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J'aime beaucoup ce texte qui se trouve dans la partie "tribune" :
EAU ET SANG, LES MESSAGERS DE L'ENERGIE VIBRATOIRE DANS LA MATIERE VIVANTE
Le domaine vibratoire prend de plus en plus d'importance dans les thérapies, qu'il s'agisse d'élixirs floraux, de magnétisme ou de soins énergétiques. Mais que savons-nous vraiment de l'impact du vibratoire sur la matière vivante, en dehors des résultats observables ? Comment le mode vibratoire et le mode biologique s'interpénètrent-ils ?
Les circuits (ou nadis) et les centres (ou chakras) énergétiques sont bien connus depuis des millénaires, permettant d'établir des corrélations entre ces derniers et certains organes. De même, une " communication " énergétique peut être observée (par différentes perceptions telles que la lecture d'aura) entre la vibration d'un élixir ou d'une huile par exemple et sa résonance au niveau physique. Et si nous essayions d'aller un peu plus loin, au cœur de la matière vivante, pour essayer de comprendre, de mieux saisir les éléments biologiques impliqués à " l'interface " entre le vibratoire et le biologique ?
Quels éléments biologiques seraient-ils sensibles au vibratoire pour en " imprégner " la matière ?
a) Au niveau cellulaire
Les processus biologiques se traduisent principalement par les activités enzymatiques qui assurent la régulation du métabolisme de la cellule, en contrôlant l'orientation et la vitesse des différentes réactions biochimiques nécessaires à la vie de la cellule. Les enzymes sont des catalyseurs qui agissent en milieu aqueux stabilisé en pH [1], en température et en pression. Toute variation qualitative du milieu aqueux induit une variation qualitative de l'activité enzymatique et donc du métabolisme.
Le milieu aqueux est un élément primordial du vivant et par là-même pourrait constituer le " support " sur lequel s'imprimerait l'énergie vibratoire.
b) Au niveau organique
À ce niveau, les processus biologiques concernent principalement la coordination et la régulation de la fonction organique. Plusieurs fonctions organiques sont contrôlées par les hormones ; celles-ci sont distribuées par le système sanguin. Le sang est l'élément vital par excellence. Le milieu sanguin pourrait également constituer un médiateur de l'énergie vibratoire.
" Conduction " de l'énergie vibratoire au niveau biologique
En reprenant les éléments eau et sang, nous allons revoir les hypothèses qui ont été proposées depuis quelques décennies pour aborder cette " interface ", ce " fil ténu " où énergie et matière s'interpénètrent.
a) Rôle de l'eau comme molécule qui " imprime " différentes vibrations
La capacité de l'eau à porter les énergies vibratoires a été proposée sous la terminologie de " mémoire de l'eau " [2] par Jacques Benvéniste. Il est parti du constat qu'il existe 10 000 molécules d'eau pour 1 molécule de protéine dans l'organisme, et que de ce fait l'eau constitue un transporteur d'information : " Lorsque des molécules déclenchent un effet biologique, ce ne sont pas elles qui transmettent le signal mais l'eau périmoléculaire, qui sert de relais et probablement d'amplificateur ". L'eau conserverait l'empreinte électromagnétique des molécules mises en sa présence. Cette hypothèse, bien que décriée par la communauté scientifique estimant que les expériences n'ont pas été suffisamment reproductibles, vient d'être reprise sérieusement par le Professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine 2008.
Les élixirs floraux mis au point par le Dr. Edward Bach dans les années 1930 reposent sur l'hypothèse que le message vibratoire de la fleur peut être véhiculé par une eau très pure, en l'exposant au soleil : " L'eau se met alors en quelque sorte au diapason de la fleur et enregistre sa mélodie spécifique, indépendamment de tout transfert de substance matérielle […]. Le liquide, ingéré par le patient, va lui restituer cette mélodie et le réaccorder " [3].
Par ailleurs, le Japonais Masaru Emoto démontre par ses clichés de cristaux formés à partir d'eau que la forme (harmonieuse ou déstructurée) du cristal dépend de la nature de l'eau (pure ou polluée, respectivement) [4]. De plus, une eau exposée à des mots (étiquette collée sous le récipient en verre contenant l'eau) donnera des cristaux plus ou moins harmonieux et beaux en fonction de la " qualité " de ces mots.
De plus, la bioélectronique nous apprend que toutes les fonctions physico-chimiques de l'organisme sont commandées par des forces électriques et électroniques dont le support et le vecteur essentiel est l'eau [5].
b) Rôle du sang comme médiateur du corps et de l'esprit
Selon Daniel Meurois-Givaudan : " Sang et prâna sont étroitement liés, la frontière vibratoire qui sépare leurs mondes respectifs est poreuse " [6].
D'après Christopher Vasey, naturopathe, le sang constituerait le lien entre l'esprit et le corps physique : " Sans le sang, l'esprit ne pourrait s'incarner et rester incarné dans le corps physique qui lui sert d'outil sur Terre. L'esprit n'est donc pas lié directement au corps, mais au sang, et par lui, au corps " [7].
L'auteur entend par le mot " esprit " non pas l'intellect humain, mais comme étant l'être réel : " Lorsque, muni d'autres enveloppes [les corps subtils], l'esprit porte en plus le corps physique, il se nomme alors homme terrestre. S'il dépose sa dépouille charnelle, les hommes de la Terre le considèrent comme une âme ". Ce lien se situe plus exactement entre les irradiations (ou ondes énergétiques) du sang et celles des corps subtils : " L'esprit est relié au corps, non par un lien matériel, mais par un lien subtil : un pont d'irradiation ". Cette irradiation du sang est directement liée à la composition sanguine.
En résumé
Il n'est pas étonnant que ces deux éléments, eau et sang, soient ainsi liés. En effet, au niveau biologique, la masse sanguine constitue presque la totalité de l'eau circulante dans l'organisme et les globules (rouges et blancs) du sang sont constitués de 65 % d'eau dont les qualités biologiques déterminent le potentiel vital des globules. Ainsi l'on peut dire que la qualité réactionnelle du sang de l'organisme se ramène aux qualités biologiques de l'eau elle-même [8]. On pourrait aussi dire analogiquement que la qualité vibratoire du sang se ramène à celle de l'eau.
Eau et sang constituent les " fluides " du vivant qui, par leur nature vibratoire, seraient donc les médiateurs privilégiés, des messagers entre Esprit et Matière. Au-delà de leur composition moléculaire et chimique et de leur importance dans la physiologie et l'homéostasie cellulaire et organique, il semblerait que ces éléments biologiques soient des conducteurs de l'énergie vibratoire au niveau biologique.
Références
[1] Indicateur de l'acidité d'un milieu.
[2] E. Davenas, F. Beauvais, J. Amara, M. Oberbaum, B. Robinzon, A. Miadonnai, A. Tedeschi, B. Pomeranz, P. Fortner, P. Belon, J. Sainte-Laudy, B. Poitevin, J. Benveniste "Human basophil degranulation triggered by very dilute antiserum against IgE", Nature (1988) volume 333, 816-818.
[3] Jacques David " Yi-King et Fleurs de Bach " (éd. Le Souffle d'Or).
[4] http://www.masaru-emoto.net/
[5] Jacques Collin, http://www.eklectic-librairie.com/ArticlesAuteurs/FaceCacheeBioelectronique_Collin.htm
[6] Daniel Meurois-Givaudan " Ainsi Soignaient-ils " (éd. Le Passe-Monde).
[7] Christopher Vasey " Le Mystère du Sang " (éd. Du Graal).
[8] Dang Vinh Luu et Claudine Luu " Connaissance de l'eau " (éd. Imderplam) - http://www.imderplam.com/
Rachel VINCENT
Février 2011
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