Thème : Intervention de Patrice André au meeting de la Manifpourtous
– Ce qu’on vous cache ! la theorie du genre transgenre et trans humanisme en marche! 1984 DE GEORGES ORWELL enfanter est defendu ou reprouvé non societale non souhaitable.
Vidéo : impressionant 5m50 les textes fondateurs de la loi impossible???
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mar 13 Aoû - 5:32
Merci AIKI pour cette vidéo. Heureusement qu'Internet existe car ils ne parleront jamais de cela sur nos chaînes de télévision. C'est pourtant très grave ce qui se passe... Ecoutez jusqu'au bout et faites-vous votre propre opinion.
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mar 13 Aoû - 5:56
Au risque de radoter, « la théorie du genre » n’existe pas
C’est reparti de plus belle grâce à la « Manif pour tous ». Plus que jamais, on parle de « théorie du genre » en France pour dire tout et n’importe quoi. Obsession d’une partie de la droite, cette chose indéterminée permet de mélanger le sexe, la sexualité, l’orientation sexuelle et la fin du monde.
Elle est devenu hautement politique et suspecte, au point que la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, par ailleurs ministre des Droits des femmes, a été obligée de nier l’existence d’une telle théorie. A juste titre, même si les explications sont un peu courtes : Définition Les études du genre, « gender studies » en anglais, désignent une approche interdisciplinaire des sciences humaines, qui rassemble des domaines de recherche aussi divers que la sociologie, l’histoire, la linguistique, la médecine, l’architecture, la philosophie, la psychologie ou la science politique. Loin d’être une exclusivité des universités américaines, cette approche est aujourd’hui implantée sur tous les continents, du Danemark au Chili, en passant par le Mexique, l’Allemagne, l’Inde, la Thaïlande ou le Kenya.
« La “théorie du genre”, ça n’existe pas, je ne l’ai jamais rencontrée. Ce qui existe en revanche ce sont les études du genre dans plein de champs disciplinaires.
Vous avez des chercheurs qui s’intéressent à la façon dont la société organisent les inégalités entre hommes et femmes. »
A Rue89, nous avons décidé de regrouper ces sujets sous le tag un peu fourre-tout des « questions de genre ».
Mais une bonne fois pour toutes, c’est quoi ce fameux « genre » qui suscite tant de passions ?
Pas une théorie mais un concept
Loin d’être une théorie, le genre est un concept. Il s’agit d’un outil d’analyse, qui permet aux chercheurs d’étudier divers phénomènes sociaux, et à tout le monde de mieux comprendre comment s’articulent notamment les identités d’homme et de femme.
On pourrait argumenter qu’une théorie spécifique est fausse, en avançant des preuves à son encontre, on ne peut pas dire de même d’un outil analytique.
Parler de « théorie du genre » permet de supposer que le genre n’est pas vrai. Or en tant que concept, le genre peut être plus ou moins pertinent ou utile, mais pas vrai ou faux.
Une explication complémentaire à la biologie
Le concept de genre permet par exemple d’étudier les comportements individuels ou collectifs et des expressions culturelles qui ne sont pas imputables au sexe biologique.
Dans ce sens les adversaires de la « théorie du genre » ne se trompent pas ; au lieu d’accepter que tout ordre social qui traite les hommes et les femmes différemment soit immédiatement explicable par la biologie, les études du genre cherchent des explications sociales. Or, ce serait une erreur de maintenir, comme le font certains médias, que les études du genre nient « toute distinction » entre les sexes biologiques.
Au contraire, la majorité des chercheurs du genre acceptent ce fait. Or, ils l’interrogent pour porter un regard critique sur la manière routinière de vouloir tout expliquer, et justifier, par la biologie.
La biologie des êtres humains n’a pas changé depuis des milliers d’années, et pourtant on a pu assister à une évolution dans les comportements des femmes et des hommes comme groupe.
La biologie n’est donc pas en mesure d’expliquer ces changements, ni toutes les irrégularités, toute la diversité que l’on peut observer dans les comportements de personnes aux organes génitaux, hormones et chromosomes semblables. C’est ici que le genre peut jouer un rôle.
Le genre et l’orientation sexuelle : pas pareil
Dans une série d’articles qui visent la « théorie du genre » parus dernièrement dans le Figaro, les auteurs s’attardent surtout sur les questions d’homosexualité, d’homoparentalité et la sensibilisation à ces questions au sein de l’Education nationale.
Si la compréhension des questions touchant à la diversité des orientations sexuelles est facilitée par la pensée à travers le genre, c’est pourtant une erreur d’assimiler le genre à l’orientation sexuelle. Ces deux catégories n’ont pas nécessairement de lien l’une avec l’autre.
Afin de faciliter la compréhension de l’égalité des chances entre femmes et hommes, ou la discrimination fondée sur le sexe ou l’orientation sexuelle, on fait une distinction analytique entre :
L’orientation sexuelle touche à nos désirs sexuels. Sommes-nous excités par les femmes ou les hommes ? Ou parfois par les femmes et souvent par les hommes ? L’orientation sexuelle d’une personne peut parfaitement être indépendante du sexe biologique, de la catégorie sexuelle et du genre.
Le genre et le sexe biologique : pas pareil non plus
Le sexe biologique des êtres humains est déterminé par une multitude de facteurs anatomiques, physiologiques et génétiques. Il faudrait rappeler que cette détermination n’est pas toujours évidente et qu’il y a une certaine variation dans l’expression de ces divers facteurs biologiques.
La catégorie sexuelle correspond aux critères d’apparence associés à un sexe biologique donné. Lorsque nous regardons une personne dans la rue et que nous nous disons : « C’est un homme », nous lui attribuons une catégorie sexuelle, sans connaître sa composition chromosomique.
De même, (à de rares exceptions près) nous ne pouvons pas voir le sexe d’une personne habillée. Or, cette attribution n’est pas évidente et parfois, nous nous trompons sur le sexe biologique d’une personne. Cela peut être le cas pour les personnes transgenre et les travestis par exemple.
Le genre « féminin » et le genre « masculin »
Le genre est l’ensemble des pratiques, comportements et attitudes que la société considère comme étant approprié à une certaine catégorie sexuelle. En d’autres termes, c’est la classification des comportements comme étant « masculins » ou « féminins ».
Le genre représente les critères de cette catégorisation binaire qui constituent des normes dans nos sociétés. Les filles sont sensibles et les garçons sont durs, dit-on. Mais un garçon qui exprime sa sensibilité en se mettant à pleurer risque de se faire réprimander avec un « Ne pleure pas comme une fille ! »
Le genre n’est donc pas seulement une réflexion de l’ordre majoritaire ; les normes de genre ont un pouvoir prescriptif : « Tu ne dois pas pleurer, puisque tu es un garçon. »
Les sociologues, historiens et anthropologues ont montré que les définitions du masculin et du féminin ont évolué au fil du temps, et qu’elles ne sont pas les mêmes d’une culture à l’autre. La mutabilité des genres à travers le temps et l’espace a fait l’objet d’innombrables ouvrages. Le concept de genre permet ainsi de remettre en question l’idée même qu’une catégorisation binaire (féminin/masculin) va de soi. 6 Un outil pour lutter contre les inégalités
Dès lors que l’on constate que le genre est changeant, il peut aussi être remis en cause comme ordre immuable. C’est là que se trouve le potentiel égalitaire de l’analyse du genre.
Le genre ne sert pas uniquement à identifier une catégorisation du féminin et du masculin, mais aussi à rendre compte des relations de pouvoir liées à ce type de distinction. Des comportements différents produisent des positions différentes dans la société, et celles-ci sont souvent hiérarchisées.
Longtemps, la place de la femme a été cantonnée à la sphère domestique, son rôle étant principalement d’élever des enfants. Mais cette position attribuée aux femmes n’était pas neutre, elle les a longtemps privées du pouvoir en les écartant de la sphère publique et de la politique.
L’analyse du genre est donc une analyse critique, susceptible de remettre en cause des relations de pouvoir entre les sexes. C’est pourquoi il n’est en rien antinomique à « l’égalité filles-garçons » réclamé par Vincent Peillon. Bien au contraire, les études du genre, qui doivent en partie leur existence aux mouvements féministes, sont susceptibles de proposer des moyens d’atteindre l’égalité entre les sexes. 7 Pas une « théorie du genre », des « théories du genre »
Si les chercheurs sont d’accord pour utiliser le concept de genre pour étudier les définitions sociales du féminin et du masculin, la nature et l’origine de ces normes ne font pas l’unanimité. C’est la raison pour laquelle il existe non pas une mais des « théories du genre ».
Longtemps, une des théories dominantes a été celle de la socialisation du genre. L’idée était que l’on « apprend » son genre, donc le comportement approprié à son sexe biologique, jusqu’à l’âge d’environ cinq ans, à travers l’éducation de ses parents et par mimétisme de son entourage. On devient ainsi socialement fille ou garçon, et le genre ne change plus après cela.
A la fin des années 80, les sociologues américains Candace West et Don H. Zimmerman, ont avancé une théorie différente.
Selon eux, nous ne sommes pas notre genre, nous le « faisons » en permanence. Un système de sanctions et de récompenses sociales nous incite à agir en conformité avec les normes de genre, et en le faisant nous reproduisons ces mêmes normes. A son tour, cette théorie a été critiquée, et depuis, la discussion continue.
jachal Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mar 13 Aoû - 10:59
Après la destruction de la nation, de la société et des valeurs qui l'ont fondée, celle de la famille et de l'individu...allant jusqu'à l'identité sexuelle qui ne serait qu'un concept intellectuel.
Pour moi cette "théorie du genre" prépare l'avènement d'un troisième sexe qui correspondra à un être fabriqué en éprouvette, sur commande des gouvernements, et incapable de se produire. Utopie ? Non, la fabrication en éprouvette est déjà entrée en mode industriel pour les animaux d'élevage. La stérilité induite par les OGM verra probablement les populations décroître rapidement laissant le champ libre aux "faiseurs de bébé institutionnels" qui répondront aux critères du bien informé Aldous Huxley dans "le meilleur des mondes" : classe des dirigeants, des soldats, des ouvriers, des indésirables que l'on supprimera avec un clic de souris.
La question qui se pose : jusqu'où peut aller l'expérience humaine dans la négation de sa vraie nature ?
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mar 13 Aoû - 14:16
Jachal: a écrit:
La question qui se pose : jusqu'où peut aller l'expérience humaine dans la négation de sa vraie nature ?
C'est une question très pertinente !
J'ai entendu dire, il y a longtemps déjà, qu'une âme humaine peut en arriver à ce que l'on pourrait appeler un "suicide spirituel", c'est-à-dire un niveau de déchéance humaine qui oblige l'âme en question à devoir recommencer, dans la vague de Vie suivante, l'évolution de sa conscience depuis le tout début (conscience minérale).
Mais soyons conscients que cela ne concernent que les âmes qui tombent aussi bas, et non pas les âmes qui ont dû subir les effets d'une telle négation sans tomber dans ce même piège.
Souvent, en pensant à cela, je me dis que je suis en droit de ne pas cautionner ce genre de négation de la vraie nature de l'âme humaine, mais je dois quand même accepter que cela existe malgré tout, parce que la Vie le permet (à cause du - ou - grâce au) fameux Libre-Arbitre dont on nous a tant parlé depuis toutes ces années. Ce que je veux dire, c'est que je suis bien obligé de l'accepter - même si je ne le cautionne pas - sinon je deviendrais dingue et agressif. Je deviendrais un anarchiste, un terroriste, que sais-je encore (il y en a tant qui tombent dans ce piège de nos jours).
Ce qui différencie notre civilisation à celles qui l'ont précédées, c'est que ces civilisations antérieures ont été confrontées aux conséquences des actions de certaines âmes inconscientes dans des domaines précis comme la technologie ou la religion. Mais de nos jours, c'est dans tous les domaines que nous sommes touchés, comme si tous les extrêmes de notre passé étaient soudain réunis dans notre présent afin que nous apprenions enfin à discerner la source ultime de ces anomalies qui nous poussent aujourd'hui à se poser la question de Jachal : jusqu'où peut aller l'expérience humaine dans la négation de sa vraie nature ?
En effet, on est en droit de se demander s'il y a une limite... et on espère que oui sinon, y a de quoi devenir dingue, n'est-ce pas ?
fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mar 13 Aoû - 15:42
n'oublions pas que la théorie du genre condamne le mariage pour tous.Ceux qui accepte cette théorie sont donc contre le mariage entre gays. Cela me fait penser à la période ou l'on pensait que les noirs n'avaient pas d'âme, ça a été très dur pour un grand nombre de gens d'accepter que tous les humains ont une âme, je ressent la même chose avec cette théorie bidon.
et cela fait plus de 11 ans que le mariage gays est officiel en Belgique et au Québec et ça na jamais fait de remous
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 7:30
Voici, pour ceux et celles qui préfèrent lire, la retranscription du discours de Pierre André dans la vidéo ci-dessus
Je trouve qu'il met en lumière certaines choses auxquelles on ne ne pensait pas forcément et qui méritent d'en débattre, pour ceux qui se sentent interpellés par le sujet.
Le vrai but du mariage homosexuel : imposer la théorie du Genre - Patrice André
"Ce que je voudrais dire ce soir consiste à remettre les choses d'aplomb et attirer votre attention sur la gravité extraordinaire de ce que nous sommes tous en train de vivre.
Lorsqu'on parle de ce projet de loi, l'argument essentiel qui est mis en avant est qu'en raison de l'égalité, il faudrait ouvrir le mariage de personnes de même sexe... mais cet argument est complètement fallacieux parce qu'en droit européen comme en droit national, le principe d'égalité, c'est de donner la même chose à des gens qui sont dans la même situation et de donner des choses différentes à ceux qui sont dans des situations différentes.
Et à propos du mariage, il faut se souvenir que l'Etat n'a normalement, à fortiori, aucun droit d'entrer dans la vie intime des citoyens. Les seuls Etats qui se permettent cela sont des Etats totalitaires, et si un Etat peut commencer à instituer le mariage et à dire qu'il doit être promu avec des avantages fiscaux à la clé, c'est-à-dire des avantages payés par la communauté des citoyens pour ceux qui sont mariés, c'est pour la seule raison que l'Etat a la charge du renouvellement des générations... et que s'il n'y a pas un homme et une femme qui se rencontrent, il n'y a pas de naissance, donc pas de renouvellement des générations.
C'est la seule raison qui légitimise l'intervention de l'Etat en ce domaine.
Or, au regard de cette loi fondamentale, il est évident que des partenaires homosexuels sont dans une situation radicalement différente de celle des hétérosexuels, parce qu'ils ne peuvent pas procréer. Et quand on donne a des personnes qui sont dans une situation radicalement différente au regard de ce qui est en cause, ce n'est pas une application du principe de l'égalité mais un abus de droit. C'est une violation des principes fondamentaux de notre constitution.
Alors, pourquoi met-on ce principe en avant ? Eh bien, il y a une raison... une raison cachée. C'est qu'en réalité, derrière le mariage des personnes de même sexe, il y a la volonté d'abolir toute différence entre les sexes. Ce mariage n'est qu'une première étape. C'est la première pierre, la plus importante de ces dernières années, de quelque chose qui va aller bien au-delà.
Il est question tout simplement d'imposer à la France, à l'Europe et sur le plan international, une théorie qui s'appelle le Gender et qui est vraiment une théorie dont le but est de subvertir totalement la société dans laquelle nous vivons.
J'attire votre attention sur le fait que c'est en marche. Et quand je dis que vous vivez un moment historique, je n'exagère rien. Si vous regardez des films sur la seconde guerre mondiale, sur ce qui s'est passé au vingtième siècle en Union Soviétique, avec la montée de ces deux totalitarismes infernaux, eh bien, vous avez un sentiment que c'est déjà loin, surtout si vous êtes jeunes.
Mais aujourd'hui, ce n'est pas dans des films que les thèmes sont abordés pour la révolution qui est en marche. Elle est aujourd'hui en marche, ici, et vous êtes des acteurs de l'histoire, comme les acteurs que vous voyez dans les films, mais pour vous, c'est réel. Et vous allez voir à quel point c'est grave.
Quand on parle d'identité de genre, la première réaction des gens est de dire "c'est fumeux" ! Qui pourrait croire qu'une femme et un homme, c'est pareil ? Et pourtant, en 1995 à la conférence de Pékin, tout a été fait pour transformer celle-ci en une conférence du Genre.
Je vais vous donner deux exemples récents : en France, vous savez (peut-être) que les femmes ont moins d'accidents d'auto que les hommes... ou plus exactement, que ça coûte moins cher... parce qu'elles roulent peut-être moins vite... Et donc, jusqu'ici, il était acquis que les femmes pouvaient payer des cotisations d'assurance moins élevées que celles des hommes.
Le 18 décembre 2012, un Arrêté est sorti, à l'instigation du Droit Européen comme du Droit National tel qu'il est promu aujourd'hui, disant que désormais, peu importe ce que font les femmes au volant, elles doivent payer la même chose que les hommes. Pour une raison très simple, c'est qu'il ne doit plus y avoir de différence entre elles et les hommes. Même si la nature montre qu'elles sont différentes, elles doivent être mises sur le même plan.
Deuxième exemple : jusqu'en 2002, les femmes pouvaient prendre leur retraite à partir de 15 ans de travail et avec une jouissance immédiate. Une retraite proportionnelle, un tiers de la retraite mais tout de suite, comme pour les militaires. En 2002, la Cour de Justice de l'Union Européenne est intervenu au nom de l'identité de genre, et elle a dit que c'est intolérable que cela soit réservé aux femmes. Il faut que les hommes, pères de 3 enfants et plus, aient le même avantage... Comme si le fait de porter 3 enfants et plus était la même chose pour une femme que pour son mari de la regarder les porter !
Mais, voyez-vous, c'est entré dans les moeurs... parce qu'aujourd'hui, les femmes sont privées de cet avantage fondamental et parfaitement reconnaissant de ce qu'elles avaient fait.
Et le 31 octobre 2012, le Gouvernement, sous la signature du Premier Ministre, a adopté un programme complet sur l'identité de genre, dont la Presse n'a pas parlé. Pourtant, si vous allez sur le site du Ministère des Droits de la Femme de Mme Belkacem, vous allez trouver ce programme. Il vous suffit de vous connecter au site et de le télécharger.
Alors, que dit ce programme ?
Alors, tenez-vous bien : il dit d'abord que - cette identité de genre est désormais un axe prioritaire de l'action gouvernementale.
- Tous les domaines seront concernés.
- Les inspecteurs du Travail l'incorporeront aux évaluations des entreprises.
Il sera au coeur de la charte dans l'égalité de la fonction publique.
(Je ne fait que citer !)
- Les partenaires sociaux s'incorporeront par avenant dans tous les accords sociaux qui seront désormais passés.
- La question sera à l'ordre du jour de la grande conférence sociale qui est prévue pour les prochains mois.
- Un module obligatoire sera ajouté pour les infirmiers dans la formation, pour la formation des médecins.
- Les maisons de retraites devront incorporer l'identité de genre... (sans doute pour convaincre des personnes de 70 ans que, contrairement à ce qu'elles ont cru, elles ne sont pas forcément des hommes ou des femmes !)
- Les personnes trans-sexuelles pourront désormais demander à l'Etat Civil de changer leur sexe sans même qu'il y ait d'opération chirurgicale.
- L'identité de genre sera enseigné dans les écoles maternelles...
... et le 6 mars dernier, le Conseil des Ministres a fait un communiqué sur l'ABC de l'égalité, et il s'agit dans les écoles maternelles et primaires, de convaincre des petites filles qu'elles ne sont pas forcément des filles, et de convaincre des petits garçons qu'ils ne sont pas forcément des garçons.
Et sur le plan international, il est prévu de modifier la Convention Européenne des Droits de l'Homme pour rajouter dans le Protocole N° 12 : l'obligation de respecter l'identité de genre.
Voyez à quel point c'est présent, immédiat, aujourd'hui !
Alors, qui sont-ils ces gens qui prônent le genre ?
Je vais vous faire juste deux ou trois citations car je manque de temps :
L'objectif initial, je vous le lis, c'est une révolution qui doit être à la différence du premier mouvement féministe, qui n'a plus rien à voir avec ce qu'il est aujourd'hui. Donc, le but définitif, c'est d'en finir avec le privilège masculin, mais encore également, avec la distinction même des sexes. "Les différences génitales entre les êtres humains ne doivent plus avoir d'importance culturellement parlant".
Le 12 septembre 2012 au Sénat, dans un débat public patronné par le Parti Socialiste, Mme Caroline Mery a déclaré : "La relation naturelle entre un homme et une femme est une violation des droits de l'homme, c'est une violation de l'amour" !????
(Gros houuuu de la salle scandalisée... et on aurait fait pareil par rapport à cette déclaration de la Ministre, n'est-ce pas ?)
Voici deux autres citations : que dit une militante MGTP du Genre ? : "Notre but, dit-elle, c'est d'en finir avec la division sexuelle du travail dans laquelle la femme est mère. Nous ne voulons plus que l'on dise que les femmes sont mères. nous ne voulons plus qu'il soit dit que les femmes sont déterminées à porter des enfants. Il faut désormais que les hommes portent des enfants comme les femmes."
Ceci est dans les textes, ce n'est pas moi qui l'invente.
Autre citation : " La suppression de la famillle biologique fera aussi disparaître l'obligation de procéder à la répression sexuelle. L'homosexualité masculine ou lesbianisme, les relations sexuelles extra-matrimoniales, ne devront plus être considérées comme une alternative, comme quelque chose que l'on tolère. Il faudra, au lieu de cela, que même les catégories d'homosexualité et d'hétérosexualité soient abandonnées. L'institution même des relations sexuelles où l'homme et la femme exercent un rôle bien déterminé disparaîtra. L'humanité pourra enfin revenir à sa sexualité perverse polymorphe dans laquelle il n'y a plus aucune détermination de la femme et de l'homme en matière de procréation."
(nouveaux hurlements de la salle)
Alors, vous allez me dire qu'ils sont fous.
(la salle acquiesce)
Eh bien, ouvrez internet, prenez Wikipédia ou Wiktionnaire (dictionnaire de Wikipédia que tous les adolescents regardent) où il disent : "L'identité de genre, c'est 3 éléments : le sexe génital, le choix que l’on fait d’être un homme ou une femme et l’orientation sexuelle.
Je pourrais donc, moi homme, décider d’être une femme, mais, en même temps, avoir une orientation sexuelle vers les femmes, et à ce moment-là, je serais lesbienne... J’en ri comme vous, mais ils sont au pouvoir aujourd’hui, car dans tous les cabinets ministériels se trouvent se trouvent ces militants MGTP qui prônent cette théorie. Mr Eribon lors de ce débat au Sénat a déclaré “il faut en finir avec la filiation naturelle. Ce n’est pas parce que je suis père d’un enfant que je dois être son père. Je dois pouvoir décider d’être le père d’un autre enfant qui n’est pas le mien, et si je ne veux pas être le père de mon enfant, on n’a pas le droit de me l’imposer, parce que la filiation doit devenir subjective.”
C’est en train de se mettre en place, aujourd’hui, en France.
Alors, que veut-on créer comme société et quelles sont les conséquences, en deux mots ?
Les conséquences, c’est une société qui est celle de Georges Orwel, où l’on dit désormais qu’il n’y a plus de raison de demander aux femmes de faire des enfants, c’est scandaleux. Il faut que les hommes fassent des enfants dans les mêmes conditions. Comment ? Par la PMA et la GPA. Et, donc, ce qu’on va mettre en place, ce sont des structures médicales financées par l’Etat favorisant la GPA - parce que ça va devenir un droit fondamental. Je vous préviens dès aujourd’hui que si le mariage homosexuel passe dans la loi, toutes les institutions européennes condamneront la France si elle ne met pas en avant la GPA et la PMA, car à partir du moment où cela sera autorisé pour les couples hétérosexuels, on n’aura plus le droit de le refuser aux couples homosexuels.
C’est donc une société où il n’y a plus de rôle déterminé pour les femmes, et à partir du moment où l’on va mettre des structures de service public qui vont coûter très cher, et bien il arrivera un moment où l’on dira aux femmes qui désirent avoir un enfant : “Mais Madame, vous vous rendez compte que vous êtes en train de céder aux déterminismes sociaux ? Vous êtes en train de céder aux stéréotypes les plus abjects. Vous vous rendez compte que votre attitude est une violation de la dignité humaine ? Le fait que vous vouliez avoir un enfant naturellement, c’est un comble. Et bien, moi l’Etat, je vais vous dire, c’est un caprice de votre part. Alors votre enfant, vous le ferez toute seule, sans soutien financier, parce que nous n’allons pas soutenir une femme qui continue à rester dans les stéréotypes, en violation des droits fondamentaux de tous les êtres humains par ailleurs.”
C’est cela qu’on va vous dire. Vous allez alors penser “ce monsieur est fou car personne ne va y adhérer”...
Eh bien... J’écoutais France Info il y a 3 jours, et le débat était : “Faut-il faire des assistants sexuels pour les handicapés un service public ?” Ce qui signifie payer des femmes pour qu’elles aillent donner du plaisir sexuel à des handicapés, aux frais du contribuable.
Si on avait dit ça 20 ans en arrière, on aurait hurlé de rire ou d’horreur, mais c’est en débat aujourd’hui, c’est dans la loi qui se prépare.
Il va donc falloir se lever et dire non. J’entendais tout à l’heure des familles divisées par le débat. A une époque, on disait que l’affaire Dreyfus avait divisé toutes les familles de France... Cette affaire de mariage homosexuel n’est qu’une première étape - cela n’a rien à voir avec l’homosexualité à l’extrême, parce que tout cela va beaucoup plus loin. Quand on nous parle d’homophobie, c’est complètement absurde. L’homophobie, désormais, c’est quoi dans l’esprit de ces gens-là ? Vous êtes homophobe simplement si vous dites qu’une femme, c’est différent d’un homme. C’est cela désormais l’homophobie. Et vous irez peut-être un jour en prison – si personne ne bouge – simplement parce que vous direz qu’un homme, c’est différent d’une femme.
Et, donc, j’entendais ces familles divisées, et je me disais “oui, nous sommes face à une nouvelle affaire Dreyfus”... Et bien, au nom de l’ensemble collectif, je crois que nous pouvons tous ensemble dire : “Nous accusons une petite minorité MGTP présente dans les cabinets ministériels de manipuler l’opinion et des hommes politiques trop crédules sur les véritables motivations qui sont les leurs. Nous accusons un certain nombre de médias d’empêcher leurs propres journalistes de parler, d’effectuer des pressions intolérables sur les journalistes pour les empêcher de dire la vérité, comme cela s’est fait en 2007 à propos du traité de Lisbonne, où brusquement, tous les journalistes qui étaient contre sont devenus pour, parce que leur direction leur disait '”Vous n’avez pas le choix : ou vous dites que vous êtes pour, ou vous êtes licenciés”.
Nous accusons donc ces gens-là de faire des pressions intolérables. Nous accusons ces gens-là, financés par des grandes banques internationales, de faire tout cela pour subvertir sans que cela se voit les structures fondamentales de la société et de l’humanité. Nous les accusons – et nous n’avons pas peur des mots – de trahison pure et simple envers l’humanité.
(Gros applaudissements)
Et nous disons que le 24 mars prochain, nous les convoquerons à l’occasion de la manifestation devant le tribunal de la vraie démocratie, c’est-à-dire celle qui recherche le bien commun, l’intérêt général, et non pas le bien d’une toute petite minorité (0,06%). Nous les convoqueront au tribunal de la Raison, de la Nature, et au tribunal de l’Amour, parce que, bon sang, entre un homme et une femme, c’est l’amour avant tout qui est à l’origine de tout ! “
(fin de la conférence)
Conclusion... comme Jachal l'a dit plus haut :
Jachal a écrit:
Après la destruction de la nation, de la société et des valeurs qui l'ont fondée, celle de la famille et de l'individu...allant jusqu'à l'identité sexuelle qui ne serait qu'un concept intellectuel.
Pour moi cette "théorie du genre" prépare l'avènement d'un troisième sexe qui correspondra à un être fabriqué en éprouvette, sur commande des gouvernements, et incapable de se produire. Utopie ? Non, la fabrication en éprouvette est déjà entrée en mode industriel pour les animaux d'élevage. La stérilité induite par les OGM verra probablement les populations décroître rapidement laissant le champ libre aux "faiseurs de bébé institutionnels" qui répondront aux critères du bien informé Aldous Huxley dans "le meilleur des mondes" : classe des dirigeants, des soldats, des ouvriers, des indésirables que l'on supprimera avec un clic de souris.
La question qui se pose : jusqu'où peut aller l'expérience humaine dans la négation de sa vraie nature ?
Dernière édition par Régis le Mer 14 Aoû - 10:48, édité 2 fois
AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 9:46
GROS BOULOT MERCI Regis!
Aiki.
donarmando Membre ACTIF
Nombre de messages : 136 Age : 50 Localisation : grenoble Date d'inscription : 08/07/2009
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 14:21
Très bien tout cela, mais alors que faîtes vous des homosexuels ? Sont ils condamnés à ne pas avoir les même droits, à faire partie d'une caste inférieure ? Ont ils seulement le droit de s'aimer en secret ? N'ont-ils pas la capacité à éduquer des enfants ? Dès l'instant où un droit leur est accordé, cela fait-il forcement partie d'une manipulation et d'un projet obscur ? l'homosexualité renie-t-elle la vraie nature de l'être humain ? Je vous pose ces questions.
Je ne nie pas que des projets fumeux et obscurs soient en cours d'élaboration (notamment la maternité éprouvette) mais je pense qu'on fait un amalgame entre tout, saupoudré de peurs obscurantistes et conspirationnistes. Oui le mariage homo est une avancée des droits, non l'homosexualité ne supplantera jamais l’hétérosexualité, les garçons sauront toujours qu'ils sont des garçons, comme les petites filles sauront toujours qu'elles sont des petites filles. Oui on peut comprendre et accepter que chacun a sa sexualité et cela fait partie de l'éducation que de le savoir. Oui faisons attention et mettons en lumière les projets funestes que certains laboratoires rêvent de mettre sur pieds, que se soit sur la fertilité, les OGM, la conception des enfants etc.
Quand je lis l'article ci dessus, j'imagine toutes les supputations faites ayant pour but d'aller à l'encontre de la loi taubira, toutes les approximations faites, toutes les phrases sortis de leur contexte etc.
Citation :
parce que tout cela va beaucoup plus loin. Quand on nous parle d’homophobie, c’est complètement absurde. L’homophobie, désormais, c’est quoi dans l’esprit de ces gens-là ? Vous êtes homophobe simplement si vous dites qu’une femme, c’est différent d’un homme. C’est cela désormais l’homophobie. Et vous irez peut-être un jour en prison – si personne ne bouge – simplement parce que vous direz qu’un homme, c’est différent d’une femme.
Ou comment faire passer l'homophobie pour autre chose de plus convenable
Citation :
Et nous disons que le 24 mars prochain, nous les convoquerons à l’occasion de la manifestation devant le tribunal de la vraie démocratie, c’est-à-dire celle qui recherche le bien commun, l’intérêt général, et non pas le bien d’une toute petite minorité (0,06%). Nous les convoqueront au tribunal de la Raison, de la Nature, et au tribunal de l’Amour, parce que, bon sang, entre un homme et une femme, c’est l’amour avant tout qui est à l’origine de tout ! “
Donc la vraie démocratie c'est simplement faire respecter les droits de la majorité et lui apporter son bien à elle ? Si c'est un tribunal de la raison, cela signifie-t-il que donner des droits aux homosexuels est quelque chose de fou ? Si c'est un tribunal de la nature, est-ce à penser que l'homosexualité est contre-nature ? Si c'est un tribunal de l'amour, est-ce à penser que seule l'amour hétérosexuel à droit de cité ?
Tout cela me laisse bien perplexe ...
Mais puisque ces manifestants ne sont pas homophobes, mais alors rien ne les empêche de manifester en scandant "oui au mariage pour tous ! non à la PMA et GPA pour tous ! Non à la maternité éprouvette !". Je ne l'ai jamais entendu dans leur bouche.
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 14:41
donarmando a écrit:
Très bien tout cela, mais alors que faîtes vous des homosexuels ? Sont ils condamnés à ne pas avoir les même droits, à faire partie d'une caste inférieure ? Ont ils seulement le droit de s'aimer en secret ? N'ont-ils pas la capacité à éduquer des enfants ? Dès l'instant où un droit leur est accordé, cela fait-il forcement partie d'une manipulation et d'un projet obscur ? l'homosexualité renie-t-elle la vraie nature de l'être humain ? Je vous pose ces questions.
Je ne crois pas que ce qui est mis en relief ici soit contre la cause des homosexuels, mais plutôt contre le fait que les gouvernements se servent de leur cause, justement, pour imposer petit à petit une société dont personne ne voudrait, pas même les homosexuels. S'il s'agissait simplement d'accorder le mariage aux homosexuels et de reconnaître qu'ils sont aptes à éduquer des enfants, je ne pense pas que cela poserait vraiment de problème... mais là, il s'agit tout de même d'autre chose de tout à fait grave qui n'a absolument rien à voir avec l'homosexualité, et il est donc tout à fait normal que des gens s'en inquiètent, et cela ne fait pas d'eux pour autant des homophobes. Et si personne ne réagit, alors on vivra un jour dans une société ou les hétérosexuels tout comme les homosexuels ne pourront même plus dire "je suis hétéro" ou bien "je suis homo" sans se faire accuser d'homophobes.
La subversion qu'ils veulent provoquer va à ce point, et bien pire encore.
Dernière édition par Régis le Mer 14 Aoû - 14:57, édité 1 fois
fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 14:49
excuse moi Régis , mais ceux qui prônent la théorie du genre sont majoritairement contre le mariage gay
donarmando Membre ACTIF
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 15:15
Régis a écrit:
donarmando a écrit:
Très bien tout cela, mais alors que faîtes vous des homosexuels ? Sont ils condamnés à ne pas avoir les même droits, à faire partie d'une caste inférieure ? Ont ils seulement le droit de s'aimer en secret ? N'ont-ils pas la capacité à éduquer des enfants ? Dès l'instant où un droit leur est accordé, cela fait-il forcement partie d'une manipulation et d'un projet obscur ? l'homosexualité renie-t-elle la vraie nature de l'être humain ? Je vous pose ces questions.
Je ne crois pas que ce qui est mis en relief ici soit contre la cause des homosexuels, mais plutôt contre le fait que les gouvernements se servent de leur cause, justement, pour imposer petit à petit une société dont personne ne voudrait, pas même les homosexuels. S'il s'agissait simplement d'accorder le mariage aux homosexuels et de reconnaître qu'ils sont aptes à éduquer des enfants, je ne pense pas que cela poserait vraiment de problème... mais là, il s'agit tout de même d'autre chose de tout à fait grave qui n'a absolument rien à voir avec l'homosexualité, et il est donc tout à fait normal que des gens s'en inquiètent, et cela ne fait pas d'eux pour autant des homophobes. Et si personne ne réagit, alors on vivra un jour dans une société ou les hétérosexuels tout comme les homosexuels ne pourront même plus dire "je suis hétéro" ou bien "je suis homo" sans se faire accuser d'homophobes.
La subversion qu'ils veulent provoquer va à ce point, et bien pire encore.
Ok mais jamais tu ne les entendras aborder ce sujet sous cet angle là ... Jamais tu ne les entends dire que oui les homos ont droit aux même droits, que oui ils peuvent élever des enfants, que oui ils ont droit d s'unir . En l'occurence ce monsieur se sert de ces projets morbides pour attaquer le droit des homos, ce qui effectivement est bien vicelard, et la foule tout de go acquiesce en pensant "ha oui quand même on va pas faire ce cadeau à ces pédales..."
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 15:20
Ensuite, je serais curieux de savoir ce que les couples homosexuels en pensent, à savoir qu'un jour ils pourront avoir des enfants créés dans un utérus artificiel, mais que pour en arriver là, il aura fallu traverser certains échecs, comme la mort des enfants au grand dam de leurs mères.
Je connais quelques homosexuels pour qui ça causerait forcément un problème de conscience (ce sont souvent des gens très sensibles). Je ne crois pas qu'il seraient d'accords avec ce procédé et qu'ils préféreraient de loin avoir un enfant par une mère-porteuse par exemple (car c'est tout de même plus naturel et humain que ce procédé artificiel).
Comprenez bien ceci : je n'ai absolument rien contre les homosexuels, j'en ai même rencontré plusieurs dans ma vie qui étaient des gens merveilleux, et je suis certain que si cette minorité de crétins au pouvoir étaient remplacés par des gens sages et conscients, ils trouveraient vite des moyens pour faire en sorte que toutes et tous vivent en harmonie, quelles que soient les différences, ils trouveraient les bonnes solutions car elles reposent sur le bon sens élémentaire et la compassion pour autrui.
Mais voilà, la réalité pour l'instant, c'est que cette bande de crétins au pouvoir se sert de tous les prétextes pour, d'une part, diviser les gens, les familles, et d'autre part, pour imposer un système ultra-totalitaire.
Hétérosexuels et homosexuels, débarrassez-vous d'abord de ces crétins. Ensuite, les solutions et la paix entre les différences verront le jour. Le plus difficile, c'est justement de ne pas tomber dans le piège de la division. Ces gens-là se moquent bien de savoir si vous êtes hétéros ou homos, tout ce qu'ils veulent, c'est nous mettre tous au rang des esclaves !
donarmando Membre ACTIF
Nombre de messages : 136 Age : 50 Localisation : grenoble Date d'inscription : 08/07/2009
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 16:22
Je crois qu’extrêmement rares sont ceux qui souhaitent ce genre de procédé, homosexuels ou hétérosexuels.
Je souligne juste le fait qu'au final le mariage pour tous est quelque chose de bon, une avancée sociale. Après mariage pour tous ou non ceux qui voudront tenter l'expérience de l'utérus artificiel le feront de toute façon. Et ce n'est pas à cause des homosexuels et de leur envie de se marier ou d'avoir des enfants que cela est envisagé. Mais les anti-mariage pour tous se servent de cette hypothèse pour asseoir leur légitimité à refusé cette loi et souligner qu'elle est anti-vie, anti-nature, future destructrice de l'humanité etc. C'est une manière d'assouvir leur pulsion homophobe beaucoup plus propre et plus éthique. S'il ne l'était pas, alors ils manifesteraient non pas contre le mariage pour tous, mais contre les dérives éthico-biologiques. Mais la plupart d'entre eux ne savent même pas que ce genre d'expérience ont lieu et la seule chose qu'ils entendent c'est la possibilité de ne pas accorder de droits à une minorité.
D'ailleurs de quoi ont-ils peurs ? Que les homos éduquent des enfants, qu'ils puissent se marier et les avoir à côté d'eux, qu'ils soient traités comme leur égal, y compris devant Dieu etc. => peur (phobie) de quoi ? Des homos => homo => Homophobie.
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 16:50
Tout a fait d'accord avec ton point de vu donarnando...!
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 14 Aoû - 17:52
Oui, je suis d'accord aussi avec Dornamando, mais de toute manière, d'une part, le Gouvernement veut instaurer cette loi et ce n'est sûrement pas ceux qui sont contre (et certains pour des mauvaises raisons, je suis d'accord) qui vont empêcher que cette loi soit définitivement adoptée.
Après, reste à savoir si ça va aller dans le sens de ce que dénonce Patrice André - une société à la George Orwell - ou si tout va se passer comme dans le meilleur des mondes, où tout le monde est bon et gentil. Et si ce n'est pas le cas et qu'on se retrouve dans ce monde à la Orwell, il est clair que ce sera la faute non pas des homosexuels ou des hétérosexuels, mais bel et bien de tout le monde !
Quelle que soit l'étiquette qu'on aime porter, quand on est con, on est con (aurait pu ajouter Georges Brassens !)
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 6:59
mouais des affirmations a vérifier ...ça ressemble bien au discoure de l'extrême droite intégriste catho clone de Christine Boutin , avec amalgames a tout va ,ironie simpliste, je le sent pas, mais pas du tout ce type ...inconnu de surcroit
jachal Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1150 Localisation : France Date d'inscription : 07/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 8:08
Lorsque l'on voyage un peu dans le monde l'on se rend compte que notre société française est infiniment permissive concernant l'homosexualité. C'est un fait indiscutable. Et je crois que l'on ne peut que s'en féliciter. C'est pourquoi ce débat me paraît un peu surréaliste par son ampleur. Il ne m'a pas véritablement intéressé mais je comprends que pour certain ce soit la priorité des priorités.
L'union entre homosexuels est reconnue dans le cadre du PACS et cela est très bien. C'est reconnaître un droit à la différence, c'est dire "je ne condamne pas, j'accepte". Mais le mariage, c'est autre chose : c'est une norme, qui ne vaut certes que par l'adhésion d'une grande majorité mais c'est une norme. Et que ceux qui prétendent que cette norme est obsolète militent pour un référendum sur la question du mariage et ils verront si, pour l'énorme majorité des français, elle n'est pas encore LA norme.
Et ce n'est pas parce qu'elle est la norme, dans les esprits à défaut de la loi, que les homosexuels doivent se culpabiliser d'être ce qu'ils sont, se sentir montrés du doigt et devenir agressifs.
Dans les pays africains la norme serait plutôt "une mère et des enfants" car les pères sont peu présents auprès des enfants. Dans les pays asiatiques c'est la famille. Il y a souvent plusieurs générations sous un même toit. Est-ce bien ou mal : on peut dire que ce sont des modèles qui fonctionnent tout comme on peut dire que cette norme évoluera.
Faire passer les anti-mariage gay pour des réactionnaires me paraît incroyable. Ils ont leurs raisons et du point de vue des enfants leurs raisons sont acceptables et respectables. Un père et une mère c'est pas pareil que 2 pères ou 2 mères. Comment peut-on débattre de cette question ?
Je suis peut-être réactionnaire aux yeux de quelques uns mais ce n'est pas demain que je ferais un complexe de mon hétérosexualité. Je me suis toujours tenu en marge de ce débat, que je considère certes important, mais dérisoire par rapport à la mise à mort économique et culturelle de la France par les puissances financières. Mais il n'y a pas le même contexte émotionnel, et la hauteur est différente.
Que se passera-t-il si, demain, des dizaines de milliers d'immigrés, d'où qu'ils viennent, obtiennent la nationalité française en se mariant entre eux dans le cadre d'un mariage homosexuel (un immigré avec un français issu de l'immigration par exemple). C'est pas une spéculation dans la 5ème dimension. C'est une possibilité réelle qu'il faut envisager car c'est un problème qui risque de se poser rapidement à nous. D'un simple point de vue économique et sociétal, est-ce que cette situation sera gérable ? Ceci n'est pas un raisonnement homophobe ni même raciste car il ne s'adresse pas à un groupe particulier, mais une question complètement d'actualité. C'est la question de maîtriser son avenir. Et que l'on ne vienne pas me faire la morale là-dessus ni se gargariser avec le mot "amour" en prétendant que j'en manque. Etre responsable c'est pas forcément une tare.
J'entends régulièrement dire que les couples qui ont des enfants sont des égoïstes parce qu'ils ont des enfants "pour se faire plaisir" (il faut dire que ceux qui le disent n'ont jamais eu d'enfants). On ne trouve rien d'anormal à ce qu'une femme qui a porté en son sein un enfant pendant 9 mois l'abandonne à un couple qui refuse la loi naturelle de la procréation. Ce serait même dit-on un acte d'amour ! La pédophilie elle-même n'est plus considérée par certains groupe comme malsaine. Une société se fonde sur des valeurs mais aujourd'hui ces valeurs semblent n'avoir plus cours.
Qui a raison ? qui a tort ?
Les grecs, qui ont inventé la démocratie disaient "Vox populi, vox Déi" "La voix du peuple, c'est la voix de Dieu". En dehors de toute question d'éthique dont la valeur transitoire relativise toute opinion elle avait le mérite d'assurer l'ordre social. Alors : que nos gouvernants délaissent un peu leurs loges maçonniques et écoutent le peuple.
Mais si les esprits français s'échauffent sur cette question du mariage gay il ne faut pas trop oublier que pour certains c'est le meilleur moyen de détourner leur attention du pillage de leur pays par les banques et la destruction de leur identité par les nazis du gouvernement mondial.
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 9:14
jimmy a écrit:
mouais des affirmations a vérifier ...ça ressemble bien au discoure de l'extrême droite intégriste catho clone de Christine Boutin , avec amalgames a tout va ,ironie simpliste, je le sent pas, mais pas du tout ce type ...inconnu de surcroit
Il est vrai qu'en y regardant de plus prêt, on peut se demander si ce Patrice André a mal interprété certains textes, certaines affirmations, ou s'il les a déformé volontairement dans un but caché.
Par exemple, on peut lire cette critique contre les arguments de Patrice André qui semble apporter quelques réponses à ce niveau, et qui obligent également à s'interroger : http://blog.aydree.com/index.php?article57/le-degre-zero-de-l-argumentation
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 9:31
Régis a écrit:
Il est vrai qu'en y regardant de plus prêt, on peut se demander si ce Patrice André a mal interprété certains textes, certaines affirmations, ou s'il les a déformé volontairement dans un but caché. Par exemple, on peut lire cette critique contre les arguments de Patrice André qui semble apporter quelques réponses à ce niveau, et qui obligent également à s'interroger : http://blog.aydree.com/index.php?article57/le-degre-zero-de-l-argumentation
effectivement voilà un autre son de cloche !
jeejee Membre ACTIF
Nombre de messages : 77 Age : 47 Localisation : antibes Date d'inscription : 06/11/2010
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 11:48
Je suis pleinement d'accord avec toi Jachal. Le gouvernement aurait tout simplement pu élargir le cadre du PACS, le parfaire. Le mariage pour tous est de loin le sujet parfait pour diviser, polémiquer, détourner l'attention des crimes financiers opérés dans l'ombre (ou presque). Ceux qui dénonce cette esbroufe sont traités d'homophobes. D'ailleurs c'est certainement les mêmes que les islamophobes d'hier... Quel sera le sujet de demain?
Encore une fois, on nous prend pour des poires. Qu'est ce qu'elles doivent rire les banques.
PhJ Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 112 Age : 53 Localisation : BELGIQUE Date d'inscription : 07/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 15 Aoû - 13:29
Je précise pour commencer que je suis belge, le mariage homo est une réalité depuis longtemps ici, et le ciel n'est pourtant pas encore tombé sur nos têtes.
Ceci dit, pour ce que j'en ai vu d'ici, il me semble que le débat a été pris en otage par un polarisation exacerbée (après tout c'est la recette standard quel que soit le sujet, de nos jours : rendre toute question binaire en la réduisant à une opposition entre les "pour" et les "contre", et relayer uniquement les voix les plus extrêmes pour noircir chaque position).
Du coup, un débat qui aurait pu (du ?) se faire sur les aspects les plus pointus de l'adoption et la pma / gpa a été balayé, puisque soulever ces questions était dans le contexte décrit plus haut associé aux positions homophobes.
Pour prendre un exemple récent, voici une histoire qui soulève certains de ces points:
un couple de lesbienne a conçu, par procréation assistée, un enfant ; le donneur mâle étant leur meilleur ami. Hors, entretemps, celui-ci a changé sa position et décide de réclamer des droits parentaux, puisqu'il est après tout, le père. Le couple trouve cela franchement déplaisant, puisque ça limite les droits d'adoption de la compagne (à une adoption simple, si le père l'accepte, et plus une adoption plénière) et qu'elles avaient planifié une famille à 3, sans ce qui est, à leur yeux, l'intrusion du "géniteur". Est-ce en soi tellement scandaleux que l'homme décide finalement de prendre une place dans la vie de l'enfant qu'il a aidé à concevoir ? Est-il préférable que toutes les procréations assistées se fassent avec donneurs anonymes pour éviter ce genre de situations ?
On pourrait trouver plein d'autres cas pour illustrer d'autres points pas si simples que ça, et je trouve dommage que rien de tout cela n'ait pu être débattu.
Après, il y a de belles histoires d'adoption, aussi, comme celle à NY d'un couple d'hommes qui a eu le droit d'adopter un bébé trouvé abandonné dans le métro (et là, je ne vois pas comment décrire cela autrement que comme une histoire de "rendez-vous karmique") http://www.huffingtonpost.com/2013/03/01/gay-couple-adoption-baby-subway_n_2790965.html
Régis Fondateur/Admin.
Nombre de messages : 5359 Age : 67 Localisation : Un petit coin de paradis sur Terre Humeur : Optimiste Date d'inscription : 05/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Sam 25 Jan - 19:08
En tout cas, quelques mois après cette vidéo de Patrice André (voir au début de la page 1), on peut se rendre compte qu'il avait bien raison de nous mettre en garde avec la loi de la Théorie du Genre qu'on veut nous imposer, si l'on en croit l'article suivant :
Prison (en Allemagne) pour les parents qui ont refusé des cours sur la théorie du genre pour leurs enfants.
Pour plus de détails, voir sur : http://www.brujitafr.fr/article-prison-pour-les-parents-qui-ont-refuse-des-cours-sur-la-theorie-du-genre-pour-leurs-enfants-122199217.html
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Mer 29 Jan - 23:01
Théorie du genre : «Une rumeur totalement mensongère»
Meaux (Seine-et-Marne), lundi. Il manquait 40% des élèves de cette école après l’appel national de Farida Belghoul au boycott. LP Depuis vendredi, une centaine des 48 000 écoles de France ont été perturbées par des absences d'élèves, à la suite d'un appel au boycott pour protester contre un prétendu enseignement de la «théorie du genre». Après avoir affolé les parents, majoritairement dans des quartiers défavorisés, le site des Journée de retrait de l’école (JRE), dynamique au niveau local, annonce une autre journée d'action à Mulhouse (Haut-Rhin) en février, tout en se dissimulant derrière l’anonymat d’organisateurs impossibles à joindre.
Face à cette nébuleuse d'activistes, qui agissent en souterrain, des universitaires tapent du poing sur la table pour rétablir la vérité. Ils sont onze, à Strasbourg (Bas-Rhin) a avoir rédigé une tribune publique et pédagogique mercredi pour tordre le cou à «la théorie du genre». «Cette rumeur est totalement mensongère» martèlent-ils.
«Non, la prétendue théorie du genre n'existe pas»
Parmi les signataires, des historiens, des professeurs de droit, de sciences sociales et de psychologie voient, dans cet appel au boycott, une «manœuvre révoltante de déstabilisation des parents» qui a privé des enfants d'école. «Non, les enfants ne sont pas en danger. Non, la prétendue théorie du genre n'existe pas. Oui, les programmes scolaires invitent à réfléchir sur les stéréotypes de sexe», écrivent-ils.
«Pour en finir avec les idées reçues», les universitaires soulignent que «le genre est simplement un concept pour penser des réalités». On n'est pas homme ou femme de la même manière au Moyen-Âge et aujourd'hui. (...) L'école est le lieu où l'on permet à chacun de réfléchir sur les conséquences néfastes des idées reçues et d'interroger certains préjugés», ajoutent-ils.
Pour lutter, par exemple, contre les violences faites aux femmes ou contre le fameux plafond de verre dans la sphère du travail, cette sensibilisation à l'égalité des sexes doit s'intégrer dès l'enfance, martèlent les sociologues.
Oui au respect homme-femme
«En permettant aux élèves de se demander pourquoi les princesses ne pourraient pas aussi sauver les princes, en montrant que, selon les lieux et les époques, les rôles des hommes et des femmes ont varié et que l'amour a des formes multiples, les chercheurs, les enseignants et les professeurs des écoles permettent aux enfants, citoyens et citoyennes de demain, de construire un monde plus égalitaire et plus harmonieux», concluent les universitaires.
Leur mise au point intervient après celle du ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, qui a déclaré mercredi que «l'école de la République n'enseigne absolument pas la théorie du genre». Il s'agit d'une «éducation à l'égalité homme-femme» rappelle-t-il.
L'initiative «Journée de retrait de l'école» a été lancée par Farida Belghoul, une militante proche de l'essayiste d'extrême droite Alain Soral. La prof de français et d’histoire-géo —aujourd’hui en disponibilité— dans des lycées professionnels de banlieue a, depuis plusieurs années déjà, retiré sa fille et ses deux fils du système scolaire pour les éduquer à la maison. Sa pétition pour la journée de retrait de l’école bénéficie, entre autres, du soutien de Béatrice Bourges, une des chef de file des manifestations contre le mariage pour tous, ces « vrais catholiques », comme les appelle Farida Belghoul.
Elle a été l'initiatrice d'une virulente campagne relayée sur les réseaux sociaux et par sms pour pousser les parents à boycotter l'école. Un exemple de ces textos qui ont agité la peur dans les esprits : «L’Education nationale va enseigner à nos enfants qu’ils ne naissent pas fille ou garçon comme Dieu l’a voulu mais qu’ils choisissent de le devenir. Avec des intervenants homos ou lesbiennes qui viendront leur bourrer la tête d’idées monstrueuses… ».
AIKI59 Membre ACTIF
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 2:13
Peut etre est ce une une rumeur aujourdhui infondée c'est vrai...ou pas?
Plus d'homosexuel librement choisis en bas age egale recours a un uterus artificiel qui pourra bloque l'expression de certains genes comme l'intelligence la bienveillance et que sais je? exemple possible d'une nouvelle sociéte 1984?
Mise en ligne le 14 févr. 2012 Des femmes ont été victimes d'essais médicaux illégaux d'utérus artificiel. Ces femmes ont subi une césarienne abusive sans connaitre les risques qu'elle encourraient. Leur enfant a été placé dans un utérus artificiel permettant une gestation extra-corporelle. Leur enfant est décédé. Il s'agit d'une technique qui n'est pas au point. Ces expériences médicales sont interdites. Pour combien de temps.
Sous La pression d'un nombre croissant d'enfants autochoisis homosexuel traversant leur crises d'adolescence exacerbé par des dereglements hormonals amplifiés par les pseudos hormones plastiques pillule produit phyto chimiques, hormones femelles du steack americain etc... la revendication de l'uterus artificiel pour tous sera d'une extreme evidence dans 10 ans? 20 ans?
Remarquez moi je suis pour car si on veut ameliorer notre score de 2.1 enfants par femme faut en faire des gosses et puis les 1eres annees c'est sympas mais on apas le temps de sen occuper alors comme l'etat est bon gestionnaire il va nous les elever les eduquer bien bien et repeupler la bretagne le larzac et marseille avec des superinteligent matheux et ca tombera bien plus de matheux que de bretons plus de bonnets rouge que des layettes bleu ou roses facile agerer super vive la france vive les bleus bienvenue aux schtroumphs ogm!
Dernière édition par AIKI59 le Jeu 30 Jan - 3:56, édité 3 fois
AIKI59 Membre ACTIF
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 2:27
Le 16 décembre 2013 De 0 à 4 ans, il est temps d’apprendre la « masturbation enfantine », de laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs » – sexuels.
Il vaut mieux être bien assis avant d’ouvrir le rapport de la branche européenne de l’OMS intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ».
En 2010, ce rapport est livré en anglais et en russe ; un an plus tard, le site Internet de l’OMS affirmait déjà que « plusieurs pays [avaient] traduit et mis en œuvre ces normes ».
C’est l’équivalent suisse du Planning familial « Santé sexuelle » qui est à l’origine d’une traduction française accessible au public, cette année. Une pétition a été lancée en France contre ce rapport, affirmant qu’il était sur les bureaux des ministères. Difficile de le savoir. Ce qui est sûr, c’est que notre gouvernement partage la même idéologie ; ils l’ont prouvé cette année… et le pire est à craindre.
On passe outre l’innocence des poupons et on démarre au berceau : de zéro à quatre ans, il est temps d’apprendre la « masturbation enfantine », de laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites » – sexuels, entendons-nous bien – en « jouant au docteur ».
Inutile de protester, l’OMS a anticipé la réaction des parents réacs qui refuseraient que quiconque « joue au docteur » avec leur nourrisson : « Ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés. »
Prière de ravaler vos préjugés et de laisser faire les pros. Forte de ses « spécialistes », l’OMS propose en effet « une information objective, scientifiquement correcte », quand les parents ne sont que « sources informelles ». Les États relais veilleront …
Jeudi, Najat Vallaud-Belkacem annonçait qu’elle envisageait de retirer une part fiscale aux familles dont un seul membre travaille. Difficile de ne pas y voir un moyen de séparer les enfants de ces « sources informelles », obstacles potentiels au bon endoctrinement… Mères de famille qui avez à cœur d’aider vos enfants à grandir : au travail, pendant que l’État s’occupe de vos enfants « scientifiquement ».
Reprenons. Ils ont quatre ans et, outre la masturbation, connaissent « les différentes sortes de relations familiales » et savent qu’ils peuvent « explorer les différentes identités sexuelles ».
Il est donc temps d’apprendre « l’égalité entre les sexes », les émotions liées à l’amour que sont « jalousie, colère, agressivité et déception », et enfin « l’amitié et l’amour envers les personnes de même sexe ».
Ayant fêté leurs six ans, bien conscients des « différentes normes en matière de sexualité », il est urgent de leur parler « éjaculation et menstruation » et « méthodes de contraception ». Oui, à six ans. Puis on enchaîne sur « les rôles socialement associés aux genres ».
Du coup, de neuf à douze, on explore le monde du Planning familial, des MST, des orientations sexuelles en insistant sur « l’influence des inégalités liées au genre (oui mais quel definition du genre celui de l'OMS dont l'etude a ete payee par rockefeller institute ou bien de Mme B.?) » et du coup, la pression exercée par « le groupe, la culture, la religion, la loi ». Passé douze ans, il reste à parler d’avortement et de « grossesse dans les couples de même sexe ».
Les petits de quinze ans aborderont alors la PMA, la GPA, le don de sperme et la prostitution pour que l’éducation soit complète.
Alors, non seulement les rédacteurs souhaitent en faire « un cadre de référence » en Europe, mais en bons colonisateurs mondialistes rêvent de l’imposer « comme argumentaire pour un plaidoyer en faveur de l’introduction d’une éducation sexuelle holistique dans chaque pays ».
Il convient donc de rappeler l’histoire de David Reimer, l’un des premiers cobayes de ce genre d’éducation. Elevé comme une fille à la suite d’une circoncision ratée, il a subi toutes les étapes clés de ce rapport, avant d’apprendre la vérité et de « redevenir » un garçon.
À 38 ans, c’est le suicide qu’il a finalement « choisi ».
Dernière édition par AIKI59 le Jeu 30 Jan - 3:10, édité 1 fois
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 2:44
don de sperme et d'ovule la suite!
Une bioéthicienne veut en finir avec la grossesse
Anna Smajdor au premier plan Source photo : progress.org.uk
"Les fonds publics devraient servir à la recherche sur l’ectogenèse – la gestation en utérus artificiel – pour mettre fin à la réalité « barbare » de la grossesse et de l’accouchement". C’est ce que propose une « bioéthicienne » britannique reconnue, Anna Smajdor, pour qui c’est là la seule façon de mettre un terme aux inégalités entre hommes et femmes.
C’est l’idéologie du genre poussée à son paroxysme – mais en même temps il ne s’agit pas d’une proposition considérée comme aberrante ou extrémiste puisqu’elle s’exprime dans une revue universitaire de premier plan, le Cambridge Quarterly of Healthcare Ethics, et qu’elle émane d’un professeur d’éthique à l’université d’East Anglia.
Anna Smajdor soutient que la grossesse et l’accouchement sont si douloureux, si risqués et imposent tant de limites aux femmes sur le plan social qu’aucune société libérale ne devrait les tolérer.
Aujourd’hui l’utérus artificiel est de l’ordre de la science-fiction, affirme Anne Smajdor, mais il n’est pas impossible de le réaliser. Et il le faut, estime-t-elle :
« Le changement des structures financières et sociales peuvent bien améliorer les choses à la marge, mais il faut trouver une meilleure solution. Soit nous considérons les femmes comme des porteuses de bébés qui doivent subordonner leurs autres intérêts au bien de leurs enfants, ou bien nous devons admettre que nos valeurs sociales et notre niveau d’expertise médicale ne sont désormais plus compatibles avec la reproduction “naturelle”. »
http://www.invitrofilm.com/watch/
Pour Anna Smajdor, la grossesse est un processus « barbare », rapporte l’excellent site australien BioEdge à qui j’emprunte cette information : une maladie comparable à la rougeole, fatale à l’occasion, mais qui ne dure pas neuf mois… http://www.frequency.com/video/anna-smajdor-be-aware-of-limits-of/107077863/-/5-439 La chercheuse a bénéficié du soutien financier de la Wellcome Trust (la deuxième fondation mondiale pour la recherche médicale après celle de Bill et Melinda Gates) pour sa thèse de doctorat et pour co-réaliser un court-métrage sur la fécondation in vitro sur une femme scientifique qui, cherchant à échapper aux restrictions légales imposées à la recherche, en fécondant un de ses ovules à partir de sperme fabriqué avec sa propre moelle osseuse.
Le Dr Jean-Pierre Dickès a décidément raison d’annoncer que le véritable objectif de la procréation artificielle est de permettre de créer L’homme artificiel…
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 4:20
theorie du genre le cas david raimer -1
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (juin 2013). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section ) David Reimer (22 août 1965 - 5 mai 2004) était un Canadien né garçon et en bonne santé ; une circoncision mal faite lui valut l'ablation du pénis1 et, pensant que c'était le mieux à faire, on pratiqua une réassignation sexuelle à ses 22 mois et, après un début de socialisation en tant que garçon, on tenta de l'élever désormais en lui imposant une éducation genrée en tant que fille (réassignation cachée jusqu'à ses 15 ans et séances régulières avec le psychologue John Money). Avant l'adolescence de David, le psychologue John Money parlait de cette réassignation comme d'une réussite et voulait en faire la preuve que l'identité sexuelle est essentiellement due à l'éducation. Cependant, David Reimer, malgré l'ablation de ses organes génitaux mâles, ne s'est jamais considéré comme une fille ; à quinze ans David, devenu Brenda, voulut reprendre son identité masculine. Par la suite il publia son histoire pour décourager les réassignations sexuelles faisant fi du consentement de la personne concernée. Il se suicida à l'âge de 38 ans.
Sommaire 1 Biographie 2 Impact social de l'histoire de David Reimer 3 Voir aussi 3.1 Notes et références 3.2 Liens externes Biographie[ ]
David Reimer naquit à Winnipeg dans le Manitoba ; il avait un vrai jumeau, Brian, et son nom alors était Bruce. Quand ils eurent six mois on s’inquiéta de voir que les deux garçons avaient des difficultés à uriner et on diagnostiqua un phimosis. Il fut donc décidé de les faire circoncire à l'âge de huit mois. On ne sait pas si des thérapies alternatives furent essayées. Le 27 avril 1966, le chirurgien Jean-Marie Huot et l'anesthésiste Max Cham pratiquèrent la circoncision à l'aide d'une machine à cautériser Bovie, alors que celle-ci n’était pas destinée à être utilisée sur les extrémités ni sur les organes génitaux. Le pénis de Bruce se retrouva irrémédiablement endommagé. On préféra alors ne pas faire circoncire Brian qui guérit fort bien sans traitement supplémentaire.
Les parents de Bruce, pensant à son bonheur futur et à sa vie sexuelle sans pénis, le conduisirent au Centre médical Johns-Hopkins à Baltimore pour soumettre son cas à John Money, un psychologue qui, dans le domaine du développement sexuel et de l'identité de genre, jouissait d’une réputation de pionnier fondée sur son travail avec des patients intersexués. Money était partisan de la théorie selon laquelle l'identité de genre est relativement plastique au cours de la première enfance et se développe essentiellement à la suite de l'apprentissage social qui la suit ; certains universitaires vers la fin des années 1960 croyaient que toutes les différences psychologiques et de comportement entre garçons et filles sont le résultat d’un apprentissage. Avec d'autres médecins qui travaillaient avec des petits enfants nés avec des organes sexuels anormaux, il croyait que, si un pénis ne peut pas être remplacé, un vagin fonctionnel peut être réalisé par une opération et que Bruce atteindrait mieux son épanouissement sexuel fonctionnel en tant que fille plutôt tant que garçon.
Ils persuadèrent ses parents qu'une réassignation sexuelle serait pour Bruce le plus profitable et, à l'âge de 22 mois, on lui enleva chirurgicalement les testicules. On l'éleva donc comme une fille et on lui donna le nom de « Brenda ». Le soutien psychologique après sa réassignation chirurgicale fut confié à John Money, qui continua à voir Brenda pendant plusieurs années, à la fois pour son traitement et pour écrire une étude. Cette réassignation était considérée comme un cas particulièrement intéressant pour tester le concept d'apprentissage social d'identité de genre et pour deux raisons. D'abord, Bruce/Brenda avait un frère jumeau, Brian, ce qui constituait un contrôle idéal puisque les deux enfants ne partageaient pas seulement leurs gènes et l'environnement familial, mais ils avaient également eu le même environnement intra-utérin. Ensuite, on se disait qu'il s'agissait de la première réassignation avec reconstruction exécutée sur un bébé garçon qui ne présentait aucune anomalie dans la différentiation sexuelle prénatale ou néo-natale.
Pendant plusieurs années, Money publia des rapports sur l'évolution de Brenda qu'il appelait « le cas John/Joan », décrivant chez elle un développement féminin apparemment réussi, et il utilisait cet exemple pour soutenir qu'une réassignation sexuelle avec reconstruction chirurgicale était parfaitement réalisable, même dans les cas où il n'y avait pas d'intersexuation. On donna des œstrogènes à Brenda quand elle atteignit l'adolescence pour provoquer le développement de sa poitrine. Et pourtant Brenda ressentait les visites à Baltimore comme des traumatismes plutôt que comme une thérapie, si bien que sa famille arrêta le suivi, mais John Money s'abstint de rien publier sur le cas qui pût laisser entendre que la réassignation n'avait pas été réussie.
Ce que Reimer écrivit deux décennies plus tard, en collaboration avec John Colapinto, nous montre comment, et contrairement à ce que prétendait Money, Brenda n'avait pas l'impression d'être une fille. Elle était victime de l'ostracisme et des brimades des autres enfants, et ni les jolies robes ni les hormones féminines ne la faisaient se sentir une femme2. À l'âge de 13 ans, Brenda passa par une phase de dépression suicidaire et déclara à ses parents qu'elle se tuerait s'ils l'obligeaient encore à voir John Money. En 1980, les parents de Brenda lui apprirent la vérité sur sa réassignation sexuelle, sur les conseils de l'endocrinologue et du psychiatre de Brenda. Quand elle eut 15 ans, Brenda décida de reprendre une identité masculine et se fit appeler David. Après avoir appris à entretenir de nouvelles relations avec son ex-sœur, Brian commença à éprouver toute une série de troubles mentaux qui se développèrent plus tard en schizophrénie. À partir de 1997, David se soumit à un traitement pour inverser la réassignation, avec injections de testostérone, une double mastectomie et deux opérations de phalloplastie. Il se maria également avec une femme et devint le beau-père des trois enfants qu'elle avait.
Son cas commença à être connu du monde entier en 1997 quand il raconta son histoire à Milton Diamond, sexologue connu, qui réussit à obtenir de lui l'autorisation de la publier, afin de dissuader les médecins de traiter de la même façon d'autres bébés. Peu après, David rendit publique son histoire et, en décembre 1997, John Colapinto publia dans Rolling Stone Magazine un compte-rendu qui connut une large diffusion et eut un grand impact. Ils continuèrent en exposant l'affaire plus en détail dans un livre.
Bien que cette publication eût donné à David Reimer une sécurité financière plus grande, il connaissait beaucoup d'autres problèmes dans sa vie, entre autres une séparation d'avec sa femme, de graves difficultés avec ses parents et la mort de son frère jumeau Brian, en 2002, victime d'une combinaison toxique d'alcool et d'antidépresseurs. David Reimer se suicida en 2004.
Impact social de l'histoire de David Reimer[ ]
Le rapport sur David Reimer et le livre qui l'a suivi ont influencé de nombreux cabinets médicaux et la compréhension actuelle de ce qui détermine l'identité sexuelle. Cette affaire a accéléré la défaveur de la réassignation sexuelle et de la chirurgie dans les cas de bébés XY, mâles sans équivoque mais avec un micropénis, et quand il s'agit de différentes autres malformations congénitales rares ou de la perte du pénis au cours de la première enfance.
Elle a renforcé au contraire les arguments de ceux qui estiment que les hormones prénatales et de la toute première enfance exercent une forte influence sur la différentiation du cerveau, l'identité de genre et peut-être d'autres conduites dues au dimorphisme sexuel. On hésite maintenant à pratiquer une réassignation sexuelle dans les cas de situations intersexuées dues à une insuffisance sévère de testostérone ou à une insensibilité à ses effets. Pour certaines personnes, il est impossible de savoir à l'avance quelle sera l'identité ou la préférence sexuelle et elles doutent de la capacité des médecins à faire de telles prédictions, elles ne trouvent pas raisonnables d'utiliser la chirurgie génitale réparatrice pour assigner un sexe déterminé à un bébé qui présente un état intersexué ou un défaut de l'appareil génital : il faut attendre que l'individu soit assez âgé pour choisir lui-même.
Les intactivistes, qui s'opposent à la circoncision comme à la réassignation sexuelle qui n'est pas demandée par l'individu lui-même, voient dans l'histoire de David Peter Reimer la démonstration du fait qu'on ne doit pas modifier inutilement les organes sexuels de mineurs non consentants.
Cette affaire a causé un tort considérable à la réputation de John Money. Non seulement sa théorie de la plasticité du genre sexuel a reçu un coup sévère, mais dans son livre Reimer a raconté les séances de thérapie étranges et insupportables qu'il avait subies dans son enfance et il a montré que Money n'avait rien vu ou rien voulu voir alors qu'il était de plus en plus évident que la réassignation de Brenda était un échec. Les partisans de Money ont supposé que certaines des allégations sur les séances de thérapie peuvent avoir été le résultat d'un syndrome des faux souvenirs.
La réputation du Centre Médical Johns Hopkin qui passait pour une institution d'avant-garde pour soigner les individus intersexués et les situations transgenres a été elle aussi profondément atteinte. En définitive, les théories de la malléabilité et de la construction culturelle de l'identité de genre, déjà en déclin chez les spécialistes au cours des années 1990, sont devenues plus difficiles à défendre, et cette affaire a apporté un solide argument factuel en faveur de la thèse selon laquelle, en matière d'identité sexuelle, la nature l'emporte sur l'éducation.
AIKI59 Membre ACTIF
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 4:21
theorie du genre draimer et John Money,
J. Money est né le 8 juillet 1921 et mort le 7 juillet 2006, est un psychologue et sexologue néo-zélandais.
Il a fortement contribué à forger le terme anglophone gender dans son acception académique, à savoir les différences socialement construites entre hommes et femmes1.
Il fut critiqué pour l'opération chirurgicale de réattribution sexuelle réalisée sur David Reimer, alors âgé de 22 mois.
Sommaire 1 Biographie 2 Ouvrages de sexologie 2.1 Identité sexuelle, identité du genre et gender roles 2.2 Gay, Straight and In-Between: The Sexology of Erotic Orientation 3 Controverses 3.1 La réattribution sexuelle de David Reimer 3.2 Tolérance de la pédophilie 4 Références 5 Lien externe Biographie[ ]
Né à Morrinsville en Nouvelle-Zélande, d'une famille issue du courant des Frères de Plymouth, John Money étudie la psychologie à l'université Victoria de Wellington et y obtient un double master en psychologie et éducation fin 1944. En 1947, à l'âge de 26 ans, il émigre aux Etats-Unis pour étudier à l'Institut Psychiatrique de l'université de Pittsburgh puis obtient son PhD à l'université de Harvard en 1952. Il a été brièvement marié dans les années 50 et n'a pas eu d'enfants.
Au cours de sa carrière, Money propose et développe plusieurs théories auquel il associe une terminologie spécifique : l'identité de genre, les rôles de genre, et les lovemaps (en). Money fut professeur de pédiatrie et de psychologie médicale à l'université Johns Hopkins de 1951 à sa mort. Durant cette période, il participa au département sur les comportements sexuels (Sexual Behaviors Unit), qui lança des études sur la chirurgie de réattribution sexuelle. La Société allemande pour la recherche socio-scientifique sur la sexualité (en) lui décerne la médaille Magnus Hirschfeld en 2002.
Money était un grand amateur d'art néo-zélandais, aussi bien littéraire que visuel. Il était l'ami et le partisan notoire de l'écrivain Janet Frame. En 2002, alors que sa maladie de Parkinson s'aggrave, Money fait don d'une part substantielle de sa collection d'art à l'Eastern Southland Art Gallery de Gore en Nouvelle-Zélande. En 2003, la première ministre de Nouvelle-Zélande, Helen Clark, y inaugure l'aile John Money.
Money décède le 7 juillet 2006, à Towson dans le Maryland, des suites de complications de sa maladie de Parkinson.
Ouvrages de sexologie[ ]
Identité sexuelle, identité du genre et gender roles[ ]
La définition du genre de Money repose sur sa compréhension des différences entre les sexes parmi les êtres humains. Selon lui, le fait qu'un sexe produise des ovules ou des spermatozoïdes est l'irréductible critère de différenciation des sexes. Cependant, d'autres différences dérivent de cette première dichotomie.
Ces différences impliquent la manière dont l'urine est expulsée du corps, ainsi que d'autres dimorphismes sexuels. Selon la théorie de Money, les différences sexuelles « connexes » sont caractérisées par la plus petite taille des femelles, ainsi que leurs problèmes de déplacements pendant la grossesse ; ce qui rendrait les mâles plus aptes à l'itinérance et à la chasse. Les différences sexuelles « arbitraires » sont celles purement conventionnelles : par exemple le choix des couleurs (bleu pour les garçons, rose pour les filles). Certaines différences apparaissent plus tardivement, comme les opportunités de carrières pour les hommes par rapport aux femmes.
Enfin, Money créa le terme gender role (rôle de genre) qu'il différencie du concept plus traditionnel de « rôle des sexes ». Selon lui, les organes génitaux ainsi que les rôles érotiques sexuels devaient désormais, selon sa définition, être désignés par le terme plus général de "rôle des genres", ainsi que les activités non-érotiques et non-génitales définies conventionnellement par la société comme s'appliquant aussi bien à l'homme qu'à la femme.[réf. nécessaire]
Money fit du genre un concept plus large que celui de mâle/femelle. Il y intègre non seulement le statut d'homme ou de femme, mais aussi une question de reconnaissance personnelle, de place dans la société, une définition juridique ; il ne se fonde pas seulement sur les organes génitaux mais aussi sur des critères comportementaux et somatiques qui vont au-delà de la différenciation génitale.
L'identité de genre est la catégorisation de soi-même comme homme, femme ou ambivalent, en fonction de ce que le sujet ressent et de ce qu'il perçoit de son comportement.
Le « rôle du genre » est la manifestation publique de son identité de genre, ce que l'on dit ou fait qui donnent aux gens une base pour déterminer si untel est un homme, une femme, ou n'entre dans aucune de ces deux catégories.
Pour souligner l'idée que l'identité de genre et les rôles de genre sont deux aspects de la même question, Money inventa un nouveau terme : Gender-Identity/Role ou G-I/R (l'identité/rôle de genre).
Money inventa également le terme de lovemap (en).
En 1972, Money présenta ses théories dans Man & Woman, Boy & Girl, ouvrage grand public de vulgarisation. Le livre prend comme point de départ le cas David Reimer (voir plus bas).
Gay, Straight and In-Between: The Sexology of Erotic Orientation[ ]
Dans ce livre, (Oxford 1988 : 116), Money définit le concept de bodymind, "corps-esprit", comme un moyen pour les scientifiques de sortir des lieux communs de la dichotomie entre inné et acquis, nature et éducation, biologique et social et psychologique et physiologique en développant une science de la sexualité. Il suggère que toutes ces dichotomies se fondent sur l'ancienne conception, préplatonicienne et prébiblique, de l'opposition du corps et de l'esprit, du physique et du spirituel. En fabriquant ce terme de « corps-esprit », Money souhaite aller au-delà de ces principes profondément enracinés dans notre folklore et notre psychologie vernaculaire.
Money développe en même temps (Oxford 1988: 114-119) une vision des "concepts du déterminisme" qui sont transculturels, transhistoriques et universels : tous les humains les ont en commun, sexologiquement parlant ou non. Ceux-ci incluent le pairbondage (l'attachement deux par deux, mère-enfant et mâle-femelle), le troopbondage (le regroupement en famille, tribu...), l’abidance (la survivance dans un milieu donné), l’ycleptance (la tendance à nommer) et le foredoomance (la condition mortelle), ainsi que les stratégies d'évitement dites d’engagement, d’inhibition et d’interprétation2.
Controverses[ ]
La réattribution sexuelle de David Reimer[ ]
Article connexe : David Reimer. Durant sa vie professionnelle, Money fut considéré comme un expert des comportements sexuels, spécialement pour avoir démontré que le genre était un acquis, un apprentissage plutôt que quelque chose d’inné. Plusieurs années plus tard, cependant, son cas le plus célèbre se révélera un échec. Il s'agit de la réattribution sexuelle de David Reimer, également connue comme « le cas John/Joan » dans le monde académique.
En 1966, une circoncision ratée laissa Bruce Reimer, alors âgé de 8 mois, sans pénis. Sur la recommandation de Money, 14 mois plus tard, on décida de faire du bébé une fille : on procéda à une ablation des testicules et on rebaptisa Bruce Brenda. Money recommanda également un traitement hormonal lourd à base d’œstrogènes (ce qui fut fait) ainsi qu'une vaginoplastie à la puberté (ce qui ne fut pas fait). Money publia un nombre important d'articles affirmant que la réattribution était un succès.
En 1997, Milton Diamond rapporta que la réattribution était au contraire un échec, que Reimer ne s'était jamais identifié comme femme ou comporté d'une manière typiquement féminine, qu'il avait changé de traitement hormonal pour prendre de la testostérone, et qu’il avait pris le nom de David à l'adolescence. Money fut accusé d'avoir falsifié ses recherches, mais ses défenseurs répondirent qu'il ne voyait Reimer qu'une fois par an durant toute la période de son implication sur ce cas, qu'il n'avait eu aucun contact avec la famille Reimer après 1978, et que durant ses visites annuelles, la famille avait menti à l'équipe du laboratoire sur les progrès de l'enfant.
« Je me sentais comme Frankenstein, une création de laboratoire » déclara David à la presse. Dès l’âge de six ans. Money l’inonde ainsi de questions lancées en rafale: as-tu le goût de faire l’amour avec des garçons? Quelle est la différence entre un garçon et une fille? Aimes-tu ce que tu as entre les deux jambes? « C’était comme un lavage de cerveau » avouera plus tard David au journaliste John Colapinto, lequel écrira un livre dévoilant le pot-aux-roses, As Nature Made Him: The Boy who Was Raised as a Girl. [réf. nécessaire]
En 2000, David et son frère jumeau, Brian, déclarèrent que le Dr Money avait pris plusieurs clichés des jumeaux nus durant leur traitement et les forçait à simuler l’acte sexuel, croyant que cela les aiderait à bâtir leurs identités sexuelles respectives3. En 2002, le frère jumeau de David fut trouvé mort des suites d'une overdose des médicaments qu'il prenait pour traiter sa schizophrénie. Le 5 mai 2004, peu après avoir rompu avec sa femme, David Reimer se donne la mort. Ses parents ont déclaré qu'ils croyaient que les méthodes de Money étaient responsables du décès de leurs deux fils.
Money déclara que la réaction des médias aux révélations était le fait de l’extrême droite et des mouvements anti-féministes. Il déclara notamment que ses détracteurs croyaient que « la masculinité et la féminité étaient d'origine génétique, de sorte que la place des femmes devait être à la cuisine et au lit ». Cependant, les activistes intersexes ont aussi critiqué Money, déclarant que l'échec dissimulé du cas David Reimer avait conduit à la réattribution sexuelle traumatique de milliers d'enfants. D'après ses collègues, en privé, Money aurait été mortifié par le scandale, et personne ne devait l'évoquer en sa présence. Ses propres opinions se développèrent et changèrent au fil des ans.
Tolérance de la pédophilie[ ]
John Money joua un rôle dans les débats sur la chronophilie, incluant l'infantophilie, l'éphébophilie, et la pédophilie. Il affirmait que ni les chercheurs ni le public ne faisaient la distinction entre pédophilie affective et pédophilie sadique. Money croyait que la pédophilie affective se fondait sur l'amour et non sur le sexe. Son opinion était que la pédophilie affective était causée par un surplus d'amour parental qui devenait érotique, et n'était donc pas un trouble du comportement.
« Si j'étais témoin du cas d'un garçon âgé de 10 ou 11 ans intensément et érotiquement attiré par un homme d'une vingtaine ou d'une trentaine d'années, et que la relation était totalement réciproque... alors je ne pourrais la qualifier de pathologique en aucune manière. »
[réf. souhaitée]
En revanche, il estimait que l'hétérosexualité était un autre exemple d'un concept sociétal, et donc, idéologique et superficiel[pas clair].
Il a été découvert que Money a écrit dans une revue hollandaise traitant de la pédophilie, Paidika[réf. nécessaire].
Références[ ]
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « John Money » (voir la liste des auteurs) ↑ David Haig, « The Inexorable Rise of Gender and the Decline of Sex: Social Change in Academic Titles, 1945
AIKI59 Membre ACTIF
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 4:32
theorie du genre-3 fondation à l'institut kinsley
27.10.10 E. Blanc: Kinsey a payé mon père pour me violer
À 20h53, par Juanjo Romero Catégories: guerre culturelle , l'avortement , l'homosexualité (de hall gay) , famille Kinsey. Couverture de Time en Août 1953
Deux des grands gourous du progressisme étaient entomologistes: Paul R. Ehrlich expert sur les papillons, et Alfred Kinsey dans guêpes et la taxonomie. Les deux ont sauté à la même discipline: sociologie, pense que c'est juste un bug pour un autre changement.
La première, avec son livre apocalyptique " The Population Bomb " (1968) a éclaté, la part du Club de Rome, une campagne massive de stérilisation et la mise en œuvre des politiques anti-natalistes, y compris l'avortement, à travers le monde forcées. Oui, dans le cadre du mandat de l'ONU et d'autres organismes internationaux. Crier "ne tient pas" la vie et la dignité de nombreuses personnes ont été fauchées. Rien de moins méthode et des critères scientifiques, pas connus des prévisions précises , mais toujours récompenses reçoivent .
Ehrlich fournit un pseudo petit vernis recette progrès que l'élimination de la pauvreté est d'éliminer les pauvres .
Le cas de Kinsey a, à première vue le même fil . Deux livres « de comportement sexuel chez l'homme "(1948) et" Le comportement sexuel des femmes "(1953) avec des problèmes techniques et méthodologiques graves, pseudocientífique et soutenant la soi-disant« révolution sexuelle ». En outre, les données et les conclusions ont été contestées par des recherches ultérieures, et je ne les utiliser dans le homosexualist d'accueil , inaccessible au découragement que leurs slogans répétés comme un mantra, les partisans de la dépénalisation de la pédophilie et de la Planned Parenthood avortement pour leurs programmes et l'éducation sexuelle.
Mais tout Ehrlich n'était rien de plus qu'un mauvais sociologue, Kinsey aurait épaissi la liste des personnes les plus vicieuces dans l'histoire de l'humanité, avec des méthodes qui font la ange de la mort dans un compagnon digne. Dans le début des années 30, les pathologies sexuelles Kinsey propre course sauvage et de commencer un processus d'auto-justification (enregistrer les détails sordides).
Avec le changement de recteur de l'Université de l'Indiana en 1938 voir le ciel-enfer-ouverte. Le nouveau président a voulu mettre l'institution au premier plan académique. Kinsey avec son éducation sexuelle propose une nouvelle approche et a entrepris la direction d'un séminaire sur le mariage et la famille. Utilisez le cours pour susciter chez les étudiants des confidences sur leurs expériences sexuelles, mais il les a suspendus pour les plaintes répétées des élèves.
Pour être libre des pressions exercées sur lui, et abusant de sa position il a fondé le Institut de recherche en sexualité le L.A. Research Kinsey Institute en 1947. Il est allé au-delà de toutes sortes de dépravations, notamment en encourageant la pratique de la pédophilie et la brutalité sexuelle bestiale . Le « et »n'est pas exclusif.
Les fichiers dans de nombreux cas filmées continuent à l'Institut comme un musée des horreurs. L'institution, qui refuse l'accès à la documentation, a récemment essayé de nettoyer son image avec un film hagiographique avec Liam Neeson.
Les recherches menées avec plusieurs centaines d'enfants, de deux mois à 15 ans, les actes sexuels perpétrés pratiqué par un groupe de neuf personnes. Certains d'entre eux ont été « formés » . Le rapport Kinsey "sur les hommes», dit que les enfants réagissaient à la manipulation sexuelle par neuf adultes de diverses manières: se tordant, hurlant horriblement, eu des convulsions violentes, des tremblements grande et / ou ressenti une douleur horrible.
Mais malgré les tentatives pour les intervenants que leurs vraies couleurs viennent s'allume pas aller pour entendre les causes . C'est navrant. Le dernier, une interview d'Esther Blanc seud. , victime des expériences de Kinsey émises à WND en deux parties ( Partie 1 et Partie 2 ) Je n'ai pas de courage de traduire, désolé. Les Détails font s'ouvrir ma chair en deux. Il raconte comment son grand-père a travaillé avec Kinsey et a abusé d'elle. Son père beaucoup, car il avait sept ans. Et son oncle puis son cousin.
Chronomètre en main a les détails et les réactions dans un questionnaire . Ne pas utiliser la force physique en premier, puis forcer l'inceste avec le père, puis avec la peur. La pauvre fille a pensé que si elle n'obtempere pas sa mère divorcera. Puis, avec la bande dessinée pour la science . Finalement, il a utilisé l'argent.
Mais fin plein d'espoir, et après avoir montré que pardonne dit " nous devons amener les parents à se rendre compte que les travaux de chasteté. Le planning familial a lavé le cerveau des deux dernières générations disant cela ne fonctionne pas. Je pratique la chasteté et j'ai eu un merveilleux mariage »
Le gouvernement américain a présenté ses excuses pour l'expérimentation de l'homme, infectant les Guatémaltèques d'une maladie vénérienne , de façon planifiée et systématique. C'est une bonne occasion de soulever des tapis et supposez pas que quelque chose se passe. Qui va demander que cet entretien n'était pas nouvelles en Espagne? . Trop d'intérêts impliqués demasida manque de respect pour la dignité de la personne.
J'ai essayé d'être aussi doux que possible, mais je l'ai fait, je m'excuse, je n'ai pas pu faire autrement. En fait, j'ai ravi de l'interview et je vous encourage à prier pour les victimes et les auteurs .
Invité Invité
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 7:23
rumeur confirmé c'est du bidon de A à Z !!
jachal Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 10:15
On a bien compris ce que les masturbeurs de neurones nous pilonnent comme étant une vérité : il n'y a plus de normes "hommes-femmes", plus de sexes, mais que des comportements "de genre" qui correspondent à une définition transitoire se rapportant à un sexe ou à un autre. C'est intellectuellement défendable.
A partir de là se dire "homme" ou "femme" ne veut plus dire grand chose.
Il faudrait donc, comme pour le Camemberg, que chacun procède à une autoévaluation pour dire "actuellement je suis 70% masculin, 20% féminin.... et pour le reste c'est indéterminé."
Et pourquoi pas dire "10% cochon" si le comportement est assimilable pour 10% à celui du "genre cochon" !
La pédophilie est aujourd'hui considérée par certains pervers à la recherche de plaisirs défendus comme une initiation normale des enfants à leur intimité sexuelle. Comme cela ils ne culpabilisent pas et considèrent même qu'ils font "du social". Un ancien maoïste de la CIA passé ensuite chez les écologistes s'en est d'ailleurs vanté dans un livre. Certaines sectes en avaient fait un moyen de recrutement : "laissez venir à vous les petits enfants..." et surtout n'oubliez pas de verser votre cotisation mensuelle...
Pourra-t-on un jour dire "Tiens, demain j'épouse mon chien" car nous avons tous les deux une relation de "genre" très particuliere... ?
Devant la difficulté grandissante d'avoir des enfants il apparaît aujourd'hui que la production d'enfants se "délocalise" dans des pays pauvres mais où les femmes sont fécondes. On loue un ventre, on achète un enfant (pardon on verse une contribution sociale). Qui peut acheter, louer : en théorie tout le monde sans distinction de sexe puisqu'ils ne veulent plus rien dire... (sauf que pour ces pays pauvres cela veut encore dire quelque chose).
L'étape suivante, déjà appliquée aux animaux, et donc applicable aux humains est le développement de foetus in vitro pour donner des êtres clonés. Il n'y a d'obstacles pour la procréation humaine que ceux que les sociétés veulent bien se donner. On voit aussi que dans certains pays la pratique eugéniste est très avancée : de futures mères peuvent choisir la couleur de peau, des yeux, la taille de leur futur enfant mais aussi des qualités intellectuelles ou artistiques supposées. Imaginez si Einstein avait conservé son sperme le prix qu'il atteindrait aujourd'hui à la bourse... (Les jeunes, va falloir réfléchir avant de se faire des petites joies en solitaire !)
Mes amis je vous le dis on marche sur la tête. Car trêve de plaisanterie : on y va à grands pas...
Cet article ne restera sûrement pas dans les annales mais il est de moi-même. Je ne suis pas aller piocher dans le prêt-à-penser de Wikipédia ou autres sites internet.
fabrice Membre ACTIF (Ancien d'Essania)
Nombre de messages : 1008 Age : 59 Localisation : montreal Date d'inscription : 06/06/2006
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Jeu 30 Jan - 14:10
il me semble (de mémoire) qu'en Atlantide ou Lémurie, ils travaillaient sur les mêmes projets et sur l'atome avant de disparaître car pas encore mature pour gérer les conséquences.
AIKI59 Membre ACTIF
Nombre de messages : 324 Age : 50 Localisation : LILLE Date d'inscription : 07/02/2012
Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre Ven 31 Jan - 8:56
d'apres Edgar Cayce, en Atlantide existait une technologie recuperant l'energie rayonné par un grand cristal ou chacun puisait son energie grace a une radio recepteur energetique syntonise sur ce cristal comme la technologie tesla sans fil avec sa tour waydencliffe je crois.
Aussi en meme temps existait une poursuite de changement genetique transformer les hommes mi animaux legendaires issu de manipulation genetique pour les reparer et les rendre 100pcent humains avec le moins de caracteriqtiques animales cependant qu'un autre courant de chercheur(les fils de Bélial ou de Bel?, Bal?) manipulait s'amusait inconsciemment avec la creation genetique.
D'apres cayce beaucoup de fruits exotiques aujourdhui sont issus de ces creations atlantes notemment bien sur la Tom'Atl d'Amerique du sud mais aussi beaucoup de fruits tropicaux.
Edgar cayce tome 1 2 3 Dorothee Koechlin de Bizemont.
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Sujet: Re: On veut nous imposer la Théorie du Genre