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 Jason Rice (14) IDARF Technologies

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Régis
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Jason Rice (14) IDARF Technologies Empty
MessageSujet: Jason Rice (14) IDARF Technologies   Jason Rice (14) IDARF Technologies Icon_minitimeMer 3 Avr - 4:51

IDARF Technologies
(29 janvier 2019)





Jason Rice (14) IDARF Technologies Jason_16



Bonjour à tous, ici Jay Weidner. Bienvenue dans Divulgation Cosmique. On est de retour avec Jason Rice, l’intrépide membre du Programme Spatial Secret.  Comment allez-vous, Jason ?

Jason Rice : Très bien, merci. Merci de me recevoir.

Jay :  Merci à vous de revenir. Parlez-nous des étranges appareils médicaux que vous avez vu quand vous serviez dans l’IDARF, la Force de réaction et de défense interplanétaire.

Jason : Bien sûr, Jay. La première chose avec laquelle j’ai été en contact et en lien avec la technologie médicale était ce scanner actif par lequel on devait passer pour entrer dans l’unité médicale de la base du FIG, le Fort Indiantown Gap, notre premier lieu d’entraînement.

Visiblement, ce qui s’était passé avant mon arrivée, c’est qu’il y avait certaines formes de vie qui avait tenté d’entrer dans l’unité médicale, qui est un endroit très contrôlé où ils ne voulaient pas que les technologies des nanites qu’ils avaient là soient hackées ou qu’on y introduise un virus. Et le problème a vraiment été porté à leur attention à une occasion où ils ont eu une personne qui, sans qu’ils le sachent, avait amené quelque chose dans l’unité médicale qui a causé tout un tas de problèmes avec les traitements aux nanites existants qu’ils avaient là à l’époque. Et pour faire en sorte de s’assurer qu’ils ne répéteraient pas ce type d’infections, ils ont mis en place un poste de contrôle de sécurité très strict à l’entrée de l’unité médicale.

Et ce poste de contrôle de sécurité comprenait une pièce fermée où chaque personne entrant ou sortant doit être scannée. C’est une technologie de balayage scalaire qui permet d’observer de manière active ce qui se passe dans le corps. Mais ça leur permet aussi de voir et observer certains champs énergétiques différents que le corps produit. C’est grâce à un des vecteurs énergétiques qu’ils avaient pu s’introduire dans le labo, moyennant un vecteur énergétique.

Jay : Un groupe d’aliens tentait d’entrer dans ce labo ?

Jason : C’était des services secrets extraterrestres qui tentaient d’avoir accès aux nanites et ils ont réussi. Et ils ont fini par en perdre.

Jay : Dans quel objectif ?

Jason : Le contrôle. Le but était le piratage.

Jay : OK.

Jason : Donc toute personne qui avait ou pourrait avoir reçu un traitement avec ces nanites infectées, serait susceptible d’être activé ou contrôlé à distance ou à l’extérieur, comme dans « Un crime dans la tête », où ils parviennent à avoir accès à des endroits où ils n’auraient pas eu accès.

Jay : N’est-il pas plus facile d’attendre que vous soyez sorti de la pièce pour vous pirater électroniquement ? Des nanites précises ?

Jason : Il existe des protocoles de sécurité une fois que les nanites sont incrustées. Et n’oubliez pas que le processus d’implantation des thérapies d’amélioration par nanites dure environ 24 heures. Et la raison à ça est qu’elles doivent pénétrer dans les moindres coins et recoins de notre corps. Donc parfois, elles tardent 8 à 12 heures pour se propager  dans les tissus les plus éloignés.

Une fois qu’elles sont dans le corps humain, le soldat dont-elles font partie possède certaines mesures de protection. Et il existe aussi certaines protections pour les commandes pour les empêcher d’être piratées.

Jay : Donc, ces extraterrestres tentaient d’entrer pour techniquement modifier les nanites ?

Jason : Pour techniquement infecter les nanites avec leur propre signature énergétique pour pouvoir alors, à distance et à volonté, contrôler certains aspects ou pouvoir contrôler l’hôte, l’individu.

Jay : Et je suppose que ce groupe alien n’a pas réussi ?

Jason : Pas du tout. Ils ont fini par infecter toutes les réserves de thérapies d’amélioration par nanites qu’ils avaient à ce moment-là. Et une partie de la surveillance qui a lieu 24 heures sur 24 dans ces installations comprend la détection de certaines signatures. Donc, dès qu’ils ont déterminé la présence de cette signature, ils ont été alertés de ce qui se passait, même s’ils n’en connaissaient pas l’ampleur.

Jay : Ce dispositif de balayage, voyait-il vos organes, votre fulx sanguin et…

Jason : Oui. C’est une technologie incroyable. Le type au poste de sécurité est un spécialiste, un soldat qui n’est pas un technicien médical. Mais pouvoir utiliser cette technologie pour voir le flux sanguin, le cœur qui bat, pour voir les trucs passant dans le système digestif, etc.  Et on peut le syntoniser et l’ajuster sur plusieurs profondeurs ou points de contact dans le corps, pour voir même le courant synaptique dans le cerveau.

Jay : Wow.

Jason : Donc, quand je suis arrivé de l’autre côté, après être passé dans le scanner, je suis allé à la fenêtre pour récupérer mes instructions et ce que j’avais avec moi. Et j’ai remarqué que ce n’est pas un écran de contrôle normal. C’est tout un mur. J’ai donc regardé le mur et j’ai vu que mon image était toujours affichée. Et je voyais tout, de la tête au pieds.


Jason Rice (14) IDARF Technologies Scan_c10


Apparemment, une autre raison de l’existence de cette pièce était qu’ils pouvaient maintenant avoir quiconque était un porteur non autorisé ou vecteur d’une infection enfermé dans une pièce. Cette salle avait aussi des sabords cachés accessibles depuis la salle de contrôle. Ils ont pris soin de les cacher pour qu’on ne voie pas d’où ils viennent, car ceux qui ont été infectés et qui deviennent psychotiques, le meilleur endroit pour quelqu’un comme ça est une pièce fermée. Voilà à quoi elle sert.

Jay : Donc, grâce au scanner, ils peuvent détecter des nanites infectées.

Jason : Exact.

Jay : J’ai compris. C’était il y a longtemps, cette technologie ?

Jason : C’était en 1997. Ils sont portables dans la mesure où ils ont aussi des scanners portatifs qui font la même chose. On peut donc s’approcher de quelqu’un avec un scanner portatif et regarder…

Jay : Comme Bones dans « Star Trek ».

Jason : Comme Bones, oui. Si c’est cassé, fissuré, si c’est une fracture, à ce point là.

Jay : Cela doit être utile en cas de combat.

Jason : C’est extrêmement utile de pouvoir voir et localiser spécifiquement le problème. Et ça ne se limite pas aux os et aux tissus, mais aussi aux organes, ou aux éclats d’obus, là où ils étaient passés. Il y a certains métaux ou certains éléments qui ne réagissent pas aux nanites et ils doivent être retirés d’une manière plus conventionnelle, ou par des procédés chirurgicaux plus avancés.

Jay : Ces nanites ont-ils un effet sur la psychologie, sur l’esprit humain ?

Jason : Par rapport à certains effets indésirables des nanorobots, les protocoles veulent qu’on peut contrôler la fonction surrénale, la sueur, le sommeil, les nutriments, l’eau, et on peut le faire de telle sorte que les nanites puissent utiliser tous les nutriments disponibles, puis vous vous retrouvez avec un déficit. Donc, il faut connaître la quantité qu’on peut utiliser, qu’on peut produire, que votre corps emmagasine. Une partie de l’entraînement consistait à apprendre quelles étaient ces limites.

Les thérapies supplémentaires d’amélioration par nanites pour non seulement les yeux et les oreilles, mais aussi l’épiphyse, et la capacité de concentrer l’énergie et l’attention sur certaines parties.

Une chose qu’on devait faire pour étudier nos thérapies d’amélioration par nanites était une des procédures de rétroaction qui veut que certains nanorobots peuvent être activés pour vibrer. C’est la meilleure façon de le décrire. Et ce qu’on peut faire, dans ce processus d’apprentissage, pour pouvoir identifier les différentes parties de notre corps qui sont soit malades, soit blessées ou qui ont besoin de nutriments… eh bien, grâce à cette boucle de bio-rétroaction où les nanites, par exemple dans la pointe du doigt, vibrent, faute de meilleur exemple : on peut identifier : « Ok, voici ce que la pointe de mon doigt ressent à cet endroit. » Et ça doit être calibré dans tout le corps pour pouvoir identifier les différents systèmes qu’on doit soit activer, soit désactiver, augmenter, accélérer.  

Et ça comprend l’épiphyse et la capacité à identifier ce qu’on ressent pour pouvoir dire : « Ok, je dois me concentrer, pas sur ma rotule, mais sur l’épiphyse. » Cela permet une meilleure performance de l’organe ou de la glande spécifique, ou du système qu’on cherche à améliorer. À nouveau, ça améliore tout le corps existant.

Jay : Ça doit être un programme d’intelligence artificielle qui dirige les nanites?

Jason : C’est une sorte d’intelligence artificielle. Ce n’est pas une intelligence artificielle autonome, car elle se fonde sur le fait que le corps, la personne, le soldat est l’intelligence artificielle, le cerveau. Il existe des systèmes autonomes où les nanorobots ne nécessitent pas de participation du soldat ou de l’individu. Mais la majorité est opérée par un opérateur.

Jay : C’est aussi intéressant que ça ait lieu ici sur Terre.

Jason : Oui. Et l’autre chose que j’ai remarquée est qu’avec une rétroaction biologique, et la capacité à se concentrer, et avec la discipline et la concentration, on n’a pas vraiment besoin des nanorobots pour acquérir cette capacité.  On entend parler de moines qui peuvent méditer dans la montagne avec des températures glaciales, et peuvent réguler leur température corporelle.

Et c’est la même chose. Les thérapies d’amélioration par nanites ne sont pas nécessaires pour faire cela. C’est un raccourci, ça réduit la durée nécessaire pour maîtriser ce type de compétences, mais on est tous équipés avec la structure fondamentale pour le faire nous-mêmes.

Jay : vous dites que vous pouviez réguler votre température corporelle à votre gré ?

Jason : Avec la thérapie d’amélioration par nanites.

Jay : Vous pouviez supporter un froid glacial ?

Jason : Absolument. On pouvait aussi redistribuer l’oxygène dans le corps, pour retenir son souffle pendant plus longtemps. On pouvait refroidir son corps plus vite grâce aux thérapies d’amélioration par nanites. Réguler ou modifier les habitudes de sommeil en altérant certaines hormones dans notre système, pour supprimer le besoin de dormir. Ça finit par vous avoir si ça dure trop longtemps. Le manque de sommeil est assurément un des problèmes à éviter.

Jay : Très fréquent en situation de guerre.

Jason : Tout à fait.

Jay : Avez-vous vu des programmes de clonage dans l’IDARF ?

Jason : À la fin de notre période d’entraînement, ils nous ont expliqué qu’ils avaient dit à nos familles qu’on était morts, pour nous inciter à continuer et pour nous embrouiller, en fait. On a plus le choix et on doit continuer ce qu’on faisait. Et certaines familles ont reçu des clones qui nous correspondaient à 100 % des pieds à la tête, pour avoir un corps à enterrer.

Jay : Vous aviez un clone toujours là en cas de besoin ?

Jason : Non, pas dans ce sens. Ils avaient toutes nos mensurations et informations analytiques pour pouvoir faire ce qu’ils devaient faire. Ils avaient notre ADN dans leurs dossiers s’ils devaient créer un clone. Donc, les seuls clones auxquels j’ai été exposé ou que je connaissais, j’en ai eu connaissance quand j’étais instructeur de la 333e au FIG à la fin de ma carrière.

Jay : Donc, lors d’une bataille, les nanites peuvent nous aider jusqu’à un certain point. Mais si une arme de gros calibre vous touche, que se passe-t-il quand ça arrive ? Quelle est la procédure ?

Jason : Eh bien, les nanorobots peuvent aussi arrêter la circulation sanguine, donc si un soldat perdait son bras, il ne saignait pas. Elles refermaient les capillaires sanguins pour éviter toute perte de fluides. Ça prend 10 à 30 secondes pour faire complètement effet. Et ça faisait partie des fonctions les plus autonomes de certains nanorobots. Si on a une pathologie où un soldat est dans un état de détresse médicale extrême, alors un des protocoles veut que le soldat soit plongé dans le coma, pour que ça ralentisse tous ses processus, et pour que sa chance de survie augmente, et ainsi, ils ne paniquent plus à l’idée d’avoir perdu des membres ni parce qu’il y a du sang partout.

Jay : Et vous avez dit précédemment qu’ils pouvaient remplacer votre bras.  

Jason : Oui, il repousse. Il repousse grâce à une technologie avancée. Le processus que j’ai subi comprenait une immersion dans une substance comme du gel. Et il comprenait, en gros, une impression en 3D de ce qu’ils avaient dans leurs dossiers. Ils connaissaient jusqu’à la dernière veine de mon corps, et purent donc le recréer.


Jason Rice (14) IDARF Technologies Imprim10


Le défi n’était pas de recréer les membres perdus. Le défi était de réapprendre à les utiliser, car même si les circuits sont toujours connectés aux mêmes anciens circuits, il y a toujours une transition qui doit avoir lieu.

Jay : Réapprendre la motricité et le contrôle.

Jason : Voilà.

Jay : J’ai déjà entendu ça, à propos. Vous êtes donc sur le terrain. Des gens y meurent ? Des soldats ?

Jason : Oui.

Jay : Il y a des traumatismes tels qu’ils ne peuvent rien faire ?

Jason : Oui. Par exemple, après l’attaque de la Zone 26 à l’AEC, certains soldats n’ont jamais été retrouvés. Ou juste des morceaux.

Jay : C’est quoi l’AEC ?

Jason : Arme à énergie cinétique.

Jay : D’accord.

Jason : Une grande météorite est tombée sur l’océan d’eau douce adjacent. Il y avait une série de soldats dont on a trouvé des morceaux, et d’autres soldats, dont on n’a jamais rien retrouvé. Donc des soldats sont morts pendant le processus.

Jason : Mais le but ultime était de faire un soldat qui évite la mort, non ?

Jason : Bien sûr. Qui évite la mort et a les meilleures chances de survie, quelles que soient les conditions hostiles, par temps froid comme par temps chaud.

Jay : Y a-t-il du personnel médical sur le terrain ?

Jason : Oui. En fait, chaque soldat, lors de l’entraînement, recevait une formation médicale très complète. Je ne me souviens pas encore de cette formation en soi, sauf que je l’ai suivie, et chaque soldat a donc les compétences et une formation équivalente à un médecin.

Donc, à nouveau, une partie de la mission était l’entraînement et la coordination des populations locales. Cela signifie qu’on pouvait aussi aider ces populations locales avec des traitements médicaux.

Jay : Vous avez mentionné ce qu’on appelle les technologies à interface neurale. Pouvez-vous nous donner plus de détails ?

Jason : Bien sûr. Les technologies à interface neurale qu’on utilisait étaient amplifiées par les thérapies d’amélioration par nanites. Ça nous permettait d’avoir une interaction directe avec un ordinateur ou un logiciel qui avait ce pouvoir de connectivité.

Jay : Qu’est-ce que l’interfaçage neural ?

Jason : C’est le contrôle d’un système d’armement, ou d’un système de guidage, de vol, de conduite, grâce à l’esprit et non directement grâce à des manettes ou à un volant ou une autre chose physique. C’est pouvoir contrôler l’interface d’interaction, l’interface de la machine humaine par l’esprit, au lieu d’avoir une chose physique.

Jay : Ils ont probablement cette technologie.

Jason : Ils l’ont.

Jay : Plutôt utile, non ?

Jason : Oui, très utile. La technologie à interface neurale avait des directives très spécifiques sur ce qui pouvait être contrôlé, comment et où. Ce n’était donc pas ce qu’on considère traditionnellement comme une connexion esprit-machine. C’était plus une interface, si vous voulez, pour pouvoir contrôler plusieurs choses en même temps.  Par exemple, les pilotes qui étaient aux commandes des navettes pouvaient superviser et soit identifier, soit cibler certaines choses pour l’officier en charge du ciblage, tout en conduisant la navette en même temps, et en supervisant et en gardant un œil sur certains systèmes dans la navette, et tout en pouvant dire s’il y a des vents de travers, des changements de température et faire des ajustements.

Avoir la capacité de pouvoir retirer les interfaces parfois mal conçues et permettre à une personne d’avoir une interface neurale directe avec les choses réduit incroyablement le temps de réaction, et ça augmente et améliore aussi l’efficacité.

Jay : Vous dites que le pilote peut penser : « Canon arrière, feu ! » et ça se produit ?

Jason : Si c’est automatisé. Avec certains systèmes de ciblage, il peut tout au moins indiquer certaines choses au tireur, genre : « Fais attention, là, je vois des choses de ce côté-là. » Puis les lui désigner. Une chose que j’ai vue récemment est que la DARPA a des interfaces neurales pour ses soldats, et qu’ils promeuvent cette technologie comme quelque chose de neuf alors qu’elle existe depuis longtemps. Ils ont enfin décidé de la révéler.

Jay : S’ils ont cette technologie, c’est le cas d’après vous, alors si quelqu’un a des ennuis avec les puissances présentes, ne peuvent-ils pas envoyer des soldats avec cette technologie, sur la Terre et s’occuper de tout ce qu’ils voulaient ?

Jason : Les serments qu’ils ont prêtés avaient comme fondements le respect et l’observation de normes éthiques et morales. Et être déployés contre une population civile n’entre pas dans cette catégorie.

Jay : Vous n’avez jamais combattu contre des civils avec l’IDARF ?

Jason : On a aidé à contrôler des émeutes, mais ça ne comprenait pas l’utilisation de technologie militaire pour supprimer des civils, non.

Jay : Mais théoriquement, un groupe de militaires ici sur Terre pourrait voir ces supers soldats venir sur eux, non ?

Jason : C’est possible. Tout à fait.

Jay : Est-ce arrivé ?

Jason : Je ne crois pas que ça arrivera simplement parce que le point le plus important qu’on a de notre côté est la suppression de la technologie. Que ça arrive d’une telle manière serait une grande ouverture dans tout le panorama de la révélation.

Jay : Avez-vous reçu des extraterrestres des technologies avancées ?

Jason : Les extraterrestres avec qui on était en contact à l’IDARF avaient des avancées technologiques très spécifiques. Imaginez… quelque part sur un équivalent de la Terre dans les années 1850, juste à l’aube de la Révolution industrielle. Donc, les technologies, à quelques exceptions près, qu’on a découvertes, n’étaient pas plus avancées que ce qu’on avait.

Certaines choses que j’ai vues sur Planète Un, par exemple, où la civilisation là-bas utilisait un différentiel de tension produite par la planète pour créer de l’électricité, quelque chose de similaire à la tour de Wardenclyffe que Tesla utilisait, qui permet d’utiliser le potentiel de la Terre et la différence entre ça et l’atmosphère pour générer de l’électricité.


Jason Rice (14) IDARF Technologies Warden10


N’ayant donc jamais vu cette technologie avant notre déploiement sur Planète Un, pour moi c’était une nouvelle technologie. Pourtant, elle existe depuis le début du siècle (1902).

Jay : Ils génèrent de l’électricité avec la technologie de Tesla ?

Jason : Oui, c’était une forme de DC qu’ils utilisaient pour l’éclairage et quelques autres trucs. Ils ne l’avaient pas vraiment amélioré, au-delà de son utilisation pour la lumière artificielle.

Jay : Avaient-ils construit une tour de Wardenclyffe pour la générer, ou quelle était cette technologie ?

Jason : Ils les avaient bâties dans leurs immeubles. Dans leur logement, dans chacun d’eux. Imaginez un édifice semblable à une yourte circulaire…


Jason Rice (14) IDARF Technologies Yourte10


…parfois d’un étage, parfois de trois, avec un toit conique et une spirale en haut. Certaines spires avaient un système intégré de circulation de l’air de sorte que les différences normales de température et les variations thermiques dans l’immeuble entraînaient la montée de la chaleur et la circulation de l’air froid. Ils utilisaient ça pour la climatisation et aussi la spire pour la génération d’électricité.

Jay : Mais c’est une technologie de Tesla. Pas des extraterrestres.

Jason : Non, c’étaient bien des technologies d’extraterrestres humanoïdes qu’on a vues sur Planète un.

Jay : Ils avaient perfectionné seuls cette technologie ?

Jason : Pas perfectionné. Ils l’avaient découverte et utilisée. Mais à nouveau, souvenez-vous que leurs civilisations n’étaient pas motivées par un besoin d’inventer et de perfectionner. Leurs civilisations étaient plus du genre : « Trouvons un truc qui marche, et pas de souci si on ne change rien. »

Jay : Dans un état stable.

Jason : Voilà, c’est une bonne formule.

Jay : Quelle a été la technologie la plus incroyable que vous ayez vue quand vous étiez à l’IDARF, en dehors des scanners et tout ça ?

Jason : Certaines des technologies qui m’ont vraiment épaté, avaient à voir, je crois, avec les technologies des champs de force. Les engins spatiaux qu’on a vus et utilisés. La taille même de certains vaisseaux qui étaient utilisés dans le Programme spatial secret, vraiment énormes.

Jay : De quelle taille ?

Jason : Disons 800 mètres.

Jay : 800 mètres ? Bill Tompkins dit justement avoir conçu des vaisseaux de 800 m à 1600 m de large. Seraient-ce ceux sont il parlait ou sont-ils encore plus avancés ?

Jason : Ceux que je connais avaient une forme de pointe de flèche ou de cigare. Puis il y a une myriade d’autres petites navettes selon la mission.

Jay : La tête de flèche signifie qu’elle est conçue pour voler dans l’atmosphère et dans l’espace ?

Jason : Oui, les propriétés physiques des bords extérieurs sont aussi indicatifs d’une possible utilisation dans l’atmosphère, car ils étaient lisses, et étaient conçus ainsi pour réduire la friction et la résistance.

Jay : Peuvent-ils aller sous l’eau ?

Jason : Bien sûr, oui.

Jay : Y a-t-il des bases aquatiques sur la Terre ?

Jason : J’ai cru comprendre que oui.

Jay : Comment sont alimentés ces vaisseaux géants ? Quelle est leur source d’énergie ?

Jason : De nombreuses sources d’énergie qu’on utilisait souvent étaient un type d’antimatière à effet Hall où la ou les particules d’antimatière étaient mises en mouvement dans un système de confinement. Et leur rotation autour d’un cercle crée un champ. Puis le champ est alors capable d’être transféré dans un conducteur. Puis le conducteur produit alors de l’électricité. C’est le type de système énergétique qui peut être réduit à la taille d’un paquet de cigarettes, ou être aussi grand que nécessaire.

Le pistolet Con PD qui était une arme déstabilisatrice à phases avait sa propre alimentation, car c’était un vrai gouffre. Et ce système en soi avait la taille d’un congélateur horizontal. Grand, donc.

Jay : Ils n’avaient pas de propulsion nucléaire ?

Jason : Ceux que je connais n’ont pas de propulsion nucléaire. Ils en ont, mais quand on n’a pas besoin de jouer avec quelque chose d’aussi létal, on peut utiliser quelque chose qui tue d’une autre manière et qui demande moins de matière pour le même effet. Et tous les sous-systèmes, les systèmes de sécurité et de refroidissement, et toutes les autres choses dont on a besoin pour un générateur nucléaire, on n’a pas besoin de tout ça si on utilise, par exemple, de l’antimatière.

Jay : Ils n’utilisent pas les réacteurs à fusion dans le Programme spatial secret?

Jason : eh bien… un des réacteurs à la base du FIG était à fusion à température ambiante. Donc, une partie de l’énergie utilisée sur cette base était une technologie à lit de boulets.

Jay : Ils ont déjà réalisé la fusion sans nous le dire.

Jason : Oui, ils voulaient en finir avec certaines énergies fossiles de la planète.

Jay : Y a-t-il d’autres technologies que vous avez vues et qui sont utilisées maintenant sur Terre, et qui nous sont parvenues ?

Jason : Tout un tas.

Jay :  Comme quoi ?

Jason : Les thérapies géniques qu’on voit fréquemment sont un rejeton de certains de ces programmes. Une autre technologie : chaque soldat transportait un kit de patchs médicaux. C’était un rouleau de 30 cm de large sur 30 mètres de longueur, de seconde peau, si vous voulez. Elle est enroulée autour d’un aérosol de la taille d’un spray nettoyant pour lunettes.  Ce n’est pas très grand. Mais le kit vient tout-en-un, et on coupe autant de patch que nécessaire, on le place sur la blessure, il s’y colle, puis on applique le spray. Et les composants du spray activent les nanites et les modifications génétiques dans le patch de sorte qu’il recouvre, obture et isole les brûlures, les entailles, les perforations, les plaies par balle.

Et pour le processus de guérison, le patch en lui-même comprend un ADN générique. Et ce qu’il fait, c’est un peu comme les thérapies d’amélioration par nanites, il fournit au départ une séquence d’ADN générique. Une fois sur le soldat, il utilise le propre ADN du soldat pour remplacer la forme générique  pour que celle-ci ne soit plus l’élément de base et qu’il n’ait aucune chance d’être rejeté. Et donc, dès qu’il reproduit cette séquence ADN du soldat, il n’est pas plus différent qu’aucune autre partie de la peau, du corps ou d’un tissu du soldat. Et c’était très utile du point de vue des coupures, éraflures ou si on est touché par balle, car on peut les obturer et continuer ce qu’on faisait.

Ce type de technologie sert de seconde peau en médecine, dans le domaine médical aujourdhui, où ils utilisent un dérivé analogue à une seconde peau, pour la cicatrisation, à des fins médicales.

Jay : C’est utilisé aujourd’hui ?

Jason : Ça commence, oui. On commence à le voir.

Jay : Et les technologies que vous avez vues  qui ont filtré jusqu’à nous ?

Jason : Quelques-unes pourraient être utilisées ici, je dirais. Les technologies de conduite électro-gravitationnelle. Pour sûr, j’aimerais avoir une Buick dans l’allée avec ça. Avoir accès à certaines technologies avancées en lien avec les duplicateurs. On doit juste stocker des éléments de base chez soi, pour ne pas devoir aller acheter différents produits, matériaux ou composants. On doit juste s’approvisionner en carbone, nitrogène, oxygène, différents éléments de base, et c’est tout ce dont on doit se préoccuper.

Jay : Le duplicateur est la machine qui fait de la nourriture et des objets.

Jason : Oui, tout à fait. La prochaine étape de l’évolution humaine passera du processus de fabrication centralisée à un processus décentralisé où les gens peuvent créer des choses directement chez eux.

Jay : Et on y est presque, avec les imprimantes 3D.

Jason : Oui.

Jay : OK. Jason, c’était un plaisir. Des infos très intéressantes.

Jason : Merci à vous, Jay. Encore une fois, c’est la divulgation qui compte.

Jay : J’espère que ça vous a plu, chers téléspectateurs. Nous vous donnons rendez-vous pour un prochain épisode.


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