tout en leur faisant produire des substances médicamenteuses, ainsi que nettoyer l’eau et l’oxygène. Elles ont déjà été génétiquement modifiées pour aider à nettoyer des fuites de mercure toxique. Comptant probablement parmi les plus anciennes formes de vie, D.rad fut découverte accidentellement dans les années 50. Des scientifiques qui étudiaient les techniques de préservation des aliments se rendirent alors compte qu’elle n’était pas facile à tuer. Dans l’image ci-dessus (voir sur le site), on peut voir Deinococcus radiodurans croître paisiblement dans une boîte de Pétri."
A suivre...